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 amour vache rime avec wyatt, j'vous assure.




Willa S. Miller
modératrice
Date d'inscription : 13/03/2016
Messages : 456


Willa, n'oublie pas le tissu rose. Willa, où sont mes ciseaux ? Willa, tu as pensé à la soie ? Willa, le velours vert, c'est plus vieux que toi, on oublié. Wila... Tu vas te la fermer oui ? Je ne la supportes plus. Elle me tape sur le système. Je suis chez Macy Stewart depuis une semaine et elle se prend pour Anna Wintour depuis que le Times l'a proclamé "espoir de la mode New-Yorkaise". Pauvre d'elle, elle n'a pas lu le chapô qui riait son côté ordinaire. Macy ne sait pas lire les mauvaises critiques. Elle fait partie de ces personnes qui ne lisent et ne retiennent que le bien qui a été dit d'eux. Oh, Macy est douée. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Elle est même très doué. Concernant la mode masculine, elle a côté décalé qui m'a énormément plus. Force est de constater que ce qu'elle sort, est présent chez Zara ou Asos. Sincèrement. Tandis que pour les hommes, elle se rapprocheraient presque de Balmain. C'est pour ça que j'ai choisi Macy & Stewart pour mon immersion. Le personnage est malheureusement tout autre chose, et heureusement ! c'est ma dernière semaine chez elle. Insupportable. Si elle avait été plus humble, elle aurait beaucoup plus de succès. Qu'elle se calme, elle est loin derrière la couette de Lagarfeld. « Macy, je vais rentrer, il faut que...». « Non. » Pardon ? Je suis là depuis qu'il est six heures du matin, il est déjà vingt-et-une heure et non ? Je ne peux pas rentrer ? Je la toise du regard et je ne me retiens pas de faire une moue dédaigneuse. Ma journée n'a absolument pas été productive : à part faire du café, principalement pour moi, trier les tissus qu'elle utilisera demain, par nuance, par taille et par matière. C'est tout. Ah si, j'ai passé la journée à parler par sms avec tout mon répertoire. Moi qui ne prends jamais de nouvelles, ils ont dû être bien étonné en voyant mon nom s'afficher. « Je réitère : Macy, je rentre. À moins que demain, tu ne veuilles expliquer à Cynthia pourquoi je ne suis pas là. » Je n'aime pas faire jouer mes relations mais je viens d'arriver à un point de non-retour avec Macy. Cynthia est sa publiciste, celle qui m'a fait entrer. On se connait depuis qu'on est toute petite. Sans elle, Macy ne serait rien et elle le sait. Sans attendre sa réponse, je pose tout ce que je tiens dans mes bras sur la table, attrape mon sac et mon téléphone et je me dépêche de sortir, ne supportant plus de respirer le même air qu'elle.

La nuit est déjà tombée dehors, et un vent frais s'est levé. Je regrette de ne pas avoir pris mon écharpe. J'ai une flemme intense de prendre le métro, qui doit être bondé de jeunes qui s'en vont faire la tourner des bars. J'ai l'impression d'avoir la quarantaine passée, à dire "les jeunes". Je n'ai même pas encore eu mes vingt-cinq ans. C'est le sujet de beaucoup trop de discorde autour de moi. Willa, on ne te voit plus. Willa, tu ne sors plus. Willa, oublie tes patrons, sors voir la vie. Willa vous emmerde. C'est mon choix de ne plus sortir tous les soirs, de boire comme un trou une fois par mois à en oublier que pour marcher, il faut faire un pas devant un autre. J'ai choisi d'arrêter tout ça. En soi, je n'ai pas arrêter tout ça, j'ai juste mis en pause cette partie de ma vie. Je sors encore, je vois toujours du monde. Moins qu'avant. Et ce n'est pas parce que je suis ambitieuse que je ne suis plus la même. Je suis toujours Willa. Je hèle un taxi et dix minutes plus tard, j'arrive chez moi. A peine arrivée devant ma porte, je sursaute. « Qu'est-ce que tu fais là ? » Wyatt est contre ma porte, les bras croisant, m'attendant. « On avait rendez-vous ? » Ca fait longtemps que je ne l'ai pas vu. C'est comme ça avec Wyatt. On se voit une fois et chacun vit sa vie de son côté sans en vouloir à l'autre de ne pas donner de nouvelles. J'en oublie mes bonnes manières. Arrivé à sa hauteur, je lui cale un baiser sur sa joue et le laisse entrer derrière moi. « J'ai énormément de boulot Wyatt, je ne sors pas ce soir. » Autant mettre les choses à plats dès le début. Je jette en vrac mes chaussures, ma veste et mon sac et m'assoit sans aucune grâce sur mon canapé, suivi de Wyat. A peine s'assoit-il que je pose ma tête sur ses cuisses. « Sinon, ça va toi ? »
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Wyatt A. Blackburn
modérateur
Date d'inscription : 12/03/2016
Messages : 440





