NOM Andersons. Pas des plus connus au U.S, mais il n'est pas non plus le seul à la porter. PRÉNOM(S) Martin Corey. Un premier suffisamment célèbre qu'il porte avec une certaine fierté. Pour le second, apparemment lors de la signature de l'acte de naissance, il avait paru étrange à ses parents de laisser une ligne blanche ; Corey fut le premier prénom qu'il leur passa par la tête. ÂGE Vingt-neuf années qu'il foule le sol américain. Le temps passe parfois trop vite. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 25 novembre 1986 ; dans la ville de Dallas. C'était un soir si jamais ceci peut avoir une importance capitale. Pour l'heure, il faudra voir avec ceux qui lui ont donné la vie. NATIONALITÉ Américain depuis sa naissance. STATUT CIVIL Célibataire, surtout parce que Martin a peur de l'engagement, l'indépendance il n'y a que ça de bien ; mais à quel prix ? C'est dur parfois... ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuel. MÉTIER Réceptionniste en chef d'un hôtel de la ville. Parfois assez pénible de part les responsabilités que cela peut donner, mais sinon, ça va, il ne s'en plaint pas. CLASSE SOCIALE Pour un habitant de la capitale américaine, il est dans la moyenne, parfois tout juste légèrement en dessous ; ce qui ne l'empêche pas de s'en sortir plutôt bien. Si on se réfère au niveau du pays, il est un tout petit peu mieux lotis que la moyenne. CARACTÈRE Si on ne devait décrire Martin qu’en un seul adjectif, il aurait celui-ci : la gentillesse. Il est agréable, sympathique et souriant avec quoiqu’onques. Son seul défaut majeur qu’on pourrait lui trouver qui viendrait faire tâche à ceci, serait sa timidité. Timidité qu’il n’a qu’avec des inconnus, ou connaissances ; si on le poussait à poursuivre une conversation, il le ferait sans problème ; mais ce n’est pas quelque chose qu’il lui viendrait instinctivement. Néanmoins, lorsqu’une opposition se créera, Martin sera le faire remarquer, et borné comme il est, il fera tout pour avoir le dessus sur la chose. Se fiant parfois peu aux remarques des autres – indépendant dans l’âme, quand tu nous tiens ! – il n’aura besoin que de peu de monde pour être heureux. Ce peu de monde se résume principalement à ses amis, et sa famille, notamment sa sœur. Son côté indépendant, lui donne aussi l’envie de vouloir contrôler ce qui l’entoure ; ou si quelque chose doit être fait, Martin repassera systématiquement derrière la personne qui l’a fait, ou voudra le faire personnellement. Assez opportuniste, si une occasion est à prendre, il n’hésitera pas longtemps avant de sa saisir, si cette dernière le tente.
PSEUDO Epsita PRÉNOM Appelez moi par mon second prénom ; Camille. L'est mieux qu'le premier. ÂGE écrire ici. PAYS Toulouse, si si c'est un pays incrusté dans un autre, la France. INVENTE/SCENARIO Inventé de ma petite tête, Robert. CRÉDITS AVENGEDINCHAINS DOUBLE COMPTE ? Aucun, Maurice ! AVATAR Aaron Tveit
✔ Martin est l’ainé de sa famille. Il a une petite sœur – Emilie – âgée de trois ans de moins que lui, pour laquelle il a énormément d’affection ; parfois trop. Bien qu’être l’ainé ne le dérange pas, il aurait peut-être parfois préféré avoir un grand frère. ✔ Depuis son enfance il est passionné par la musique, et notamment par le piano. Il aura appris d’ailleurs à en jouer. Et, à défaut d’avoir pu en faire son métier, aujourd’hui, il peut lui arriver de passer des heures à en jouer. ✔ Martin a horreur du café ; tellement que même son odeur le répugne. Préférant se la jouer british avec une tasse de thé, ou plus simple encore, un chocolat chaud. La caféine ne lui fera aucun effet, mis à part celui du dégoût. ✔ Fonctionnant ainsi depuis son plus jeune âge, Martin est loin d’être crédule, et aura tendance à ne pas se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Pour lui, soit il faut qu’il le voit, soit qu’il existe un raisonnement valable, où encore que son instinct ait décidé de la chose. Il est, pour ainsi dire plutôt instinctif. ✔ Ayant toujours apprécié le fait de prendre soin des autres, surtout pour les plus petits ; Martin eut le rêve de devenir pédiatre. Une nouvelle fois, son métier de rêve de gosse s’envola, non pas par choix, mais par sa propre faute. Il aime se le rappeler, surtout les jours où le moral n’est pas au top ; histoire de s’enfoncer encore un peu plus. ✔ S’adonnant à tout type de loisirs dits « normaux » comme la lecture, le cinéma, et bien entendu la musique ; ainsi que les sorties en tout type, saisissant tout ce qu’on lui propose, il est rare qu’il refuse quelque chose. Martin n’est par contre pas un type qui suit le sport. Il n’a aucun culture sur les groupes de basket des US, et encore moins sur un autre sport ; ce qui est tout à fait compatible avec son tempérament de non sportif. ✔ De par son travail, Martin sait plutôt bien parler le français et l’italien. Il aura des difficultés avec l’espagnol, mais pourra s’en dépatouiller si l’envie lui prend. ✔ Gardant une âme d’enfant, il s’est créé un petit monde dans lequel il va pour se défouler grâce à la musique. Un petit enfant aussi, parce qu’il ne dit jamais non pour s’amuser.
