NOM(S) Ravensdale. PRÉNOM(S) Elena, Pia. Surnommée Leny. ÂGE Vingt trois ans tout juste. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Née à Washington un douze février. NATIONALITÉ Double nationalité américaine et italienne. STATUT CIVIL Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE Bisexuelle. MÉTIER Mannequin photo et accessoirement étudiante en graphisme et communication. CLASSE SOCIALE Aisée. CARACTÈRE secrète - ouverte d'esprit - joueuse - gamine - menteuse - fêtarde - drôle - tactile - bordélique - semble sûre d'elle - souriante dans toutes les circonstances - sensible - rancunière - sociable - têtue - lunatique - impulsive - colérique - caractérielle.
PSEUDO flashlight. PRÉNOM Julie. ÂGE 18 ans. PAYS France. INVENTE/SCENARIO Inventé. CRÉDITS Blondie (avatar) DOUBLE COMPTE ? Nope je suis nouvelle AVATAR Willa Holland la magnifique
pense être incapable de tomber amoureuse à nouveau ◘ passionnée de dessin et de mode ◘ elle est plutôt talentueuse en ce qui concerne le dessin ◘ paradoxale, puisqu'elle aime autant jouer à la play en jogging que de se pavaner en boîte de nuit ◘ accro à certains substances illicites depuis cinq mois maintenant ◘ fais tout pour aller à l'encontre de ce que son père lui dit de faire ◘ est passionnée par les reptiles, d'ailleurs elle à un serpent depuis un an ◘ aime passer du temps avec beaucoup de monde ◘ déteste parler d'elle ◘ ne se préoccupe pas de ce que les gens pensent d'elle ◘ fan de marvel ◘ fainéante, elle à de la chance d'avoir un bon métabolisme ce qui lui évite de faire du sport, qu'elle déteste ◘ au départ elle rêvait de travailler dans une grande agence de publicité pour des marques de luxe ◘ vit au jour le jour ◘ elle parle presque aussi bien italien qu'anglais, sa mère lui ayant appris depuis toute petite ◘ a peur du noir ◘ est revenue à Washington il y a six mois.
COLOR Parce que tu n'aimes pas faire comme tout le monde. Que t'aimes être belle, sexy et attirante mais que t'apprécies tout autant de rester en jogging devant ta télé. Que t'es une artiste, une fille détruite, un coeur brisée. Une âme libre, libre penseuse. Curieuse, qui a envie de dévorer le monde, de rencontrer des gens, de voir la vie en rose, en bleu, en vert. Mais aussi parce que tu détestes les règles, les conventions. Que tu veux t'amuser, découvrir, apprendre. Et puis que tu refuses de jouer la fille sage et adorable, gentille et pleine de conventions. T'es une gamine, tu veux faire ce que tu as envie de faire et pas te forcer à faire plaisir aux autres. Mais aussi un peu parce que t'as un côté sombre, rebel, secret. Et que tout les artistes ont un mauvais côté.
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Une bâtarde. C'était ce que tu étais, au final. Née de l'union d'un politicien ayant un peu trop vagabondé avec un amour de lycée alors qu'il était marié avec une autre. Au fond, t'avais toujours eue cette foutue impression de jamais avoir eu de vraie famille. Parce que celle que tu devais appeler maman en public n'était pas ta vraie mère. Celle qui t'avais donné la vie vivait en Italie. Et tu ne pouvais la voir que pendant les vacances scolaires. Que ta soeur ne partageait pas tout à fait le même sang que toi. Mais le pire, c'était certainement la façon dont ton père faisait comme si tout allait parfaitement bien. Et tout ça, ça t'avais jamais dérangé. Jusqu'au jour où t'étais devenue assez grande pour te rendre compte que ces jolies photos, ces jolis sourires, ce n'était que du faux. Un secret bien gardé. Que tu vivais dans le mensonge, et que ta vie n'était pas aussi belle que ce qu'on te laissait transparaître. En fait, depuis toujours, on t'as habitué à mentir. Dire que tout va bien, sourire, et rentrer pleurer dans ton coin. Sourire jusqu'à finir par presque croire toi même à ce mensonge. Mais tout ça, ce n'était que du vent.
