NOM(S) Hennings. PRÉNOM(S) Swann Harlow. ÂGE 28 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 28 décembre 1987, à Bristol, Royaume Uni. NATIONALITÉ Britannique. STATUT CIVIL célibataire. ORIENTATION SEXUELLE hétérosexuelle. MÉTIER professeur de français à mi-temps, le reste du temps, elle s'adonne à sa passion pour la peinture. CLASSE SOCIALE moyenne. CARACTÈRE curieuse, impatiente, nerveuse, créative, spontanée, boudeuse, procrastine, tête en l'air.
PSEUDO RKB. PRÉNOM Camille. ÂGE 22 ans. PAYS France. INVENTE/SCENARIO Inventé. CRÉDITS avatar : Cranberrys. et gifs, . DOUBLE COMPTE ? None. AVATAR Keira Knightley.
Elle est fille unique ♦ Ses parents, aux tendances un peu hippies, ont attendu la maturité de leur fille pour repartir en voyage autour du monde. De ce fait, elle ne les voit que lors des vacances. ♦ Ses parents et elle n'ont jamais tellement apprécié leur famille. Du côté de sa mère, ils les ont toujours trouvé un peu trop bourgeois coincé et du côté de son père, ce ne sont que des cousins éloignés et qu'ils ne voient jamais. ♦ A l'école, elle n'avait que très peu d'amis. Elle aimait se donner un genre misanthrope et passait son temps à sécher les cours. ♦ Elle a étudié à Londres la littérature française avant de s'envoler pour Washington DC. ♦ Elle n'a jamais été une grande fan des Etats-Unis, pourtant, sur un coup de tête, elle s'est laissé le choix entre Seatle et Washington et la deuxième fut son choix. ♦ Un jour, lors d'une sortie scolaire, elle s'est perdue dans le zoo de Bristol. Etant complètement paumée, elle s'est retrouvée dans le Jardin aux Papillons. Inutile de préciser qu'elle était terrifiée et finit la tête la première dans une bassine d'eau qui était posée à la sortie de la promenade. ♦ Elle s'est, un jour, retrouvée complètement saoule après avoir confondu le verre de whisky de son père et son jus de pomme. Elle avait six ans et mourrait de soif après avoir joué à la balançoire. ♦ C'est une droguée de musique. Elle ne quitte jamais son iPod. Elle adore écouter du Ben Harper sous le soleil, à lire un livre. ♦ C'est aussi une mordue de lecture et des arts en général. Elle pourrait passer des heures à lire Tolstoi. ♦ Elle n'a jamais voulu être professeure, mais comme les arts ne voulaient pas d'elle, elle s'est tournée vers autre chose de plus maîtrisable et de plus sûr pour le futur, l'enseignement. Malgré tout, elle continue de peindre, dessiner et écrire.
LE GROUPEColor. Swann est une rêveuse, sa vie, elle la passe dans les nuages et des fois, il lui semble que la vie suit son cours plus lentement qu'il ne devrait l'être. Elle aime prendre son temps et ne pas trop se prendre la tête, elle vit dans sa bulle et essaye de ne pas se détacher de cette philosophie. Eduquée par des parents un peu hippie, je-m-en-foutiste, elle a un peu adopté cette vision de la vie. Elle fuit les gens à ennuis, elle fuit les ennuis eux-mêmes et profitent de la vie loin du chahut. Elle peint la vie autour d'elle-même, elle préfère vivre par procuration, une vie que lui donne ses peintures et ses dessins qu'elle contemple toujours d'un air dubitatif. Ils ne sont peut-être pas géniaux, mais elle se représente la vie telle qu'elle la voit et cela lui suffit. Venir à Washington n'est pas quelque chose que l'on pourrait imaginer d'elle, au contraire, on la verrait peut-être plus partir dans une ville campagnarde perdue au milieu des champs et c'est peut-être ce qu'elle fera, si elle ressent un jour l'envie de retourner dans son Europe natale, mais ce n'est pas le cas pour l'instant. Elle aime bien sa vie telle qu'elle est en ce moment et ne ferait rien pour y changer, même si elle ne vit pas sur l'or, bien au contraire.
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Lorsque je suis arrivée à Washington, je ne savais pas trop vers quoi j'allais. J'avais envie de changer d'air, aller vers de nouvelles aventures, j'en avais marre de stagner et de ne plus trop savoir vers quoi aller à Londres. Mes études terminées, ma relation amoureuse chaotique terminée, je voulais m'éloigner et plus rien ne me retenait ici après tout. J'ai donc prit mes clics et mes clacs et j'ai traversé l'Atlantique. Bon, bien sur, j'ai du remplir des formulaires, comme « ai-je l'intention de tuer le Président des USA ? » je me demande quand même s'il y a réellement des gens assez cons pour dire oui et même préciser par quels moyens, puis j'ai du demander un visa qui m'a coûté une petite fortune. Et me voila partie ! Quelle aventure, je partais de chez mes compatriotes roastbeefs pour aller à la rencontre des Yankees et leur accent aussi étrange qu'incompréhensible par moment. Une fois arrivée à destination, la foule était là. Je vous rassure, elle n'était pas pour moi, mais pour une starlette qui venait apparemment de débarquer. Etait-ce une actrice ? Une chanteuse ? Je n'en ai aucune idée, toujours est-il qu'elle a provoqué un mouvement de foule immense et quand on est comme moi, que l'on déteste la foule en masse, les bruits, les cris et les odeurs pestilentielles de la sueur, c'était gagné. J'ai du prendre une bonne heure et demie, voire plus pour réussir à m'en dépatouiller, prendre des valises et fuir au plus loin. A mon arrivée ici, je n'avais qu'une pauvre valise pesée au gramme près, le reste étant resté dans le vieux garage de mes parents. J'avais donc prit le minimum dans le but de tout recommencer ici. Trouver un boulot, un appartement, gagner un peu d'argent pour arrondir les fonds de mois, c'était mon nouveau but dans la vie. Et peindre, bien évidemment. Durant mon enfance, alors que je détestais aller à l'école, je me suis découverte une passion pour le dessin. C'était ma façon à moi de m'éloigner de leur méchanceté et de me créer un monde pour moi toute seule. Je me souviens de cette fois où j'ai caricaturé deux de mes professeurs qui étaient apparemment en couple. A peine l'eus-je fini que le professeur en question, Monsieur Everton, professeur de chimie et champion du lancer de postillon, arriva derrière moi et découvrit mon portrait peu flatteur de lui et de la professeure en train de faire des choses pas très catholiques. J'avais treize ans. J'ai eu les réprimandes les plus mémorables de l'histoire. Mes parents étaient venus après convocation de la proviseure. J'étais virée pour une semaine et mon père ne pouvait plus s'arrêter de rire. La plus grosse honte de ma vie. Bien évidemment, depuis, mon style a considérablement évolué et je ne m'arrête plus à ne faire que des caricatures peu reluisantes des gens que je croise. Une fois installée dans la ville, il ne me fallut que quelques temps pour trouver le travail que j'occupe encore aujourd'hui, c'est-à-dire celui de professeure de français à mi-temps. Pourquoi mi-temps ? Je me pose la même question, je pensais que l'on demanderait plus d'une professeure de français, mais apparemment non, mes services étaient suffisant pour cela. Ainsi, je peux m'adonner pleinement à la misanthropie, l'art, la procrastination et l'ennui quatre jours sur sept.