NOM(S)Bowen, autrefois sans histoire, aujourd'hui connu dans le monde du cinéma pour faire partie des noms inscrits sur la douloureuse liste noire. PRÉNOM(S)Simon, choisi soigneusement par son père. de son second prénom, Aymeric, choisi cette fois-ci par sa mère. ÂGE vingt-six très longues années. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 24 janvier 1990, Washington DC. NATIONALITÉ américaine STATUT CIVIL célibataire, difficile à attraper. ORIENTATION SEXUELLE il a essayé les femmes, et les hommes, et s'il continue à aller vers l'un, comme vers l'autre, il a une petite préférence pour les jolies femmes au fort caractère. MÉTIER ancien acteur à succès, il sert aujourd'hui des frappuccinos dans un starbucks. Non pas qu'il en ait la nécessité, mais ça l'occupe déjà plus que se morfondre toute la journée. CLASSE SOCIALEpauvre de par sa famille, il a su doucement remonter à la classe moyenne, voire aisée de ses propres mains. CARACTÈRE impulsif, jaloux, sarcastique, extraverti, possessif, passionné, désinvolte, ambitieux, joueur.
PSEUDO b. PRÉNOM sandra. ÂGE vingt-et-un ans. PAYS france. INVENTE/SCENARIO inventé. CRÉDITS leave. DOUBLE COMPTE ? nope. AVATAR jack o'connell.
Simon a grandi dans une famille aux revenus limités. Loin d'avoir vécu la vie de luxe que certains peuvent se vanter d'avoir, s'il n'a pourtant manqué de rien, il a toujours regretté le fait de n'être pas assez bien loti pour faire partie des grands de ce monde. (+) Simon ne s'imaginait pas marquer l'histoire. Il n'a jamais souhaité faire d'études supérieures, conscient qu'il n'était pas assez bon pour accéder à une bourse, ni assez riche pour pouvoir se les payer, et se voyait déjà simplement reprendre la boutique de sa mère. (+) Il s'est fait repérer à l'âge de seize ans, alors qu'il faisait l'idiot avec quelques-uns de ses amis. On lui a proposé de passer un casting pour un petit rôle dans un film. Il y est allé les mains dans les poches, on l'a adoré. Plusieurs rôles plus tard, sa notoriété a explosé grâce à sa participation dans un film à gros budget. Il ne prenait rien au sérieux, et c'est ce qui faisait son charme. (+) Avant que sa carrière d'acteur ne commence, Simon ne cherchait pas la gloire. Faire le con devant une caméra, c'était sympa, il n'attendait rien d'autres. Et puis il a réalisé qu'être reconnu, ça changeait tout. Il n'était plus le mec quelconque qu'on croise au bout de la rue, mais l'homme à la belle gueule qui pouvait tout se permettre. Il claquait des doigts et une armée d'assistantes se bousculait autour de lui. Le rêve ultime. Il a découvert les cérémonies dans lesquelles il recevait des cadeaux, les grosses soirées réservées au VIP, et toutes les autres portes que son soudain statut de privilégié pouvaient ouvrir. Alors Simon, il a perdu pied. Il était pas prêt. (+) A vingt-deux ans, Simon a perdu de vue l'objectif premier, celui de s'amuser. Il est devenu désagréable, persuadé qu'il pouvait tout se permettre, que tout lui était dû. Le succès lui est monté à la tête, à tel point qu'il a cessé tout contact avec sa famille et ses anciens amis. (+) Son impulsivité et son côté désinvolte ont eu raison de sa carrière. On a fini par l'éjecter de la scène. Aujourd'hui, malgré toutes ses tentatives, Simon est incapable de revenir, blaklisté de partout suite à ses écarts de conduite qui lui ont valu de nombreux avertissements, et quelques passages en prison. Et pourtant il essaie, il passe des castings, il appelle ses " potes " du showbiz, mais y'a rien à faire. C'est compliqué quand on a perdu la confiance des autres et qu'on continue à lire des conneries sur lui sur le net. (+) Il fait mine que rien ne le touche, que rien n'est assez bien pour lui, mais Simon ment. Il ment tout le temps, pour se protéger, pour ne pas montrer ses sentiments, quand bien même il est conscient que s'il le faisait, il réussirait à arranger la situation. Au fond, Simon le sait qu'il a merdé et qu'il continue à merder, mais il est bien trop fier pour se l'avouer. (+) Même si son compte en banque ne souffre pas encore de cette chute, il a décidé de prendre un nouveau job, celui de barman à starbucks, parce qu'il a besoin de s'occuper et surtout, il imagine qu'il aura peut-être l'occasion de montrer une autre image de lui, celle d'un travailleur acharné. (+) Encore amer de cette situation, Simon se montre relativement aigri, et ne lésine pas sur les remarques sarcastiques. Son profond besoin de reconnaissance le rend terriblement amer, assez pour que la moindre réflexion sur sa carrière lui hérisse les poils. (+) Il a quelques tatouages sur son corps qui symbolisent chaque étape de sa vie, de sa notoriété soudaine, à sa chute, en passant par l'une de ses histoires d'amour, la plus longue. Quelques lettres pour se souvenir d'elle : nevermore.
