NOM(S) il incite à la haine, il crie à la misère. La honte qui coule dans ses veines entaillées, la honte du paternel ; doyle. PRÉNOM(S) comme un murmure vague sur l'océan, il dépeint l'innocence entachée d'un fils mal-aimé ; Heathcliff. ÂGE vingt-neuf années qu'il vagabonde au travers d'un pays trop laid. DATE ET LIEU DE NAISSANCE un hiver 1987 dans une ville qu'il a enterré jusqu'aux tréfonds de son esprit. NATIONALITÉ il dégage sur chaque parcelle de sa peau la noirceur des états-unis. STATUT CIVIL le cœur est attaché à l'amant mal-aimant, l'esprit est souillé par ses bras glacés. ORIENTATION SEXUELLE il s'efforce à se plonger dans les courbes des demoiselles, mais il n'est qu'animé par le désir de la chair masculine ; les hommes laids, fourbes, tant adorés. MÉTIER enfui derrière les images filmés, cameraman à l'œil doré. CLASSE SOCIALE la misère, la pauvreté d'un monde qui agonise, plutôt crever de faim que de suivre le paternel et sa prétendue richesse. CARACTÈRE réservé, mystérieux, froid, serviable, impulsif, solitaire, manipulateur, malhonnête, arrogant, insouciant, colérique, lâche, bagarreur, faussement misogyne, provocateur.
PSEUDO the road. PRÉNOM vanessa. ÂGE dix-neuf ans. PAYS france. INVENTE/SCENARIO scénario. CRÉDITS twisted lips. DOUBLE COMPTE ? non. AVATAR boyd holdbrook.
Le père est un homme de Dieu, fervent serviteur du Tout-Puissant. La mère est rongée par la foi, les bras ballants vers le néant. + L'enfance est marquée par les vitraux des églises, par les péchés capitaux qui l'ont pourri. + Et depuis toujours, la honte le ronge. Depuis l'adolescence, le désir le plonge vers une perte. Il a cette brûlure au creux des reins, cette soif dans sa gorge. Ce besoin infini de sombrer vers les corps musclés. + Cette différence, cette abomination qui l'assassine fait de lui un lâche. Homme fuyard qui se cache sous la haine, qui crée les problèmes. Homme qui se défoule sur les corps courbés des demoiselles. Sous le caractère misogyne qu'il prétend avoir. + L'homme infâme qui se joue homme à femmes, avec des demoiselles sous les bras, de temps à autre. Des masques à exhiber, le temps de faire retomber la pression, de cacher le désir. Désir des des hommes. +
DREAMS L'écho d'un passé lointain résonne dans son esprit torturé. Il entend les démons de ses souvenirs venir le hanter, à chaque instant de sa vie. Chaque nuit est rythmée par les ruines de l'homme qu'il était, l'homme qu'il méprise. Il rêve d'un avenir meilleur, au-delà des voix qui hurlent sur son corps tremblant. Il rêve d'évasion, d'enfuir ce sentiment noir et profond qui l'agite. Il se relève de cette terreur qui le menaçait, grand et puissant dans ce monde infâme. Être ignoble qu'il était, qu'il est et qu'il sera toujours, jusqu'aux bas-fonds de son âme. Âme assassinée, cœur déviant, il erre dans la ville des lendemains ; avec de nouveaux horizons en tête.
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Son vieil habit flotte dans son esprit ; vêtement noir tacheté de honte. Il pue la colère, le mépris pullule sur le tissu, il suinte la haine et la déception. Le cœur empli de néant, le regard est froid et distant. Son paternel s'éternise auprès de son cerveau meurtri, un murmure au creux de l'oreille. Tu n'es rien et tu ne seras jamais rien. Tu es une déception pour le monde de Dieu. Les hommes comme toi sont des abominations, les déviants brûleront dans les bras de Satan. Le cœur d'un homme est pour l'amour d'une femme. Les déviants, fils, brûlront en Enfer. Tu brûleras en Enfer, homme infâme. Il l'entendrait presque, encore et toujours, résonner dans son crâne. Son crâne défoncé, son crâne abîmé, tant de fois meurtri par les coups, ses mains entourant ses cheveux souillés par la crasse. Il avait cherché à faire taire les voix qui hurlent dans son esprit. Abomination. Erreur. Honte. C'est toujours le même discours, toujours la même mélodie. Un orchestre ignoble qui frappe son torse, cette brûlure au creux des reins qui s'acharne, qui lui torture l'esprit, qui le redresse et l'énerve. Lui, l'autre. La véritable abomination de ce monde, celui qui le pousse au désir. L'homme qui porte les ténèbres en son cœur pourri, en son corps sali jusqu'à la moelle. Le gamin trop riche, le gamin trop con. Le gamin trop bon. Le serpent qui l'a poussé à goûter cette pomme juteuse ; la honte teintée sur le visage.Tu brûleras en Enfer, homme infâme. C'est ce que lui dirait son père parce que, lui, n'est pas un homme à femme. Il porte le mal au bas de son torse, rongé, souillé, sali par le désir d'autrui. Le désir des muscles saillants, des bras errants. Il aime la misère, il aime la colère. Il aime les hommes boiteux, alors il est parti de chez lui. Triste créature rejetée d'un monde parfait ; le monde de Dieu. Il a fui l'homme à l'origine de sa naissance. Il a fui le paternel, tout comme il a enfui le désir qui le brûle depuis tant d'années. Et un autre horizon s'est dessiné Et une autre vie s'est offerte à lui. Une vie honteuse, une vie de débauche. Ou presque car il a l'unique homme au creux de ses reins. L'homme vil, aux caresses subtiles. L'homme infâme qu'il fréquente, tandis que lui se plait à paraître homme à femmes. Avec des jouets, avec des pantins qu'il manipule pour chercher à paraître normal. Alors que le mal le ronge. Alors que l'impuissance le plonge dans un néant infini. Le tourment l'assassine, l'amant l'hypnotise. Abomination. Erreur. Honte. Amour maudit, amant enfui. Cœur en fuite. Tu es et tu seras toujours un monstre. Il ne peut plus lutter, il est l'homme maudit. Alors il laisse les ténèbres l'envahir. Alors il laisse l'amant le conquérir.