NOM(S) Gilmore, un nom assez commun au final, rien de bien extravagant. PRÉNOM(S) Stassi Beatrix, mais tout le monde l'appelle Stassi. Beatrix, c'est plus un symbole de tradition, un prénom qui se transfère de génération en générationÂGE Elle a 30 ans mais ne l'assume pas encore pleinement. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Stassi est née le 13 Avril 1986 à Londres NATIONALITÉ Elle est officiellement américaine mais reste anglaise par ses parents, et ça compte beaucoup pour elle. STATUT CIVIL Elle est célibataire de la tête aux pieds, et ne cherche pas à change rce statut. ORIENTATION SEXUELLE Elle se dit hétérosexuelle, mais au fond, elle n'a jamais rien essayé avec une fille, donc qui sait. Mais ça ne la tente pas vraiment. MÉTIER Elle est institutrice en école primaire, ou maternelle, dépendant des années, et elle adore son métier. CLASSE SOCIALE Ses parents sont plutôt aisés, mais depuis qu'elle a prit son indépendance, elle se trouve plutôt dans une classe moyenne, normale. CARACTÈRE gentille, intelligente, assez extravertie, ambitieuse, qui ose, sentimentale, bonne cuisinière, paresseuse pendant ses règles.
PSEUDO noemiesue PRÉNOM Noémie ÂGE 20 ans, enfin 21 dans pas très très longtemps PAYS France, jusqu'à dans un mois INVENTE/SCENARIO personnage inventé CRÉDITS viceroy DOUBLE COMPTE ? nope, pas encore en tout cas... AVATAR Lauren Cohan
Stassi est une jeune femme très positive. Elle ne regrette jamais rien, elle adore la vie qu'elle a et si elle pouvait, elle referait tout pareil. Elle vit à Washington depuis dix ans maintenant, et elle s'y plaît bien. Elle adore son travail d'institutrice, elle adore travailler entourée d'enfants. Elle aimerait avoir des enfants de son côté, mais pour ça, il lui faudrait trouver quelqu'un, et ce n'est pas dans ses plans. Depuis quelques temps maintenant, elle se renseigne sur les procédures d'adoption pour les femmes célibataires. Elle est sportive, mais elle n'a pas de vraies passion, si ce n'est peut être le point de croix, quand elle est énervée. Ca la détend. Mais elle ne s'énerve vraiment pas souvent. Elle vit toute seule dans une maison dans le quartier jeune et actif de Washington. Oui, elle estime être quelqu'un de jeune, malgré ses trente ans. Elle est complexée par son âge. Elle a un chat, qui s'appelle Marius, et c'est un peu sa seule compagnie. Elle adore les jeux vidéos, mais à petite dose. Et elle lit son journal tous les matins.
LE GROUPE L'une des plus grandes qualités de Stassi, et aussi plus ou moins ce qui la définit, c'est sa gentillesse. Elle donnerait littéralement sa vie pour les gens qu'elle aime. Elle est fille unique et n'a jamais eu de frère ou de soeur à protéger, mais ça fait qu'en fait, elle compense en étant protectrice avec les gens qui l'apprécient, ce qui va très bien au final avec son travail d'institutrice. Elle aime transmettre, c'est une femme généreuse, et elle donnerait tout pour aider quelqu'un. Elle a le coeur sur la main. Et en plus de ça, elle n'attend jamais rien en retour. Pour elle, c'est absolument normal d'aider les gens qui en ont besoin, qu'elle connaisse la personne en question ou non. Stassi, c'est le genre de fille qui prendra en auto-stop même un mec qui a l'air d'être tout juste sorti de prison !
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Mon histoire ? En réalité, je n'ai pas vraiment d'histoire. C'est vrai ! Je fais partie de ces gens simples, sans véritable histoire qui mériterait d'écrire un bouquin ou un truc du genre. Je ne dis pas qu'il ne m'ait jamais rien arrivé d'extraordinaire, mais c'est vrai que je ne trouve pas que ce soit extraordinaire. Mais puisqu'il faut bien commencer quelque part, je suis née à Londres, il y a trente ans maintenant. C'est à mon goût la plus belle ville du monde, toujours pleine de surprises. J'y ai vécu pendant vingt ans, et jusqu'à mes vingt ans justement, j'arrivais toujours à me distraire et à découvrir de nouvelles choses. Je suis fille unique, un peu à mon plus grand désespoir. J'ai toujours rêvé d'avoir un frère ou une soeur, plus âgée de préférence. Pour autant, je n'ai pas passé une enfance solitaire. Mes parents étaient très présents, presque trop présents par moment à vrai dire. Mais bon, au fond, je ne m'en plaignais pas trop. Comme je disais, j'ai une vie qui n'est pas pleine de rebondissement, et pendant mon enfance tout comme mon adolescence, il ne s'est rien passé de particulier. J'étais une gamine comme les autres, j'ai eu ma période gothique et rebelle, et énervée contre le monde entier, mais je m'en suis remise. J'étais assez mature, et plutôt très intelligente, en restant tout à fait humble. J'avais un an d'avance sur les autres élèves de mon âge. J'avais pas mal d'amis je crois, enfin, on est resté une bonne bande pendant assez longtemps.
