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rhapsody hardin elessedil


NOM(S) Elessedil que susurrent les lippes bavardes et curieuses, s'humectant de on-dits qu'ils ne cessent de déblatérer quand les attentions sont ébranlées. Dans les silences, on murmure le patronyme aussi bien admiré que redouté, on sait le mal sur les paumes, ces phalanges délicates qui dans des caresses inoffensives, ne sont en réalité que géhennes. PRÉNOM(S) Rhapsody est le choix d'une mère, peut-être le dernier entrepris dans une sénilité inavouée. Infirmité de la femme qui n'a pas pu l'élever, qui entre quatre murs, ne faisaient que supplier et marmonner les paroles insensées. Peu l'utilisent, encore moins connaissent l'existence de ce dernier, se présentant continuellement et depuis toujours comme Hardin et seulement lui. La seconde appellation n'est qu'un prénom balancé, jeté d'entre les lèvres d'un père à l'imagination bâclée. ÂGE Trente sept ans qu'il arpente, qu'il serpente. Les langues qui savent lui graisser la patte lui diront qu'il est bien conservé, qu'il ne fait pas le temps qu'il a pourtant vécu. Les autres se contenteront de silences, d'un mutisme qui lui fera étirer l'once d'un sourire. DATE ET LIEU DE NAISSANCE C'est le quatorze février, il y a plus de trois décennies qu'il a brisé la nuit muette dans un râle, son premier mêlé à celui d'une mère qui geint sans pareil. Les parois blanchâtres, le sol de cette même teinte où repose un lit d'hôpital. L'établissement se trouve au sein même de Washington, cette même métropole qu'il foule encore et toujours après tant d'années à la savourer, à se plaire dans ces allées, ces foules et ces interdits qu'il se languit de franchir. NATIONALITÉ Américain jusque dans les ongles, il n'en reste pas moins crédule sur le fait que les origines sont d'une Europe oubliée, ces colonisateurs qui ont posé les talons sur une terre n'étant pas leur et qui, dans la terreur et l'ignorance de ces autres, l'ont pris aux mains des natifs. Le patronyme témoigne d'une généalogie unie à des sols étrangers, la Croatie dissimulée et jamais visitée. STATUT CIVIL Marié, le bijou trône sur l'un de ses doigts, traduit l'appartenance à une seule et unique femme. Si l'union semble persister, c'est un mariage qui s'effrite et qui ne vaut plus rien si ce n'est sur papiers, ce même nom de famille porté. Le lien s'est estompé, l'amour éphémère entremêlé à une stupidité sans pareille. Le mariage, presque forcé par le dessein d'une progéniture qu'il dit aujourd'hui involontaire mais qu'il chérit tout de même  au plus profond de son être. ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuel, ou devrait-on dire bisexuel refoulé. Honteux de ce qu'il voit comme la faiblesse, il n'a pourtant rien contre ceux à l'attirance pour la propre gent à laquelle ils appartiennent. Mais lui ne peut se résoudre à parfois voir en ces hommes une attractivité impulsive qu'il comprime. Il nie et il niera aussi longtemps qu'il le faudra. MÉTIER Chef cuisinier, c'est dans un grand restaurant à la popularité que l'on ne peut nier qu'il exerce. Hardin est déjà quelque peu reconnu pour ses prouesses dans le domaine culinaire, on apprécie le voir comme étant celui à la main de fer qui confectionne des petits plats dont les charmes sont toujours une découverte estimable. CLASSE SOCIALE Aisé mais ce n'est jamais assez pour l'ambitieux qu'il est. Toujours plus, avare et cupide de ces choses qu'il possède déjà mais qui ne suffisent jamais à le satisfaire amplement et surtout, entièrement. CARACTÈRE Compliqué serait le premier terme venant aux essences d'autrui. Hardin est feu et glace, Hardin bouillonne et se refroidit à une vitesse qui laisse perplexe et qui perturbe même les plus valeureux. L'allure se veut séraphique mais sous l'auréole, il fait planer mystères et secrets que les curieux veulent découvrir. Ils creusent, ces investigateurs, et si chanceux ils sont, découvrent des malaises à s'en rendre malade, qui répugnent et qui rebutent. Déception qui se dessine sur les traits de ceux qui arrivent à cerner la bête, cet homme qui ne recule devant rien et qui jamais ne se laissera abattre par une existence aux épreuves qu'il veut outrepasser avec succès. Pourtant, on peut dénicher sous la carcasse de chair un cœur battant, aimant pour ces individus qu'il apprécie. Peu, ils sont tout de même présents et pour eux, il pourrait entreprendre de réaliser les pires crasses du monde.
PSEUDO princess rover. PRÉNOM vivi. ÂGE vingt ans, bientôt l'année en plus.. PAYS france. INVENTE/SCENARIO inventé.  CRÉDITS belikovs pour l'avatar. DOUBLE COMPTE ? faut quand même pas abuser. AVATAR fassy.
La routine qu'il se plait à faire transparaitre. Habitué des rues de Washington, il déambule entre les corps qu'il effleure à chaque flânerie. Ces touristes qu'il ne voit qu'une seule fois et qui lui tapent à l'œil, ces sourires esquissés envers ces femmes qu'il observe d'une œillade précipitée. Hardin a la vie facile, que l'on murmure avec jalousie quand on voit les costumes qu'il arbore. Toujours présenté dans une perfection qui émerveille, même dans ses jours les plus sombres, il ornera ses épaules d'une veste en cuir noire qui fera ressortir ce côté insaisissable et ténébreux. Chaque journée rajoute une once de lassitude à laquelle il tente d'échapper comme il le peut. Se rendre au restaurant dans lequel il joue de son expérience pour entretenir une tyrannie, la dynastie qu'il met en place sans prendre la peine de mouver les lippes dans des tirades lacérant. Et pourtant, on le craint, l'effet d'une prestance et d'un caractère bien taillé, qui effrite les âmes desquelles on prétend qu'il se nourrit. Il apprécie la méchanceté et la recrache sur ces autres qui flanchent. Le bonheur de voir ces hommes et ces femmes se briser. Telle est la seule satisfaction que lui procure ses journées, si ce n'est entendre des compliments maintes et maintes fois énoncés. Dans les nuits muettes où la femme n'en fait qu'à sa tête, Hardin dévale les rues, ces allées assombries et plongées dans une pénombre dans laquelle il se fond. De l'œil avisé,  il pénètre les établissements aux saveurs festives, ces musiques qui le font sourire, ces boissons qu'il commande et qu'il offre même parfois aux chanceuses qui croisent sa route. Hardin n'est pas fidèle, Hardin ne connaît pas la définition même de ce qu'est la loyauté. Il trahit à des fins égoïstes, individualiste qu'il est et pourtant, trouvera à chaque fois le moyen de se racheter. Rhapsody brise et répare, c'est ce qu'il fait de mieux. Il fait sombrer les essences et les rattrape au dernier moment quand tout semble perdu. Il leur tend la main, cette même paume qui dans la brutalité les a martyrisé, et d'une douceur presque authentique, console. L'homme est bien trop complexe pour en discerner une seule et même personnalité. Il répugne et il aime, il chérit et il haït. Il a ces habitudes auxquelles il ne déroge pas. Ce café matinal serré entre l'une de ses paumes et un journal entre l'autre, des tics qui le trahissent parfois et des expressions que l'on reconnaît entre mille, la démarche énervée mais élégante, l'impulsivité qu'il tente de contrôler quand les rayons du soleil ne sont pas encore couchés. La nuit tombée, créature de l'ombre qui n'est que dirigée par son instinct.



