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 save me from myself (with cléo)




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Il était en train de bosser quand elle l'avait appelé. D'ordinaire, quand il était à fond dans ce qu'il faisait (et c'était toujours le cas d'ailleurs, Leo Carstairs ne sachant guère comment faire autrement), il demandait à la personne de le rappeler à moins qu'il s'en charge plus tard et parfois il zappait tout simplement car il avait trop de choses à penser pour se focaliser sur ce qui lui apparaissait sur le moment comme étant moins important. Mais là, il n'avait pas eut le coeur de dire à Cléo de le rappeler plus tard car il l'avait sentit perturbée tant et si bien qu'il avait réussi à s'arracher à son boulot pour la rejoindre afin de se rassurer sur l'état de son amie, le tout pour mieux se remettre au travail ensuite dans des conditions beaucoup plus optimales. Une fois rassuré à propos de Cléo, son esprit serait à nouveau libre de se focaliser sur tout le boulot qui l'attendait à la galerie. Nerveux, le coeur battant (car elle l'avait vraiment fait flipper au téléphone et qu'il n'était pas aussi à l'ouest que ça, l'état de son amie le préoccupant sérieusement), il se rua dans sa voiture et conduisit aussi rapidement que la circulation le lui permettait jusqu'au lieu de rendez-vous fixé quelques instants plus tôt par téléphone. Elle se trouvait sur la promenade, le plus vaste et populaire centre commercial de la ville ce qui laissait Leo franchement songeur. Est-ce que quelqu'un s'en était pris à elle ? Avait-elle assisté à quelque chose qui l'avait troublé ? Il n'en savait rien, mais il n'allait pas tarder à le savoir. Il se gara en deux deux sur le parking et sorti de sa voiture. Il faisait un peu tâche, ayant l'air un peu trop bien habillé pour un tour au centre commercial, mais en même temps il avait eut un rendez-vous avec un artiste quelques heures plus tôt et puis il n'envisageait pas de s'éterniser dans le coin, il allait sans doute ramener Cléo chez elle. Attirant des regards intrigués sur son passage, Leo fila jusqu'au point de rendez-vous désigné avec l'air profondément inquiet de celui qui redoute le pire. Et puis, il la vit. Elle se tenait là où elle le lui avait indiqué et n'avait vraiment pas l'air ennuyée. A vrai dire... Elle souriait presque. Leo fronça les sourcils en arrivant devant elle. Quelque chose clochait. « Hey, tu m’as fais peur au téléphone, qu’est-ce qui t’arrives ? » Elle n'était vraiment pas aussi bouleversée qu'il se l'était figuré tout le long du trajet de la galerie jusqu'ici. En fait elle n'avait pas l'air bouleversée du tout.
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après quelques minutes à regarder ton téléphone portable, à te demander si tu devais appeler ou pas, tu décidas de le faire. bon, ce n'est pas très sympathique, surtout la partie où tu vas délibérément mentir à l'un de tes plus vieux amis. mais c'est pour la bonne cause ! enfin, c'est ce que tu ne cesses de te répéter dans ta petite tête. et pour l'obliger à venir, tu as pris ta voix de petite fille paniquée, qui avait besoin d'aide le plus vite possible. ça marche à chaque fois. parce que oui, tu n'es pas à ton premier coup d'essais, tu as déjà fait un coup semblable à ton frère jumeau, il y a quelques mois seulement. c'est le seul moyen que tu as trouvé pour qu'il vienne enfin, que tu sois certaine qu'il vienne. tu connais léo depuis pas mal d'années, et le voir changer t'as un peu brisé le coeur. alors tu voudrais qu'il redevienne comme avant et pour ça, il faut lui en parler. mais le problème, c'est que si tu lui avais dit au téléphone que tu voulais lui parler de ça, il ne serait jamais venu et t'aurais très certainement pas parlé pendant quelques semaines. alors dire que tu ne vas pas bien semblait être la meilleure idée. mais bon, quand il va arriver, ça risque de chauffer ... mais tu préfères ne pas y penser. sans prendre ta voiture, voulant méditer un peu sur ta vie, tu décides de te rendre au rendez-vous que tu lui as donné, quelques minutes plutôt. le centre commercial est vaste, très vaste, c'est pour ça que c'est l'un te tes endroits préférés dans la ville enfin, la promenade. c'est là-bas que tu te rends, que tu dois le retrouver. tu regardes l'heure sur ton téléphone, il devrait pas tarder. et puis tu commences à réfléchir à tes paroles. tu lui as dit que tu n'allais pas bien, mais c'est tout le contraire, alors comment lui dire ? sachant qu'il risque de se fâcher assez vite ... mais tu n'as pas eu le temps de trop réfléchir, entendant sa voix venir vers toi. « hey, tu m'as fais peur au téléphone, qu'est-ce qui t'arrives ? » quand tu te retrouvas face à lui, ton petit sourire de fautive s'afficha sur ton visage. « ne te mets pas en colère, mais ... je vais bien. très bien même. » tu examinas son visage, pour voir sa réaction, avant de continuer de parler. « en fait, je voudrais qu'on parle. de toi, plus précisément. »
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Leo avait une sainte horreur d'être dérangé quand il était en plein boulot. Il aimait à s'adonner à fond dans tout ce qu'il faisait et n'avait pas peur de passer des heures à se consacrer à la même chose. On pouvait lui trouver des défauts par dizaine, mais on ne pouvait décemment pas lui enlever qu'il était des plus vaillants. Même son entraineur le lui avait reconnu, lui accordant qu'il était un véritable casse-pied, mais un casse-pied très bosseur et dédié au tennis. Il était tout bonnement comme ça, Leo, il aimait à viser la perfection. Il avait toujours éprouvé ce besoin de briller, de s'élever dans le ciel. Cette amour de la victoire, cette gagne. Ca faisait tout simplement partie intégrante de lui de même que son horreur de la défaite. Néanmoins, ce côté de sa personnalité s'était retrouvé exacerbé alors qu'il grandissait. Il faut dire que son père était exactement pareil voir encore pire même et ça n'aidait décemment pas. Pour décrocher Leo de son boulot, il fallait y aller et lui laisser croire que quelque chose de grave s'était passé était incontestablement une bonne méthode. Il n'y avait qu'à voir : aujourd'hui, ça avait marché. Malheureusement pour Cléo, le voile de l'illusion s'apprêtait déjà à tomber. Leo était bien loin d'être un idiot et il avait d'ores et déjà compris qu'il y avait anguille sous roche. De toute évidence, Cléo lui avait fait du cinéma au téléphone, ce qui avait le don de l'agacer prodigieusement (sa mère versait également là-dedans et ça avait le don de l'exaspérer) et il ne comprenait pas pourquoi. L'expression de stupeur sur son visage se teintait déjà d'un peu d'amertume. « ne te mets pas en colère, mais ... je vais bien. très bien même. » leo se mordit farouchement la lèvre, comme pour se contenir. Elle l'avait fait venir pour rien, de toute évidence elle l'avait fait venir pour rien et elle savait combien il détestait être interrompu, combien son boulot et son implication vis-à-vis de ce dernier comptait pour lui... Il n'était pas sûr de réussir à ne pas se mettre en colère. « Je ne comprends pas » lâcha-t'il en la défiant un peu du regard d'accoucher, de lui dire pourquoi elle venait de le faire courir ici sans raison alors qu'il avait autre chose à faire. « en fait, je voudrais qu'on parle. de toi, plus précisément. » Il devait vraiment prendre sur lui pour ne pas décamper, énervé de s'être fait avoir au delà d'avoir perdu son temps en venant ici tout en étant persuadé que quelque chose de grave était arrivé. Mais non, elle voulait juste parler de lui. « quoi moi ? Cléo, j'ai un boulot, des responsabilités et tu me fais venir simplement pour parler ? Ca ne pouvait pas attendre ? » il n'y avait pas trente-six milles réponses acceptables à cette question. Si, ça pouvait forcément attendre.