Le premier tournant de ma vie, si on peut dire, c'est mon indépendance. Et quel tournant ! A l'âge de vingt ans, j'ai décidé de m'émanciper de mes parents, chose plutôt normale. Mais j'avais décidé de faire les choses en grand. Après avoir obtenu un Bachelor, j'avais décidé de partir faire mon master aux Etats Unis, à Washington pour être tout à fait précise. C'était une décision que j'avais pris un peu sur un coup de tête, mais au final, je n'ai jamais regretté. Très vite, j'ai trouvé mes marques dans cette ville. Ayant vécu à Londres, ça ne me faisait pas vraiment peur. Le plus dure, c'était le manque de mes parents, mais financièrement parlant, on n'a jamais été à plaindre donc les visites se faisaient régulières. J'étais une étudiante modèle, je ne sortais pas tant que ça, pour la simple et bonne raison que j'avais hâte d'en finir avec les études et de me lancer dans la vie active. Et deux ans plus tard, à l'âge de vingt-deux ans donc, je validais mon diplôme pour devenir institutrice.
Oui bon, d'accord, il se pourrait qu'après ça, ma vie soit devenue un peu plus intéressante. Mais pour la simple et bonne raison que même si j'adorai mon travail, et je l'adore toujours d'ailleurs, je me sentais libérée du poids de mes études. Et donc je devenais un peu plus... libre, si on peut dire, et je m'occupais un peu plus de moi, et un peu moins des autres. Du coup, je commençais à avoir des hobbis, des passe-temps. Je m'occupais, tout simplement en fait. Et c'est comme ça que j'ai rencontré Tom. On jouait au foot dans le même club, enfin, moi je courais après un ballon et lui il jouait au foot. On s'est très vite entendu, et on est très vite devenu amants. Jusque là, je n'avais pas eu de relation très sérieuse. Et alors que je pensais rentrer à Londres, il m'a convaincu de rester vivre ici, à Washington. Je crois que je peux dire que oui, j'étais très amoureuse de lui, et il me semble que c'était réciproque. On était assez différent, mais au fond pas tant que ça. On se complétait, c'était comme ça que je voyais notre relation. Mais encore une fois, c'était une relation basique, presque banale. Nous on était bien, mais il n'y a pas grand chose à raconter à ce sujet. On est resté ensemble un moment, cinq ans pour être exacte. Et au bout de trois ans, je me suis un peu emportée et je l'ai demandé en mariage. Oui, moi. Et ça n'a pas marché, au contraire, ça a un peu créer un fossé entre nous, je n'ai jamais trop compris pourquoi. Et on a fini par rompre. Mais on est quand même resté en à peu près bon terme, donc je n'ai jamais eu le chagrin d'amour post-rupture, le temps de deuil de notre couple et tout ça...
Depuis, je me suis habituée au célibat. J'ai des rencards, comme si comme ça, de temps en temps. Mais, en fait je suis un peu blasée des mecs. Je ne sais pas pourquoi. Je suis pas pour autant intéressée par les filles hein, pas dans ce sens là, mais j'ai du mal à m'intéresser de manière générale. Du coup je fais autre chose, je m'occupe, mais au final, j'ai trente ans maintenant. Et même si mon célibat ne me pèse pas sur la conscience, c'est plus la notion de fonder une famille qui commence à me poser problème. J'ai toujours été très proche de mes parents, et surtout par mon métier, j'ai toujours eu l'habitude d'être entourée d'enfants. Et aujourd'hui, j'aimerai, moi, avoir un enfant. Du coup, ces derniers temps, j'ai commencé à me renseigner sur les différentes procédures d'adoption pour les femmes célibataires, et oui, c'est un peu compliqué, mais je ne lâche pas le morceau, pour le moment au moins...
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