POWER Entre ses phalanges, le lugubre et l'inquiétant, les ténèbres et les ardeurs d'un mal que l'on cache. Quand on l'observe, il n'a rien d'un homme aux valeurs oubliées et pourtant. L'armure de chair abrite une ambition telle qu'il ferait tout pour voir ses motivations menées à bien. La détermination régit son existence, l'avidité d'une abondance qu'il n'a que trop espéré, il cherche à avoir plus, à toujours posséder en ses paumes une richesse aussi brillante et éclatante que des lingots d'or convoités. Désireux, il veut marquer l'histoire de son nom, gravé dans un marbre impénétrable par d'autres, lui et seulement lui. Il veut que l'on se remémore son existence, qu'il ne soit pas qu'une poussière insignifiante dès que la faucheuse viendra prendre son dû. Rêveur mais pas plongé dans des illusions doucereuses, il surmonte ses faiblesses, les balaye d'un regard ou d'une férocité monstrueuse. Il manipule, il fait chanter, il utilise les chétifs comme pantins articulés, les ficelles qu'il contrôle pour atteindre des buts, ce dessein qui l'amène à tout posséder, même la plus petite miette, même la plus petite crasse, jusqu'à l'impossiblement envisageable.
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amours et trahisons


HARDIN, DIX SEPT ANS.