POWER ; Y'a quelques années, Simon se serait contenté de son quotidien, ne recherchant rien d'autres qu'une vie simple et sans problèmes. Mais Simon a goûté à la gloire. Il a découvert le pouvoir. Trop vite pour qu'il perde pied, mais pas assez longtemps pour en être repu. Comme un accroc en manque, il a ce besoin viscéral de retrouver ce sentiment de grandeur qu'il a ressenti en devenant l'un de ses acteurs reconnus. Alors Simon, il est prêt à tout pour retrouver les strass et les paillettes. Ambitieux et déterminé à reprendre la place qu'on lui a arraché des mains, il est de ceux qui n'ont aucun état d'âme pour écraser ceux qui se trouvent en travers de son chemin. S'il faut détruire quelques cœurs, Simon n'aura aucun scrupule à le faire.
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Simon croise son regard, et il voit comme c’est douloureux pour elle, comme ça lui est difficile d’avoir pris une telle décision, et pourtant, il ne peut pas s’empêcher de lui en vouloir. Terriblement. Il la déteste pour l’avoir pris pour un tel con, pour lui avoir croire que c’était sérieux alors que vraisemblablement, ça ne l’était pas. D’accord, ils se disputaient plus qu’à l’ordinaire, et ils avaient parfois du mal à apprécier le peu de temps qu’ils avaient en commun autrement que par des échanges d’éclats de voix, mais ça ne voulait rien dire. Tous les couples passaient par ces instants. Il cligne des yeux, tente de ne rien laisser paraitre alors que son cœur vient de se briser. Il l’entend presque se fissurer en plusieurs morceaux et tomber jusqu’à ses pieds. Mais Sage, elle s’en fout. Elle s’en est même pas rendue compte. Elle l’observe, comme si elle cherchait quelque chose. Une réaction, sans doute. Simon n’a rien dit depuis qu’elle a prononcé les douloureux mots qui viennent de mettre fin à une relation de quatre longues années. Pourtant, il en aurait des choses à lui dire. Il aimerait lui dire qu’il est désolé, qu’il le fait pas exprès d’être aussi con, qu’il comprend pas ce qui l’a mené à une telle décision. Il voudrait lui dire qu’il l’aime, qu’il fera des efforts s’il le faut mais qu’elle peut pas le laisser tomber maintenant alors qu’il a besoin d’elle. Sauf qu’il en est incapable. Simon se referme, comme à chaque fois qu’on lui fait un peu trop mal. Touché dans son orgueil, il préfère se taire. Il pourrait tenter d’arranger les choses, mais il a bien trop peur que ça foire. Alors, il préfère qu’elle s’en aille définitivement sans savoir si leur couple aurait pu surmonter cette nouvelle épreuve. « Tu viens de faire une terrible erreur, » finit-il par prononcer d’un ton si calme qu’il se surprend lui-même de sa faculté à garder son sang-froid alors qu’il est dévasté. Il ne sait pas pourquoi est-ce qu’il lui dit un truc pareil. En réalité, cette phrase ne s’adresse qu’à lui-même et personne d’autres. « Mais va, pars, j’en ai rien à foutre, y’en a tellement qui voudraient te remplacer. » Pleins, peut-être pas, mais y’en a eu. Il en a reçu des propositions indécentes, de femmes, et d’hommes qui lui écrivaient parfois des mails si crus que c’en était presque gênant. Certains étaient même prêt à garder ce secret, sachant pertinemment qu’il était casé depuis longtemps. Simon, pourtant, ne s’y était jamais attardé. Peut-être qu’il aurait dû, finalement. « Et y’en avait qui valait vraiment le coup, elles savaient s’occuper d’un homme. » Continue-t-il si facilement qu’il pourrait lui-même croire à son histoire, comme s’il la racontait à un de ses amis autour d’une bière. « Quoi, tu croyais quand même pas que t’étais la seule ? » L’erreur fatale. Simon ne cherche qu’à la blesser comme elle vient de le faire. Il veut qu’elle ressente la même douleur, le même désarroi quand elle l’a prise au dépourvu, entre deux répliques sanglantes. Evidemment, il ne s’attendait donc pas à ce qu’elle le prenne bien, mais il ne s’attendait définitivement pas à recevoir une telle gifle, si forte qu’il a l’impression qu’elle lui a arraché la mâchoire. Tandis qu’il pose immédiatement sa main sur sa joue rougie, Sage lui crache des mots aussi violents que le coup qu’elle lui a asséné, avant de quitter l’appartement en claquant des portes. Simon reste planté dans le salon, abasourdi par ce revirement, encore secoué par la brutale séparation qu’il vient de vivre.