how you met my mother
WILA MILLER & WYATT BLACKBURN

« C'est bon là ! Tu dois dégager, ok? Personne ne veut de toi ici. » J'observe Tay arracher un t-shirt des mains de Rosie, ma "mère", t-shirt qu'elle a emprunter dans les affaires de ma soeur sans autorisation. Après, c'est moi qui exagère.... J'ai tout tenté pour que Rosie déguerpisse le plancher cette dernière semaine et Taylor n'a fait que me répéter que je perdais mon temps. Ce qui n'est pas faux. Mais quand enfin ce bordel dérange mademoiselle, elle réagi. « Vous perdez votre temps. » Aaron marmonne, la tête dans le frigo. J'admire vraiment le calme de mon frère face à cette situation. Il parvient à ignorer Rosie comme si elle n'existait pas, alors que nous sommes tous sur les nerfs depuis sa ré-apparition miraculeuse. La voix monte entre Rosie et Taylor et Haley s'échappe du salon en bouchant les oreilles de Bethany. « Wyatt, fait quelque chose. » Je l'observe les yeux ronds, avant de laisser tomber mes bras contre mon corps. Je ne vais pas mentir, aussi horrible que ce soit de l'admettre, Haley est ma préférée. Du haut de ses 15 ans, c'est elle qui m'apporte le plus de soutient à la maison, que ce soit avec les plus jeunes, pour les repas, les devoirs. Tout. Elle est la seule qui comprends que je ne suis pas chef de famille, que je n'ai jamais demandé à élevé 5 gosses et que je ne leur dois rien. Si je le fais, c'est parce que je serais bien incapable d'en faire autrement et de les laisser livrer à eux-mêmes, mais ce n'est pas ma responsabilité. Le problème d'Hales, c'est qu'elle voit le bien partout et chez tout le monde... On a passé cette dernière semaine à se prendre la tête " parce que je ne laisse même pas une chance à maman ". Des chances elle en a eut des centaines... Mais Haley persiste à croire qu'un jour ou l'autre, elle rentrera à la maison pour du bon. Beth se met à pleurer et j'enfui la tète dans mes mains. « Tu veux que j'admette que t'avais raison? T'avais raison ! Fait la partir. » La voix de ma sœur se brise. Elle déteste avoir tord, mais par dessus tout, je la sais blessée de constater que non, Rosie n'a pas changé d'un pouce depuis la dernière fois.

Je ne réfléchi plus et attrape ma veste et les clés de la voiture dans un soupire. « Je ne sais pas quand je rentre. Aaron, cette fois-ci, c'est pour toi. » Je sais que mon frère se tape un peu de tout. De ma mère, de la situation des autres. Il n'est pas complètement égoïste, il a juste tendance à penser qu'attendre que ça passe soit la meilleure solution. Je traverse le salon, passant à côté de ma mère et ma sœur qui hausse toujours la voix un peu plus fort l'une sur l'autre. J'hésite à la mettre dehors moi-même, mais trop blasé et énervé, je me contente de prendre la porte seul et monte dans la voiture, fuyant ce petit train train quotidien. Du moins cette dernière semaine, ce n'est pas toujours aussi catastrophique. Machinalement, je prends la route pour me rendre à Chinatown, ou vit Willa. Je sais que je devrais plutôt me tourner vers Eleanor, mais je la vois déjà me poser des questions et tenter d'aider - alors qu'il n'y a rien à faire - ce qui me met les nerfs sans même le vivre. Et puis Willa me manque, même si je ne risque pas d'un jour le lui admettre. Je me recoiffe vite fait dans le rétroviseur, juste pour ne pas donner l'impression que je tombe tout juste du lit, puis me dirige vers chez elle. Pas de réponse. Je pousse un long soupire en me laissant aller contre la porte. Je dois avoir fait quelque chose de mal pour que cette journée s'empire de minute en minute. Heureusement, je n'ai pas le temps de réfléchir à mon prochain mouvement, la blondinette apparaît dans mon champs de vision. Je ne peux m'empêcher de sourire, mais celui-ci se fâne dés qu'elle prend la parole. « Qu'est-ce que tu fais là ? » Moi aussi je suis heureux de te voir. « On avait rendez-vous ? » Je balance la tête de droite à gauche pour lui répondre. « J'ai oublié de t'envoyer un mail pour me caler une place dans ton agenda. » Je lève les épaules tout en lui adressant une petite moue moqueuse. Elle m'embrasse et tout en entrant chez elle, me précise qu'elle est surchargée aujourd’hui. Ô quelle surprise. « Tu as toujours trop de boulot. » Ce n'est pas un reproche mais une simple constatation. Je ne me souviens pas d'une soirée ou elle m'a signalé être libre pour s'amuser ces derniers mois. J'espère juste pour elle que tout ce travail en vaut la peine, qu'un jour elle pourra profiter de longues vacances avec des petits larbins qui se chargent de tout pour elle. Là, elle pourra se dire que tout ces sacrifices, ce n'était pas pour rien. Je retire ma veste une fois à l'intérieur et me laisse tomber dans le canapé, Willa trouvant bien vite sa place sur mes jambes. « Sinon, ça va toi ? » Je laisse retomber l'un de mes bras sur elle et caresse ses cheveux de ma main libre, réfléchissant à la question. Je déteste m'étaler et ne suis certainement pas venu ici pour me plaindre. « Le train-train habituel. » Ou presque. Avec juste Rosie dans les pattes et les embrouilles de plus en plus fréquentes avec Lea. « Et toi ? Tu survis ou ils te tuent au boulot? » Qu'on se le dise, elle a l'air d'être au bout de sa vie !
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Willa S. Miller
modératrice
Date d'inscription : 13/03/2016
Messages : 456


