NOM(S)nixon. tu tiens ton nom de la longue lignée nixon, dont le principal connu reste richard nixon, 37ème président des états-unis . PRÉNOM(S)lisa. tu n'as jamais aimé ton premier prénom, va savoir pourquoi. connie. diminutif de constance. depuis l'enfance, tu détestes celui-là également. alors, tout le monde a rapidement pris l'habitude de t'appeler connie. depuis, c'est resté.ÂGEvingt-huit ans, même si tu es bien plus près des vingt-neuf ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE tu es née le dix-neuf mars mille neuf cent quatre-vingt sept à washington.NATIONALITÉ tu es américaine de pure souche. tu as peut-être quelques origines bien cachées, mais peu importe. STATUT CIVIL tu es célibataireORIENTATION SEXUELLEhétérosexuelle. MÉTIER tu travailles en tant que chirurgienne orthopédique, et sans vouloir te vanter, tu es plutôt reconnue dans le milieu. CLASSE SOCIALE tu proviens du milieu aisé, il faut dire que tu n'as jamais manqué de rien. CARACTÈRE amusante, fière, charmante, légèrement naïve, caractérielle, optimiste, généreuse, impulsive, jalouse, dynamique, bienveillante, engagée, persévérante, têtue.
PSEUDO fairy sissi PRÉNOM cynthia ÂGE 20 ans. PAYS france. INVENTE/SCENARIO scénario de camille beauregard. CRÉDITS gentleheart. DOUBLE COMPTE ? pas encore schyzo AVATAR gemma arterton.
descendante de richard nixon, tu n'as jamais prêté attention à la politique. si celle-ci a été constamment présente dans ta vie depuis ton enfance, tu es la seule enfant de la famille nixon à ne pas avoir suivi les traces de ton arrière-grand-père que tu n'as connu que très peu. ≈ benjamine d'une fratrie de trois enfants, tu as toujours eu l'impression d'avoir été surprotégée par tes deux frères. et pour cause, tu es la seule fille. ≈ tu vis à capitol hill, dans un luxueux appartement, avec pour voisin, camille beauregard qui te rend complètement folle dans tous les sens du terme ≈ tes biscuits préférés sont les oréos ≈ tu as toujours été une jeune femme très appréciée de la gente masculine et pour cause, en plus d'être belle, tu es intelligente... et faut dire que la fortune familiale reste quelque chose de très apprécié visiblement. ≈ tu n'es pas spécialement naïve dans la vie de tous les jours, sauf, en amour. celui-ci t'aveugle constamment et tu es prête à tout quand tu es avec quelqu'un. bien sûr, cela t'a déjà joué de nombreux tours mais tu ne sembles pourtant pas avoir compris la leçon. ≈ tu ne peux pas quitter ton appartement sans avoir bu une tasse de thé ≈ tu es du genre à écouter de la musique au bloc opératoire ≈ tes parents ont toujours été pour les activités scolaires, alors depuis petite, tu joues du violon. ≈ elle n’aime pas obtenir les choses facilement : pour elle, les choses n’ont de la valeur que si on les mérite, et qu’on les obtient en travaillant. ≈ excellente cuisinière, elle peut passer des heures entières à faire à manger, elle a un talent particulier pour les cupcakes ; quand elle est angoissée ou triste elle aime se détendre en cuisinant, lors de ces moments là, sa cuisine se retrouve envahie par les pâtisseries et elle n'a aucune difficulté à tout avaler, une chance pour elle, elle n'est pas du genre à grossir facilement. ≈ tes aînés sont devenus d'ailleurs tout ce que tu détestes, deux hommes assoiffés par le pouvoir dont leur seule préoccupation est savoir quel cravate s'associera le mieux avec leur chemise pour leur prochain meeting. Deux manipulateurs, deux idiots qui brisent le coeur des filles qu'ils croisent, deux crétins qui se sentent obligés de se détruire l'un l'autre pour atteindre leur but.
KINDNESS Tu trouves que le groupe kindness te correspond plutôt bien. Jeune femme de bonne famille, tes parents t'ont inculqués des valeurs qui font ce que tu es aujourd'hui. Toujours avenante et charmante envers les autres, tu estimes que la violence ne doit pas être le maître mot du monde dans lequel tu vis. Bien sûr, derrière ta vision idéaliste, tu sais pertinemment que quoi que tu fasses, il restera toujours des gens pour détruire ce que les gens comme toi essaient de construire. Mais, tu restes optimiste. Alors, quotidiennement, tu t'obstines à essayer de rendre le monde plus beau en essayant d’œuvrer pour celui-ci. Tu gardes le sourire, soignes des gens avec toute ta passion et toute ton âme. Tu essaies d'apaiser la douleur de ceux qui souffrent. Tu donnes sans compter, sans rien attendre en retour. Cependant, il serait idiot de croire que tu n'es que ça. Une bonne âme charitable.
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Tu te souviens encore de la première fois où tu as mis les pieds dans un bloc opératoire en tant que résidente en chirurgie. C'était exaltant, passionnant. Tu te spécialisais, apprenais les différentes façons de prévenir, soulager l'appareil locomoteur. Bien sûr, tu avais déjà mis les pieds dans un bloc pendant ton clinicat, durant tes dernières années à l'école de médecine, où tu suivais une formation pratique, en observant et en assistant les médecins, dans le centre hospitalier universitaire de Washington. Mais, la spécialisation était différente. Tout était différent. Quand tu t'es placé devant la table d'opération, ton titulaire de l'autre côté, la jambe de votre patient mal au point devant vous, tu t'es souvenu comment tout avait commencé.
Quand tu étais petite, le principal sujet de conversation lors des repas dominicaux était la politique. Chacun discutait des idées du parti concurrent. Si tes aînés semblaient absorbés par le discours de vos aïeuls, tu étais complètement désintéressée par leur propos. Tout cela t'ennuyait. La diplomatie, la croissance, le conjoncture économique, le chômage te faisait bâiller. Tu savais déjà que tu n'étais pas faite pour la politique, chemin qu'aimait visiblement prendre chaque membre de ta famille. Ce que tu pensais s'avéra alors par le futur.
Si pendant leur scolarité tes frères usèrent de leur habilité à charmer et à bien savoir parler pour obtenir ce qu'ils voulaient, ce fut tout le contraire pour toi. Tu travaillais dur et avec persévérance, obtenant les honneurs et les éloges de tes professeurs. Tu étais une élève assidue et intelligente, qui faisait la fierté de tes parents. Tes parents savaient pertinemment que la politique te déplaisait au plus au point. Elle incarnait tout ce que tu n'aimais pas, des mensonges, de la manipulation, toi qui restais si bienveillante. Bien sûr, l'idée leur déplaisait et ils avaient beau essayé de te convaincre que la politique était le chemin de la gloire, tu n'en restais pas moins obstinée. La politique n'était pas le domaine où tu t'épanouiras. uc
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attention, on réserve une surprise aux meilleurs pubeurs 
et super choix pur Gemma 
bienvenue 
