NOM(S) Lewis. PRÉNOM(S) Lucas, Jonathan. ÂGE 22ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 3 Juillet à Washington. NATIONALITÉ Américaine. STATUT CIVIL célibataire. ORIENTATION SEXUELLE bisexuel parfaitement assumé mais qui ne s'étale pas pour autant. MÉTIER Etudiant en première année de Master of Public Policy Degree. CLASSE SOCIALE aisé de par ses parents A lui tout seul, il se trouve dans une moyenne qui commence tout doucement à faire de la gonflette. CARACTÈRE Lucas ? C’est qui ce type ? Tu t’assois, tu te tais et tu écoute, comme ça tu poseras plus d’questions. J’ai toujours été quelqu’un de très critique. Etant un jaloux particulièrement possessif, je me suis souvent réduit à critiquer les moindres faits et gestes de chacun, des critiques pouvant tout autant être positive bien sure. Dès que l’occasion se présente j’aime apporter ma vision des choses. Je ne cache pas non plus que je suis du genre agressif ; je m’énerve rapidement sans vouloir dire souvent. Malgré ça, je ne suis pas un mec émotif. Du moins, je cache très bien mes sentiments. Quand les choses ont besoin d’être dîtes et exprimés, je suis le premier debout. Autrement j’ai une crédibilité à maintenir, et je suis loin de totalement me foutre de ce qu’on peut penser de moi. Dès qu’il s’agit d’une mise au point entre quatre yeux, je suis là. Quand la chose devient plus sentimentale, j’ai tendance à me renfermer, comme si j’avais peur de montrer au monde entier que j’ai un cœur, un coeur comme les autres. Par contre, quand j’aime, j’aime vraiment. J’ai tendance à penser que la colère facile, l’honnêteté, le sale caractère et la taquinerie, donnent une forte impression de moi-même. Autant avouer que je préfère ça à pleurnicher pour tout et n’importe quoi à longueur de temps. J’ai alors peut-être l’air d’un gros con prétentieux au sale caractère impulsif, mais c’est juste l’image que je donne de moi. Quoique, j’en suis peut-être un au fond. Je suis un bosseur né, un mec qui croit en son avenir par le simple fait de croire en lui-même et en ce qu’il fait. Je me suis toujours investit à 100% dans mon travail ou ailleurs, quit à en suer d’acharnement. Déterminé, acharné, ses deux qualités rendent mon caractère d’autant plus intense. Le perfectionnisme auquel je fais preuve a tendance à surestimer mon orgueil. Je suis du genre borné également. Mais j’ai appris à être responsable et serviable alors je suis toujours là lorsqu’il s’agit d’aider les autres, notamment mes proches. Cependant quand il s’agit de moi, je ne laisse personne choisir à ma place. Je suis bien trop sure de moi, et je me dis que chaque décision que j’ai prise doit avoir été suivi pour une raison. Malgré toutes ses parcelles de mon caractère que certains pourraient juger de négatives -je vous emmerde au passage- je ne suis pas désagréable pour autant. Ça dépend surtout des personnes avec qui je suis. Si la personne en question fait partie de ma liste noir ou qu’elle me tape sur le système ; je n’suis pas du genre hypocrite, je dis ce que je pense et je fais ce que je veux. Autrement j’ai des bons côtés ! Par exemple je suis très à l’écoute, on peut tout me confier, tant que c’est intéressant. Je suis du genre affectueux et protecteur. En effet même si je me montre critique, joeur et moqueur, ça ne veut absolument pas dire que je déteste la personne en question. J’aime rire, délirer et apporter autant de joie que je peux apporter de rancœur. En gros, si tu réussis à me cerner, alors chapeau l’artiste.
PSEUDO .bipolar PRÉNOM Léa . ÂGE 18 ans et quelques patates PAYS France maggle. INVENTE/SCENARIO Scénario de James mon petit bisounours CRÉDITS écrire ici. DOUBLE COMPTE ? absolument pas, le seul, l'unique AVATAR Cody Christian.