J'ai toujours préféré la présence des garçons, c'est un fait. J'ai plus d'amis garçons que d'amis filles. Je les compte sur les doigts de la main d'ailleurs. Aux repas de famille, je suis toujours fourrée avec mes cousins. Surtout du côté de mon père. J'ai toujours ressenti ce besoin d'être avec des hommes. Pas pour me sentir belle, désirée, ou me les faire chacun leur tour dans la semaine qui suit notre rencontre. Je n'ai d'ailleurs couché avec aucun de mes amis proches. Non, les garçons m'offrent ce calme que je ne retrouve pas chez les filles. Étant une fille moi-même, je sais de quoi je parle. Nous n'avons pas les mêmes problèmes, les mêmes enjeux. Alors quand j'ai envie de me changer l'esprit, je sais qu'il me suffit s'appeler un garçon. Bon, ces derniers mois, je n'ai pas eu le temps de me changer l'esprit. Je n'ai d'ailleurs pas le temps d'y penser. Ma vie tourne à deux cent cinquante à l'heure et la mini-fashion week organisée par l'école me fait tourner en bourrique autant que cette Macy. Parmi les gars cités plus haut, il y a Wyatt. C'est un des seuls à être resté auprès de moi quand j'ai décidé de couper les ponts avec les soirées. Il est un peu mon pied à terre dans la vie sociale nocture. S'il n'avait pas cette spontanéité de venir me voir, j'en oublierai que la ville vie la nuit. Un rire m'échappe quand il fait allusion à mon agenda. « Mon pauvre, je n'aurai même pas reçu ton mail tant ma boîte est pleine. » Cette semaind, j'ai dû recevoir plus de 200 mails par jour de Macy. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien me raconter ? Rien. Elle m'envoyait un mail pour ne pas parler, parce qu'elle voulait garder sa voix pour son discours de fin de semaine. Donc sur 200 mails quotidien, 199 ne contiennent pour seul texte que mon prénom. Écorché en plus, elle oublie un "l". Je ne peux m'empêcher d'adresser un regard plus que blasé à sa remarque. Je ne le prends pas comme un reproche, je sais qu'il comprend. Ou du moins essaye. Mais croyez-moi, je suis la première à me taper la tête contre le bureau quand je vois qu'à une heure du matin, j'en suis à mon cinquième café depuis vingt-trois heures et que j'ai repris ma sale habitude de fumer. Seulement pour réussir, il faut travailler, bosser sans relâche. Je ne compte pas abandonner si proche du but, de la libération. J'ai promis à tout le monde d'organiser la plus grande soirée qu'ait connu Washington à l'obtention de mon diplôme. Tous l'attendent avec impatience. Moi la première. D'ailleurs, je pourrai m'endormir sur les genoux de Wyatt s'il continue de jouer avec mes cheveux. Mais je ne peux pas dormir. Il me reste encore trop de choses à faire.

