NOM(S) lee. vulgaire et incorrect aux yeux de certaines personnes. PRÉNOM(S) sunghee mésange. il est apparemment bon de mélanger les langues. ÂGE vingt-six ans et bientôt vingt-sept, un âge où les soucis adultes prennent la place des soucis adolescents. DATE ET LIEU DE NAISSANCE neuf novembre mille neuf cent quatre-vingt-neuf à jeonju en corée du sud. NATIONALITÉ coréenne. STATUT CIVIL célibataire. ORIENTATION SEXUELLE les hommes et leur capacité sexuelle. MÉTIER criminelle destinée à devenir indépendante pour bien des années. CLASSE SOCIALE moyenne voire pauvre. la cosette est née depuis bien quelques années mais avec un peu plus de vêtements. CARACTÈRE excentrique et sarcastique, anxieuse et compliquée ainsi que romantique et mystérieuse.
PSEUDO edelweiss. PRÉNOM alexandra. ÂGE quinze ans. PAYS france. INVENTE/SCENARIO inventé. CRÉDITS aesthetic anomaly, femaleidols. DOUBLE COMPTE ? non. AVATAR kim jin hee.
un. elle est meilleurement connue par son surnom le chapelier fou comme dans alice au pays des merveilles. deux. son compte twitter @Ross1305quin a quelques fois été suspendu et piraté sans raison apparente ce qui la surprenait à chaque fois. trois. sa famille était connue avec son sang royal car elle descendait de rois et reines. quatre. on la compare au chanteur hozier pour sa voix drue et mélancolique quand elle se met à chanter. cinq. présente sur le sol américain depuis presque deux ans, elle se fait appeler edwige par les individus pour visiblement cacher ses véritables origines et sa nature. six. plusieurs de ses pièces de théâtre éditées et publiées indépendamment ont été jouées en suède et au portugal. sept. les musiques indies sont son genre préféré. elle les préfère à la pop de ces années car les voix sont plus douées pour apporter les émotions nécessaires selon sa chère personne. huit. comme inspiration, elle prend les anciennes époques. elle écrit sur sa vieille machine à écrire, possède de vieux livres et sa décoration a un soupçon de vieillot. neuf. dans quelconques discussions, elle aime placer des mots de langues étrangères que seulement elle comprend pour justement contempler la réaction de ses compagnons. dix. son idole est clara rockmore, virtuose du thérémine, un instrument de musique électronique du vingtième siècle. elle sait en jouer et fait quelques concerts la nuit dehors.
LE GROUPE Bien déterminée à devenir la leader de la criminalité à Washington, elle intimide ses camarades de guerre. Prodige de la méfiance ou bien encore des mensonges, elle effraie les autres pour ne pas être obligée à collaborer avec eux ce qui les déçoit. Elle reste sur ses gardes pour ne pas se faire dominer par un autre. SungHee ne se fait pas soumise et ne se trouve pas être son appât pour les assassins. Prête à atteindre ses rêves, elle pense ne pas hésiter si elle doit utiliser les menaces pour se faire respecter. Le pouvoir est ce qui la rend chaque jour un peu plus importante. Provenant de la classe moyenne voire pauvre, elle devait utiliser bien des arguments pour ne pas se faire appeler Cosette. Ses textes qui étaient sur le sujet de comment devenir délégué de la classe furent étudiés par une clique de jeunes voulant voir si ses méthodes marchaient. Mais elles allaient marcher et ainsi fut les pensées de SungHee quand elle voulait obtenir quelque chose. On ne demandait pas à voir le pouvoir parce que ce fut lui qui venait nous demander si il pouvait nous voir.
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« Tu me semblais trahie dès le premier jour où je suis venu te voir. Tu avais ce caractère de reine quand tu étais enfant et tu as gardé le même pendant quelques années de ta vie mais la trahison restait présente et ainsi ce caractère domina le deuxième. Parfois, tu nous disais être amnésique en grande partie et ces sottises ne furent pas comprises par quelques-uns. Mais par un quelconque hasard, nous avions tout de même fait un récapitulatif de ta vie incomprise datant du jour de tes vingt ans. Tu es arrivée un jour de cet automne paisible de mille neuf cent quatre-vingt-neuf. Les infirmières répétaient sans cesse que le petit ange est arrivé parmi les vivants sans trop de soucis. Ton père te racontait des histoires qui, à la vue de ton visage, te semblaient sans grand intérêt ce qui provoquait fou rire général. Également, tu jouais énormément aux playmobil que nous avions offert à ta mère quelque peu avant ta naissance. Ton côté solitaire faisait que quand tu te retrouvais à la crèche, tu ne gazouillais pas avec les autres enfants mais seulement de ton côté et ils te craignaient parce que pour eux, tu étais une étrangère. Et tu le deviens de plus en plus, ai-je raison ? Je pense te connaître bien plus que tes parents parce que je dois avouer que ce fut moi qui occupait le rayon de soleil quand tes parents étaient absents et ce fut assez souvent, même si je dois admettre que tu as bien connu tes géniteurs. Ton adolescence ne fut pas pénible tant que ça mais tu ne travaillais que tout le temps et tu usais ta maigre santé. Tu étais fragile, et cette usure se ressentait dans ton environnement. Les questionnements que tu te posais étaient dû à tes changements physiques. Les coquilles Saint-Jacques et le bœuf bourguignon étaient ton plat favori. Tu en redemandais mais cela coûtait trop cher. La petite Cosette commençait à ne plus avoir à manger. Initiée au jeu des échecs, ce fut un de tes loisirs principaux avec le dessin, traits artistiques et compétence de la logique que tu garderas longtemps. Tes journées étaient assez vides alors tu te devais de faire quelque chose de minimum amusant. Quelques rires passaient par là quand tu te retrouvais avec tes vrais amis. Ton quatuor se retrouvait souvent à la maison des uns et des autres pour jouer ensemble à la balançoire ou à cache-cache. Et pour ne citer plus que cela, la Bible intégra rapidement ta vie : tu fus élevée dans cet amour de Dieu par tes parents. À présent, je ne puis rien te dire de plus, ne connaissant pas ta vie actuelle. Ou presque car la petite Cosette a bien des choses à cacher je pense et ainsi tu resteras secrète. Mais je vais bien finir par te retrouver un jour même si je pense avoir obtenu ton adresse sachant que je suis en train de te faire une lettre comme les soldats à leurs femmes durant la première guerre mondiale. Je saurai qui tu es vraiment et tu ne connaitras plus rien de ta vie. Je ne te connais que trop bien et même si je ne sais pas ce que tu fais, je le découvrirai bien plus tard. Ou peut-être que ton secret sera emporté avec toi dans ta tombe et que finalement, nous allons ne pas le savoir. Je ne peux écrire plus longtemps, des enquêtes viennent et partent. Annyonghi kyesayo. » ton oncle.
et voici ce que sunghee lui répondit, déçue de sa précédente lettre ce qui fit que cinq mots seulement apparurent seuls sur le bout de papier jauni. « La petite Cosette te remercie. »
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