Vit pour le sport et la réussite + Accro au sport et attaché à sa bonne santé, il ne fume pas et ne boit pas.+ Bisexuel parfaitement assumé, il a eu autant de relation avec les femmes qu'avec les hommes + Il vit encore chez Papa et Maman (homme politique et PDG d'une entreprise de parfumerie),à Capitol Hill, mais ils sont si peu présent qu'il est presque comme chez lui. + Complètement fan de Tacos et autres plats mexicains + Il a des restes de boxe, et fait pas mal de football amércain en ce moment +
LE GROUPE Power: Ce groupe, c'est la description même de Lucas. Tout ce qu'il a toujours souhaiter dans sa vie, c'est la réussite, à n'importe quel prix, à n'importe quelle sueur. Sa détermination et son acharnement au travail sont l'une des sources majeurs de son optimisme et de son ambition à aller toujours plus loin. Le sport et la politique l'ont menés jusqu'ici, jusqu'à cette mentalité de vainqueur. Lucas possède une énergie constante, une énergie forte. Ce n'est pas une énergie qui le rend hyperactif à longueur de journée, non s'en est plutôt une qui le pousse au loin, une qui lui redonne le courage et la force dont il a besoin. Lucas a le goût du détail. C'est important pour pouvoir se projeter et réaliser ses moindres rêves. En parlant des rêves, il en a pleins la tête, et c'est justement pour eux qu'ils se donne à fond. Même dans des périodes moins joyeuses que d'autres, il compense son malheur dans une chose qui pourra, peut-être, le rendre plus heureux. Pour moi, Lucas est un power.
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« Tu vois ça fiston ? Ça, c’est le fromage Président. Cette boîte d'apéro dinatoirs là, c’est la maison blanche. » Dit-il en me menaçant d'un bout de fromage planté au bout de son couteau. « Le président rentre dans la maison blanche, il adopte la République, mouvement du parti républicain qui fut créer en 1854, aussi surnommée GOP ! » Voilà comment mon père, Américain Républicain de pure souche, m’apprenait la vie à sa manière pendant l’apéro du vendredi soir. Je ne comprenais rien. Pas un seul mot. Autant me parler en chinois ou en coréen, la communication aurait été tout aussi médiocre. Et pourtant, j’ai été mis dans le bain tout de suite. Les parents, facteur premier de l’éducation, ceux qui constituent le premier être d’un homme. Des parents cas-soc’ font des enfants cas-soc’, des parents républicains font des enfants républicains. La politique, elle n’était en rien ma vocation au départ. J’aimais le sport, j’aimais suer au péril de ma vie. J’aimais bouger de mon corps et montrer au monde entier que mon habilité était sans limite. Une mauvaise action au mauvais moment, un mauvais moment au mauvais jour.
Part one. "Every end has a beginning." « Mais va-y Lucas, démonte-le ! ‘Fais pas ta mijorer et bouge toi les noix putain ! » La voix de mon coach retentissait fort au creux de mes oreilles. Ses mots se répétaient sans cesse dans ma tête tel un écho assourdissant. Je lui dois beaucoup à ce type. Il m’a toujours poussé au plus extrême. Il m’a toujours appris à relever la tête, à ne rien laissé percevoir sur mon visage même lorsque tout espoir semble tomber à la renverse. La boxe, oui, c’était le sport de ma vie. Taper, toujours plus vite, toujours plus fort. Seulement, lorsque ses coups violents se portent contre vous, et non contre votre adversaire enragé, l’enjeu est tout autre. Ce mec, je devais le démonter, le détruire, le foutre au tapis quoiqu’il en coûte. On comptait sur moi. Les encouragements du coach auraient du me donner la motivation nécessaire. Ils auraient du me faire comprendre qu’il était temps de mettre fin à cet affront. Au lieu de ça, le poing fracassant de mon adversaire à percuter ardument une de mes côtes. Ma protection fut trop faible, trop inutile, trop invisible. L’impact me brisa les côtes, me paralysant tous le côté gauche. J’avais 17 ans, à tout casser. J’ai tout arrêté. Trop de temps à passé pour ma réhabilitation. J’ai eu peur, et j’ai souffert. Une peur et une souffrance que j’ai préférer effacer aux yeux des autres. Je suis bien trop fière. Vous me voyez, dire aux gens que « j’ai arrêté la boxe parce que j’avais peur de me faire tapper » ? J’avais surtout peur de passer d’autres long mois à l’Hôpital. Alors je me suis trouvé une autre vocation, une qui satisferait mon père ainsi que ma propre personne. La politique; une autre forme de force, une autre forme de stratégie à coups bas.