Color Dès qu’il effleure une touche d’un piano, Martin se sent comme transporté à travers le rythme de la musique. Chassant, le temps d’une mélodie, tout ce que la vie appelle problème. C’est ce qui le rend également indépendant, un artiste ne doit pas normalement être une personne libre ? Lui il l’est, libre de se défouler sur des partitions, et de vivre ainsi ; sans se soucier de ce qu’il se passe à côté. Mais son côté artiste fait de lui une personne insatisfaite de lui-même, mais en même temps, qu’il soit le seul à pouvoir arriver à se satisfaire. Ceci peut paraître très brouillon lorsqu’il l’explique, mais dans sa tête, c’est très clair.
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Martin faisait courir ses doigts le long du piano, produisant des notes qui émerveillaient sa petite sœur, qui en réclamait toujours plus. Martin aimait cela, jouer pour rendre heureux. Ceci donnait tout de même une certaine fierté dont on n'est jamais contre lorsqu’on a seize ans. Le premier-né de la famille Andersons était né avec cette passion pour cet instrument à corde tapée, au point même d’en avoir entrainé sa petite sœur de trois ans de moins dans l’amour de la musique classique, mais aussi d’en avoir voulu faire son métier étant plus jeune. Choix qu’il abandonna par lui-même en grandissant par le « peu » d’ouverture qu’il pouvait s’offrir. Natif de Dallas, Matin n’a pourtant aucune attache à cette ville, et elle ne représente rien d’autre qu’un mot sur son acte de naissance. Il a vécu à Washington dès son deuxième mois, c’est cette ville qui lui aura montré les meilleurs événements, comme les pires ; parce que vivre dans une ville aussi grande que la D.C, n’est pas forcément un cadeau tous les jours, mais c’est fort heureusement parfois qu’on a la chance d’habiter dans ce genre de ville.
Alors qu’il n’était âgé que de trois ans, une petite chose humanoïde vient perturber la douce et calme vie que Martin menait avec ces parents. Cette petite chose n’était autre qu’Emilie, sa petite sœur. La première réaction de Martin face à sa sœur fut « Maman… Emilie, elle a un problème… Elle a pas de dents… ». Même si ces parents lui ont donné l’explication, Martin ne semblait pas convaincu, et choisi plutôt de prendre Emilie comme sa petite protégée. Et depuis, Martin initiera Emilie à de nombreuses choses, il lui aura appris et transmis tout ce qu’il pouvait, le tout en veillant un peu trop à sa sœur. Ils étaient tous deux complices l’un de l’autre, mais en tant que parfaite fratrie, les chamailleries étaient régulières, les taquineries aussi ; sans pour autant que ceci soit blessant. Car en fin de compte, le frère et la sœur se complétaient ; surtout dans leur jeunesse.
En grandissant, Martin laissa peu-à-peu plus d’indépendance à sa petite sœur, mais ce fut uniquement parce que ces études lui obligèrent à vivre dans son propre chez-lui. Ayant renoncé à une carrière de pianiste à ses quinze ans, se fut des études plus chargées et fatigante qu’il entama. Enfin, c’est aussi parce que les sorties du soir venait s’y ajouter qu’elles étaient chargées, dures, et fatigantes. Mais Martin avait envie de vivre sa jeunesse, envoyant quelque peu bouler tout autour. Cela n’était pas raisonnable, il le savait, mais à quoi bon vivre, si on ne peut pas parfois franchir un tout petit peu la limite du raisonnable ? Trop de liberté soudaine ne lui avait aucunement réussie, en aucun point. Il c’était flingué de toute part. Lui qui avait toujours eu une âme de vainqueur, qui avait toujours su réussir dans ce qu’il entreprenait, le voilà qu’il venait de subir sa première véritable défaite. Mais il l’avait cherché, il le savait, et s’en rendait compte qu’après. Son moral en prit un bon coup, et pour la première fois de sa vie, les rôles d’Emilie et Martin s’échangèrent l’instant de quelques mois tout au plus deux saisons.
Poursuivant sa vie, comprenant que celle-ci pouvait comporter des embûches, Martin reprit ses études, changeant complètement de voie, arrêtant à moitié les stupidités qu’il pouvait faire ; comme les soirées chez les potes, les soirées ailleurs que chez les potes aussi, les soirées télés, et ainsi de suite. Mais Martin aimait la vie, et il avait envie de voir tout ce qu’elle pouvait lui offrir. Très opportuniste, il avait saisi chance dans la voie de l’hôtellerie qui lui avait ouvert ses portes. Cela n’était pas réellement ce qu’il voulait, mais il ne s’en déplaisait pas non plus. Côté amourette, il aura bien entendu trouvé quelques personnes, mais rien de plus que pour quelques mois. Il se faisait toujours avoir à cause de sa gentillesse, alors il aura tiré un trait la dessus depuis un bon moment.
Si on en revenait au présent, Martin semble plutôt heureux de sa vie. Bien qu’il sait pertinemment qu’il peut, où même qu’il doit pouvoir faire mieux. Un travail assez contraignant par moment, mais c’est lui qui l’aura voulu. Les jours, où c’est trop contraignant, Emilie sera toujours-là pour lui, et il le sait. Sinon, il s’envole au rythme des notes régulièrement, histoire de ne pas perdre trop la main, et puis, c’est surtout par passion.
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