« J'en ai marre, je me casse ! C'est fini tout ce bordel ! » Ce jour là, tu venais d'avoir seize ans. T'étais en pleine puberté. Dans l'âge bête, comme on dit. Tu détestais tout le monde. Tu ne voulais parler à personne. Mais tu criais dans l'immense maison, espérant que quelqu'un entende à quel point t'étais en colère. Tu voulais juste t'enfuir loin, tout abandonner. T'en pouvais plus de ces sourires, de ces faux semblants. Toi, t'en avais rien à faire que ton père soit élu sénateur, ou peu importe le poste qu'il convoitait. Tu rêvais juste d'une vraie famille, avec un peu d'amour et de vrais sentiments. « Laisses tomber, tu t'énerves pour rien. Viens, on va se regarder un film au ciné si tu veux. » Maybelle. Ta demie soeur. Sa voix si douce avait le don de te calmer à chaque fois, presque instantanément. C'était un peut tout ce qui te restait d'un semblant de normalité dans ta vie. Une soeur qui t'écoutait, qui te faisait rire, à qui tu pouvais tout dire. Le rêve de beaucoup en somme, et ceux, même si vous n'aviez pas la même mère toutes les deux. Elle arrivait toujours par réussir à te remonter le moral. « Ok, mais on file en douce. Je veux les faire stresser un peu. » Et comme toujours, elle te suivait. Parce qu'au fond, même si elle avait ses vrais parents avec elle, elle aussi en avait marre de devoir toujours jouer à la famille parfaite.
Au départ, ce n'étaient que de petites fugues. Des escapades gentillettes au cinéma, chez des amis du quartier. Et puis un jour, monsieur Ravensdale se présentait comme candidat à la mairie de Washington. Tout empira. Les médias, les interviews, les apparitions forcées avec un grand sourire sur les lèvres. Alors tes sorties empiraient aussi. Tu ne rentrais plus la nuit, tu partais une semaine sans prévenir. Même May ne te suivait plus. T'étais bien trop rebelle à son goût, cette vie, ces fréquentations lui faisaient peur. Il ne restait que toi. Toi et tes conneries. Jusqu'au jour où avec ta bande d'amis, vous avez fait brûler une partie du lycée. Pour ton père, c'était le drame. Une mauvaise image de la famille ne collait pas avec sa carrière politique. Alors il a étouffé l'affaire. Fait comme si tu n'étais pas sur les lieux. Tu t'en es sortie sans aucun problème et les autres ont tout pris. Et comme si tu étais le vilain petit canard, il s'était débarrassé de toi. Direction l'Europe.
L'air Italien te faisais beaucoup de bien. T'étais tombée amoureuse, tu vivais avec ta mère, t'avais de nouveaux amis et des notes excellentes. Ton copain était tout simplement génial avec toi. Avec l'histoire de tes parents, t'étais persuadée de ne jamais pouvoir tomber amoureuse. Et pourtant, Pablo t'avait prouvé le contraire. Et trois ans passèrent. Trois merveilleuses années. Trois années loin de Washington, loin de ton père et sa carrière si importante. Loin de tes problèmes, de tes conneries. T'étais rentrée à l'université, t'avais tout pour être totalement heureuse. Jusqu'au jour où ton téléphone se mit à sonner au milieu de la nuit. « Allô ? » Et un inconnu se mit à t'expliquer des choses. Un accident de voiture, un gros camion. Un conducteur bourré, sortie de soirée. La soirée où Pablo était. La voiture où il se trouvait. Et au bout d'un moment tu n'écoutais même plus. Parce que t'avais compris. « Il est.. mort ? » Tu fondais en larmes. Tu jetais ton téléphone par terre. Et la plus belle période de ta vie prenait fin à ce moment précis.
Retour à Washington. Retour à la réalité. A une vie faussement heureuse. Mais tu ne pouvais pas. Tu ne supportais pas de rester là où t'avais vécu tout ces bons souvenirs. Tu voulais oublier, comme si tout cela était un énorme cauchemar. Comme si t'étais tombée dans le coma pendant trois ans. Mais t'étais incapable d'oublier. Incapable de penser à autre chose. Alors, encore une fois, tout empirais. C'était une spirale infernale, t'en sortirais jamais. T'étais coincée avec un père pour qui tu ne serais jamais la fille idéale, une fausse mère qui ne t'appréciais pas vraiment, et ta demi soeur, qui avant représentait tout pour toi.