Part two. "Me, myslef, and I" Né dans une famille suffisamment aisée, je n'ai jamais manqué de rien. Des parents occupés, certes, mais je m'en fichais. C'est pas d'avoir la maison pour moi tout seul qui pouvait me déranger. Surtout qu'aujourd'hui, le boulot de mon père m'arrange plutôt bien. J'ai grandis dans une famille aisée, sans pour autant être né avec une cuillère en argent dans la bouche. J'étais pas non plus pourri gâté. Mes parents ont toujours eu les pieds sur terre. Le sport ? Je le pratique toujours. Musculation à la salle, jogging, hockey, football américain, je fais de tout, dès que j’ai du temps de libre. Vous connaissez ce cliché de ses sportifs adeptes à la gonflette qui n’ont par ailleurs rien dans le ciboulot ? Eh ben sortez-vous ça de la tête. Je n’en suis pas. Lorsque j’ai un objectif en tête, je ne le lâche pas. Je me suis toujours investi à 100% dans mes cours. J’ai toujours voulu y arriver. J’ai toujours effacé les « peut-être ». La confiance en soi, la détermination, la volonté d’aller toujours plus loin. Voilà ce qui m’a mené à la Politique. Boxeur, sportif professionnel, c’était ça ma vocation. Finalement j’ai trouvé tout ce dont j’avais besoin dans une voie complètement différente, à la fois semblable en certains points. C’est sous l’influence de mon père et de son métier que j’y suis parvenue. Depuis je ne lâche rien. Je compte bien profiter de chacune de mes qualités donnant naissance à mes compétences. Je me suis alors lancé dans un Master of Public Policy Degree. En cette première année, les choses se passent comme je le voulais, malgré les quelques difficultés. Du moins, la concurrence et la compétitivité avec les camardes rendent la chose d’autant plus plaisante. J’adore ça. C’est une motivation de plus à l’acharnement. Alors oui, j’ai tout dans la tête, tout dans les bras, mais j’en suis pas pour autant moins con.
Part three. "Lewis VS Naili" Il n’a suffit que d’un seul jour. Ce jour là, les Lewis avaient décidé de s’acheter une maison, profitant sans aucune prétention de leur début de fortune. Il avait fallut qu’ils toment sur l’agence immobilière des Naili. Ils comptaient beaucoup dessus, sur cette nouvelle maison parfaite pour un nouveau départ. Des sourires, un optimisme incomparable. Ils avaient prévus de miser gros. Finalement, ils ont misé bien plus gros que ça. Ils ont misés à perte à cause de cette entreprise de merde. Leur organisation était médiocre, sans vouloir dire à chier. Les Naili ont fais perdre énormément d’argent à ma famille en vue de leur incapacité. Les embrouilles entre nos deux familles ont commencé dès lors. Une perte d’argent, une engueulade, des insultes fusantes, un père au bras long déterminé à porter plainte, mais refusant sous les traits de la menance. C’est la guerre entre nos deux familles. Il est pourtant une chose qui vient briser les règles. James et moi, qu’on le veuille ou non, on se voit. Mais c’est spécial. Je dirais même hors du commun. Il est mignon, et lorsque je le regarde, je suis certain de remarquer ses regards tout aussi flatteurs que les miens. Il y a quelque chose entre ses regards, j’en suis persuadé. Alors j’en joue, je joue de cette attirance certaine sans trop savoir pourquoi. Je veux qu’il réagisse. Mais ce qui rend les choses d’autant plus compliqué, en dehors de cette histoire de famille, c’est aussi cette concurrence niché entre James et moi. La politique opposé, la course aux meilleures notes. Ma relation avec lui se déroule presque sur un jeu de plateau dont nous sommes les pions.
Gabriel: Pardonne moi, c'était un petit aperçu de mon hospitalité géniale Tu me menace ? on règle ça quand tu veux, où tu veux Merci à toi
Pearl, Leona, Jerem, merci mille fois Je prends votre courage avec plaisir, parce que si j'fais de la daube c'est James qui va venir me mettre la rabta babtou
Théodore, attends, laisse moi réfléchir... On se connaît, t'es sure ? J'aurais tant voulu prendre le temps d'apprendre à te connaître pourtant, mais apparemment c'est trop tard Bien sure que je te réserve un lien, c'est inévitable