Le train-train habituel. Je lance un regarde soucieux en direction de mon ami. Il me dit ça d'un ton banal, parce que c'est habituel. Je vois tout même la barre qui marque son front. Je me redresse et je me cale contre lui, calant son bras sur mes épaules. Je lui embrasse la joue, et joue avec sa main. Si Wyatt voulait me parler de ce qui le tracasse, il l'aurait fait. Par tous ces petits gestes, il sait que je suis là pour lui. « C'est moche, le train-train. » Dixit la fille qui n'a aucune activité et a une vie plus que monotone. Je lâche un rire jaune. « Je survis. Je n'ai qu'un hâte, être en vacances d'Été et partir en vrai vacances, loin des Macy en tout genre. » je bougonne dans ma barbe inexistante juste en pensant à cette folle. Elle me poussera à bout avant la fin. Mais je suis professionnelle. Je sais garder mon calme. « Comment va Eleanor ? » Je n'ai jamais eu l'occasion de connaitre réellement cette fille et pourtant, elle fait partie de l'entourage de mes amis les plus proches. DC, si grand et pourtant si petit. « On commande chinois ? » J'ai faim, oui.
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Wyatt A. Blackburn
modérateur
Date d'inscription : 12/03/2016
Messages : 440





how you met my mother
WILA MILLER & WYATT BLACKBURN

« Mon pauvre, je n'aurai même pas reçu ton mail tant ma boîte est pleine. » Mail que je n'ai même pas, pour tout dire. Quand je suis sur l'ordi, c'est principalement pour mourir devant netflix, enfermé dans la chambre, et être tranquille. J'utilise rarement mon mail et n'en voit aucune utilité... Et puis même si je ne l'utilise pas très souvent, j'ai en ma possession le numéro de Willa, ce qui est bien plus simple. Une chance qu'elle ne fasse pas partie des personnes qui demandent des SMS quotidiens pour prouver que notre amitié est toujours au beau fixe. La plupart de mon entourage s'est fait au fait que je ne donne et ne prends pas de nouvelles, ou du moins très rarement, mais j'ai toujours bien une remarque par-ci par-là à ce sujet. Willa s'en fou et agit de la même façon. Mais dans son cas, les SMS ne servent à rien, car à moins de se pointer et lui imposer sa présence, mademoiselle et son agenda de ministre trouve toujours une excuse pour repousser un rendez-vous.

Je laisse ma main retomber sur ma cuisse lorsque Willa se redresse pour se poser contre moi. « C'est moche, le train-train. » Un rire nerveux, que je ne peux juste pas retenir, s'échappe de mes lèvres. Sans blague. Quoi qu'en réalité, le train train me manque. L'époque ou tout allait bien dans mon couple et ou le monde tournait plus ou moins rond à la maison. Bien sûr, ma vie a toujours été faites de haut et de bas, gérer les 5 cadets n'a jamais été chose facile mais on s'y fait. « Je survis. Je n'ai qu'un hâte, être en vacances d'Été et partir en vrai vacances, loin des Macy en tout genre.   » Je souris et presse ses doigts entremêlés aux miens en signe de soutient. Par chance, mon patron m'en demande beaucoup et ne compte pas vraiment les heures extras qu'il me demande de faire, mais il est plutôt cool. De plus, il sait parfaitement que j'ai besoin de ces heures... Et il me fait confiance. Je n'ai franchement pas à me plaindre.  « Ils vont finir par avoir ta peau. » A se demander comment elle a tenu jusqu'ici sans faire une crise de nerfs. « Je suis sûr qu'une bonne soirée te ferait le plus grand bien. Juste oublier toutes ces responsabilités quelques heures... » Après, je dis ça je n'dis rien. Mon sourire s'élargi et mon visage prends surement un air trop enfantin pour mon âge. Je lui donne 4 secondes pour me remballer, mais ça m'amuse d'essayer. Qui sait, un jour, ça pourrait marcher! La Miller qui se déchaîne en soirée et parviens à tenir l'alcool mieux que moi me manque terriblement.  « Comment va Eleanor ? » Mon sourire se fane et je lève les épaules. C'est une excellente question, à laquelle je n'ai pas de réponse. Est-ce si horrible d'oser espérer qu'elle aille mal? Qu'elle soit un tant soit peu bouleversée par nos disputes à répétitions? Car moi, ça me bouffe un peu plus chaque jour. J'ai l'impression de passer mes heures à réfléchir à comment arranger les choses avec elle, tout en cherchant un moyen de virer Rosie de la maison. « Bien, j'imagine. » La vérité est que je n'en ai pas la moindre idée. « On n's'est pas vu depuis quelques jours. » Dis-je simplement, pour expliquer le fait que j'ignore comment ma petite copine se porte. Willa me propose alors de commander à manger et je suis ravi qu'elle change de sujet : on peut parler bouffe autant qu'elle le désire! « Fais toi plaisir. N'oublie juste pas le dessert. » Si ce restaurant chinois à des bananes frites à la carte, je le bénis à vie. « Le tout avec un bon verre de vin? Je peux aller nous en acheter si tu n'as rien en stock. » Un verre, puis un deuxième... Je vais arriver à mes fins - qui, je le précise, n'est pas de la soûler. « Allez Willa, t'en meurs d'envie. Tes dossiers seront toujours là demain... » Je souris. Peu importe ce sur quoi elle travaille en ce moment, il ne doit pas être totalement impossible pour elle de faire une pause.
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