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Simon joue distraitement avec sa cigarette, la fait passer d’un doigt à l’autre, ne s’intéressant pas le moins du monde au magazine que lui a porté quelques temps plus tôt son agent. Il fait les gros titres, mais il en a l’habitude, et ne s’offusque même plus des histoires qu’on peut raconter sur lui. Y’en a des vrais, mais la plupart du temps sont fausses, alors elles le font rire. On ne peut pas en dire autant de Max, qui, lassé par son protégé, en vient finalement à lever les yeux au ciel. Il ne sait pas pourquoi est-ce qu’il continue à soutenir ce petit con qui ne pense qu’à lui. D’accord, c’est un acteur demandé, mais il n’est pas aussi bon qu’il le pense. Mais Simon, il ne veut rien entendre. Il n’en fait qu’à sa tête, encore et toujours, convaincu d’avoir tous les pouvoirs dans l’industrie du cinéma. « On peut pas continuer comme ça, Simon, » termine-t-il en passant ses mains sur ses tempes, fatigué par cette situation. L’acteur lâche un soupir d’exaspération, se décidant enfin à prendre part à la conversation qui n’était rien d’autres qu’un monologue extrêmement ennuyeux de la part de son employé. « Ca va, c’est pas comme si c’était la première fois qu’on racontait de la merde sur mon dos. Qu’est-ce que ça peut leur foutre ? » Après tout, tant qu’il fait son boulot devant la caméra en montrant sa belle gueule, rien n’est grave, n’est-ce pas ? Qu’il boive comme un trou en dehors de ses heures, qu’il se batte avec quelques merdeux ou qu’il crache à la figure d’un paparazzi, c’est son problème. Sa vie privée. Sauf que Max, et les autres ne sont pas de cet avis. Ils pensent que Simon a perdu la tête, qu’il n’est plus le même depuis qu’il connait le succès. « Mais tu comprends pas, putain ! Tu comprends pas que t’es en train de te mettre à dos tout le monde en étant aussi con ? Ils veulent plus de toi, ils peuvent plus te voir en peinture ! Ils cherchent tous à te remplacer ! » Et à ses derniers mots, Simon se met à rire comme un idiot, ne croyant pas une seule seconde aux conneries que son ami peut lui raconter. On ne peut pas le remplacer. On le voit sur toutes les affiches, dans toutes les émissions de télévision. Il est celui qu’on attend à chaque nouvel événement. « Heureusement que t’es drôle parce qu’à la manière dont tu te permets de t’adresser à moi, crois-moi, t’es celui qui se fera très vite remplacer » Max a beau être un ami de longue date, Simon n’a aucune hésitation à évincer ses proches lorsqu’ils ne sont plus sur la même longueur d’onde. Il ne s’accompagne plus que de ceux qui le soutiennent, ceux qui boivent parfois ses paroles d’une manière si peu subtil que c’en est parfois désolant. L’agent lâche un soupir en secouant négativement de la tête tandis que Simon décide d’aller sa cigarette. « J’suis sérieux, Simon. Je te dis ça parce que j’suis pas que ton agent, j’suis aussi ton ami. Mais si tu continues, tu finiras tout seul. C’est pas tes potes, ils en ont rien à foutre et t’es loin d’être irremplaçable. » Simon lève les yeux pour croiser le regard de Max, quelques secondes seulement avant de se lever brusquement pour se diriger vers la sortie. « C’est ça, ouais, va t’faire foutre ! » Il n’a pas besoin d’écouter ses conneries. Simon, il le sait, il est destiné à faire de grandes choses et ça, son (ex)-ami ne peut pas le comprendre. C’est pas de sa faute après tout, il est juste jaloux.