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tu avais déjà anticipé sa réaction dans ta tête. tu le connais bien, très bien même. tu savais donc déjà qu'il allait te détester quand il allait savoir que tu l'as fais venir seulement pour parler. mais tu devais le faire, sinon tu allais te dégonfler. tu y penses depuis quelques mois, de parler à léo, sans pour autant l'avoir fait avant. la peur peut-être ? tu ne sais pas, mais le plus important : c'est que tu vas lui parler maintenant. enfin, s'il reste. ce qui n'est pas gagné. à vrai dire, tu te sentais presque mal de l'avoir fait venir ici, alors qu'il était au boulot. tu baissas la tête, pour ne pas croiser son regard. le genre de choses que tu faisais enfant, quand tu savais très bien que tu avais fais une connerie et que tes parents t'engueulaient. c'était un peu la même chose ici. tu te mordais la lèvre inférieure, jetant de petits regards pas discrets en sa direction, attendant qu'il ouvre la bouche. et puis tu t'es mise à regretter de l'avoir appelé. tu aurais pu lui en parler ce soir, venir à l'improviste chez lui avec des bières et une pizza. mais non, il se tiens devant toi et tu agis comme une enfant. parce que tu ne sais pas comment agir, ni comment penser en réalité. en fait, tu as seulement peur qu'il te tourne le dos, de le perdre à cause d'une connerie que tu as fait. « je ne comprends pas. » tu remontes la tête, croise son regard. et quand tu veux ouvrir la bouche, les mots ne sortent pas. comme si tu savais que tu as eu tord pour cette fois-ci. non, aucun mot n'a réussi à sortir de ta bouche. en fait, même pas un son. mais c'est peut-être mieux comme ça. tu as le don de te mettre dans l'embarra toute seule. donc il est peut-être préférable pour toi de ne pas parler, ou du moins, pas maintenant. « quoi moi ? cléo, j'ai un boulot, des responsabilités et tu me fais venir simplement pour parler ? ça ne pouvait pas attendre ? » tu baissas de nouveau la tête, honteuse. il avait raison. tu passas quelques instants sans rien dire, avant de prendre ton courage à deux mains et de relever la tête, afin de prendre la parole. « écoute, je sais que j'aurais pas dû et je m'en rends compte seulement maintenant en fait. mais c'est important, okay. ça ne pouvait pas attendre. » tu soutiens son regard, pour la première fois depuis qu'il est arrivé devant toi. tu t'inquiètes pour lui enfin oui, mais aussi pour son comportement. tu l'as vu changer aux fils des années et tu veux lui en parler, même si ça prendra du temps, tu veux qu'il redevienne comme avant. que tout redevienne comme avant.
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Elle a presque l’air intimidée et un instant, il se sent un peu coupable de voir que leur amitié a perdu de sa simplicité. Il a conscience de ne pas y être pour rien. Il en a conscience Leo, il sait qu’il n’est pas facile et qu’il n’est pas le meilleur des amis. Ca n’a jamais été trop son objectif en même temps. Déjà plus jeune, il ne ressentait pas le besoin de s’entourer de gens pour se sentir bien. Il a toujours eut pour habitude de se suffire parfaitement à lui-même et sans doute qu’il ne serait jamais devenu ami avec elle s’il n’y avait pas avant la leur l’amitié respective de leurs deux mères. Presque tous les ans durant son enfance jusqu’à son entrée dans l’âge adulte, ses parents avaient pris pour habitude de lui faire passer au moins un mois de son été chez ses grands parents en France. Ce n’était pas tant le désir de son père, mais les grands parents de Leo avaient toujours sut se montrer persuasifs, ou juste lourdingues au point que les gens finissaient par leur céder pour avoir la paix. Une foutue obstination qui caractérisait aussi le paternel Carstairs et son fils. En somme c’était de la famille d’être têtu comme un âne et un tel rassemblement de personnes bornées à souhait, ça ne pouvait que générer des disputes. Enfin, durant ses étés passés en France, il avait sympathisé avec la fille de la meilleure amie de sa mère. Cléo était devenue son amie ainsi et elle comptait pour lui, indéniablement, mais ils étaient très différents et Leo avait conscience que depuis des années maintenant, un mur s’était indéniablement bâti entre eux deux. Et là, en cet instant, elle semblait même avoir limite peur de lui et de ses réactions. Il faut dire qu’elle n’avait peut-être pas tord. Elle le connaissait suffisamment bien pour savoir qu’il pouvait être très sec dans ses formulations et ce peu