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« Mais regardez qui voilààààà, c’est le graaaaand acteur Bowen qui nous honore de sa présence aujourd’hui ! » Simon roule des yeux, exaspéré d’entendre les mêmes remarques qu’on lui balance à la figure toute la journée. Ca ne le dérangeait pas quand il était encore la tête d’affiche, mais à présent qu’il n’est plus qu’un barman parmi d’autres, les réflexions sur son passage express sont difficiles à avaler. Il est conscient qu’il a vraiment merdé, et n’a aucunement besoin qu’on vienne le lui rappeler à chacune de ses visites. Et encore, Simon tolère sa plaisanterie - quand bien même elle pue le reproche – parce que c’est une amie de longue date. « Tu saoules, » répond-il simplement en attrapant le verre qu’elle lui tient. Il balaie les alentours du regard à la recherche de connaissances tandis qu’elle ne le quitte pas des yeux. Il fait mine qu’il ne le remarque pas mais en réalité, elle parvient presque à le gêner. Il en vient même à se demander s’il ne préférait pas quand elle l’évitait comme la peste et qu’elle disait à qui voulait bien entendre qu’elle ne lui adresserait plus jamais la parole. C’était plus facile. Malheureusement, personne ne vient le sauver, malgré ses regards insistants. C’est bien plus drôle de le laisser se noyer dans son malaise. « Ca va, rigole un peu. T’étais quand même plus drôle avant. » Et voilà la raison même du malaise. Il savait qu’elle remettrait le sujet sur le tapis, parce qu’elle ne fait que ça depuis qu’il a repris doucement contact avec ses proches. La même rengaine, encore et encore, qui les amène toujours à se disputer et à séparer avec ce goût terriblement amer dans la bouche. Elle foire leur soirée et celle des autres, et ça ne semble pourtant déranger que lui. A la première occasion, elle l’attaque sur son comportement qui a ruiné leur amitié. Et Simon, il sature d’entendre les mêmes reproches toute la journée, les mêmes longues tirades, les mêmes regards qui lui rappellent sans cesse qu’il n’est qu’un raté. « Commence pas, » rétorque-t-il en lâchant un soupir si fort que la ville entière aurait pu l’entendre. Il porte son verre jusqu’à ses lèvres, prend une gorgée pour se donner du courage en s’abstenant tout regard vers la demoiselle. « Waouh, et en plus, t’es hyper susceptible, » qu’elle lance en levant les yeux au ciel. « Tu sais, t’étais pas obligé de venir si c’est pour faire la gueule. » Simon ne peut s’empêcher de passer une main sur son visage, se maudissant lui-même d’avoir effectivement décidé que c’était une bonne idée de passer un peu de temps avec ses vieux amis. Même si certains de leurs amis lui en veulent encore, ils ne sont pas aussi vindicatifs qu’elle, laissant simplement au temps faire les choses. « Mais pourquoi tu viens m’emmerder si tu peux plus me supporter ? Y’en a d’autres que tu peux faire chier – tiens, retourne voir ton mec, William -» « - Wilson » rectifie-t-elle naturellement, un sourire malicieux esquissé sur ses lèvres. « J’m’en fous, peu importe, fous-moi la paix. » Mais elle ne bouge pas. Elle continue de le fixer avec ses grands yeux qui le scrutent de toute part, comme si elle ne pouvait pas s’empêcher de le défier à la moindre occasion. « Non, j’peux pas, c’est trop tard, tu m’as gâché la soirée. » Alors Simon roule à nouveau des yeux, et termine son verre d’un trait. Il laisse volontairement la conversation s'éteindre, s'attendant à ce qu'elle réplique, mais même pas. Lorsqu'il lève les yeux vers elle, il croise quelques secondes son regard, juste le temps pour remarquer comme leur complicité s'est effritée depuis sa notoriété soudaine. C'est douloureux, mais Simon préfère éteindre le sentiment de culpabilité qui vient s'emparer de lui. « J’vais avoir besoin d’une bouteille, tu m’as gâché la mienne. » Une grosse bouteille.
ce choix de vava je l'aime tellement ce mec, tellement talentueux Le personnage promet pour ne rien gâcher t'as attisé ma curiosité, j'veux en savoir plus, beaucoup plus tout est perf dans le coin
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attention, on réserve une surprise aux meilleurs pubeurs 
épouse-moi 
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