importe la personne à laquelle il s’adressait et l’affection qu’il pouvait bien lui porter. Il l'observe, lui coule un regard qui attend une explication et elle ouvre la bouche pour lui donner une explication, mais les mots semblent rester bloqués dans sa gorge. Leo sentait l'impatience le gagner, mais il s'efforça de prendre une expression, moins sujette à la tension. « écoute, je sais que j'aurais pas dû et je m'en rends compte seulement maintenant en fait. mais c'est important, okay. ça ne pouvait pas attendre. » Elle avait enfin relevé les yeux, lui faisant vraiment face. Leo se mordit la lèvre comme pour canaliser sa frustration. Il était d'avis que si, ça pouvait forcément attendre, d'avis qu'il était en train de perdre du temps alors que cette discussion aurait sans doute put se régler avec un coup de fil à un moment plus opportun pour lui, mais il n'allait pas se tirer. Mieux valait encore l'écouter tant qu'il était là et essayer d'expédier ça rapidement. Et puis, ça avait l'air de compter pour elle, elle lui semblait à fleur de peau. Il poussa néanmoins un soupire, comme pour manifester clairement qu'il faisait là un effort pour elle. « D'accord, mais je ne peux pas rester longtemps, alors essaie de faire vite. » Il lui passa rapidement un bras dans le dos, comme pour qu'elle se détende un peu, même si lui-même était tendu ce qui n'aidait pas avant de se diriger vers un café. Tant qu'à discuter, il allait se boire un café pour se requinquer et revenir à la galerie plein d'énergie.
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d'un côté, tu regrettes ton geste. mais de l'autre, tu préfères te dire que c'est pour le mieux, que comme ça, au moins ça sera terminé le plus vite possible. ce n'est pas que tu as peur de lui, non, là n'est pas le problème. le problème, c'est seulement que tu ne supportes plus vraiment son comportement, et ce depuis plusieurs années déjà, quand il a commencé à ressembler de plus en plus à son paternel. mais léo reste quand même l'un de tes vieux amis, et tu ne veux pas cesser de lui parler à cause de ça. tu l'as connu sociable et sympathique, lorsque vous étiez encore enfants : il était totalement l'opposé de l'homme qu'il est maintenant. mais avant ce jour, tu n'avais pas trouvée le courage de lui adresser la parole, sachant pertinemment qu'il n'allait pas t'écouter et repartir à sa vie. mais ça te tiens à coeur, parce que le léo que tu as connu enfant te manques. tu secoues légèrement la tête pour te concentrer. tu as toujours cette attitude d'enfant qu'on aurait grondé suite à une bêtise, ne voulant qu'il s'énerve, sachant très bien comment il est. « d'accord, mais je ne peux pas rester longtemps, alors essaie de faire vite. » tu ne peux t'empêcher d'esquisser un petit sourire quand tu entends ses paroles. bon, au moins, il va t'écouter, c'est déjà une bonne chose. elle prend donc la direction du café du centre-commercial, en regardant de temps en temps derrière son épaule pour voir si léo te suivait toujours, on ne sait jamais. tu commences alors un capuccino, où la boisson que tu commandes toujours dans un café, tu ne peux pas vivre une journée dans ton petit capuccino. le café en main, tu t'installes à une table, en face du jeune homme et réfléchis quelques instants aux paroles que tu vas prononcer. tu attends quelques instants qu'il te rejoints avant d'esquisser un petit sourire. « bon, je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais depuis quelques années tu as changé ... » tu t'arrêtes quelques instants, pour voir sa réaction avant de reprendre la parole. « en fait, même si je sais que nous avons grandis et que nous ne sommes plus réellement les personnes que nous étions étant enfants, ce qui me semble logique dans un sens mais, tu ressembles beaucoup à père qu'avant. » tu t'arrêtas une nouvelle fois, quelques secondes, puis reprend la parole sans que léo n'ait le temps de parler. « non pas que ce soit une mauvaise chose, mais tu es devenu plus hautain, plus perso. tu vois ce que je veux dire ? » tu lui adressas un regard timide avant de boire une gorgée de ton café, attendant une réponse de sa part.
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 save me from myself (with cléo)







» Save my soul ▵ Alexander
» (cléo) these crazy kids.
» make a mistake, learn, repeat (w/cléo)
» moi je vais rester là pour raviver le feu parce que des fois il se déravive. ⊹ cléo.

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