L'adolescence écourtée. Dans la honte qui le percute, ces yeux paternels qui le scrutent avec aigreur, il sait qu'il a merdé et que même sous les excuses, rien ne pourra lui donner un pardon demandé. Pourtant, il se tient droit et dans la provocation et l'assurance, tient tête à cette figure d'autorité qu'il aurait voulu admirer. Bien trop longtemps qu'il coince dans le fond de sa gorge des atrocités, il aimerait hurler les immondices qui traversent son esprit, ces horreurs dans lesquels il s'est forgé. Les mots veulent être libérés, mais les poings se serrent dans un dernier contrôle gardé, une impulsivité qu'il ne veut pas montrer alors que les torts s'accumulent dans les tirades d'un père qui ne cessent de lui faire des reproches injustifiés. Une vie qu'il a choisi et qui ne plait pas au géniteur, des comportements qu'il ne peut plus toléré. La voix se hausse, le ton monte alors qu'impassible, il reste droit et ne cille pas sous la terreur manifeste. Chaque terme est un poignard de plus en plus aiguisé, qui frappe et qui entaille là où ça fait le plus mal. « Tu n'es que comme ta mère. Cette petite effrontée, cette femme inutile et bonne qu'à faire crier. » Hardin peine à déglutir, les sourcils se froncent et le père perçoit cette réaction qui le fait sourire. « Tu as quelque chose à dire ? A me dire ? » La tête s'abaisse et le courage, il le recherche. Il tourne sa langue sept fois dans sa bouche mais cela ne semble pas suffisant pour le faire parler. Il ferme les paupières, aimerait que l'on prenne possession de son corps durant un court instant pour pouvoir montrer à ce père tous les crimes commis. « Tout ça, c'est à cause de toi. » qu'il parvient à articuler entre deux respirations retenues. Il relève le menton et rive son regard dans celui de son père. Il ne veut plus mâcher ses mots, il ne veut plus détourner ses pensées pourtant authentiques pour les remplacer avec des mensonges simplement pour vivre tranquillement. « Nora n'aurait jamais perdu les pédales si tu n'avais pas jouer un rôle majeur. » Hardin n'appelle plus sa mère comme le font tous et chacun. Elle s'appelle Nora et c'est ainsi qu'il en fait mention, au plus grand damne de son père qui hausse les yeux vers le plafond.

« C'est maman que tu dois l'appeler. Ou tu parles d'elle en disant ta femme.
- Non. En disant ta femme, je cite toute cette panoplie de donzelles que tu as eu dans ton existence. Celle d'hier soir, par exemple. Elle devrait se la fermer, elle réveillerait presque les voisins. »

Toutes ces créatures, bafouées, souillées. Il soupire. Hardin n'a que dix sept ans et l'impression de vivre l'Enfer sur Terre depuis autant d'années. N'est-ce pas normalement après la mort que les portes des limbes s'ouvrent ? Il ne sait plus et se dit parfois que l'existence est plus cruelle que la sérénité d'un corps inanimé. Le père ne sait pas quoi répondre, peut-être abasourdi par la franchise dont son fils a su faire preuve pour la première fois. « Je vais le garder. On va le garder. » Il tourne la tête vers cette porte fermée, embrasure cachée. Derrière, la concernée est certainement assise sur l'un des canapés qui orne le salon, peut-être même qu'elle tend l'oreille pour discerner la discussion qui se tapie et se tait. « Je serai un meilleur père que tu ne l'as été. Et tu vas nous aider. Financièrement parlant. Sinon... » Car Hardin possède les réalités. Celles cachées, que son père ne veut pas dévoiler aux yeux d'un monde qui le pense bienveillant. Il n'est que maux, que trahisons. Des caractéristiques qu'il a passé à son premier fils, ce dernier qui n'a pas conscience que plus tard, il sera comme lui, comme celui qui l'a tant répugné.


HARDIN, VINGT HUIT ANS.

Londres, Paris, Milan, New-York, Tokyo, Sydney, Nassau et la liste s'allonge. Rappelez-vous, quand Hardin a affirmé qu'il serait un meilleur père que son sien ? Promesse qu'il a effacé de sa mémoire. Il ne passe aucun instant avec cet enfant. Ni avec cette femme qui l'épuise. Il ne supporte pas de la voir, tous les jours, tous les soirs et à chaque instant. Le besoin d'espace. Le besoin d'avoir sa vie en main, sans qu'elle ne mette son nez dans des affaires qui ne la regardent pas, et pire, qu'elle ne comprend aucunement. La tendresse n'est que rarement au rendez-vous. Pour ne pas dire jamais. A petites doses, il la tolère. Quand elle prend ses aises, c'est la colère. Qui bouillonne en lui, qui monte et qui monte. Et elle se plaît, à le voir perdre ses moyens, à le voir grincer des dents quand sa propre conscience lui dit de se calmer. Il essaie, il tente, et il lève la main. Parfois, une dernière lucidité lui permet de ne pas commette l'irréparable. Elle n'a pas peur, Lilith, elle ne le craint pas et ses yeux demanderaient presque à ce qu'il s'exécute. Hardin ne lui donne pas cette satisfaction, qu'elle ait raison alors qu'il ne veut pas être ainsi. Mais c'est incontrôlable, incontrôlé et purement impulsif, instinctif. Quand il rentre, il n'a que sa gorge pour crier. Mais il attend. Il attend que l'enfant s'en aille, qu'il sorte dehors pour aller à l'école. Qu'il ne soit pas dans les parages. Jamais il ne veut blesser sa précieuse petite chose, jamais il ne veut la voir se briser mais il est conscient que ce comportement qu'il arbore, tyrannique et destructeur, dévastateur, est néfaste pour la progéniture dont il devait s'occuper. « Mon dieu mais... T'es vraiment stupide, c'est pas possible. » Il passe une main sur son front, le soupire qui traduit l'agacement. Il a les traits tirés, les yeux qui ne demandent que le repos qu'il ne leur donne qu'occasionnellement. Il dévisage finalement cette femme, élancée et toujours aussi sublime qu'au premier jour, mais ne peut s'empêcher de ressentir un goût amer qui frotte sur le gosier desséché. Un verre de whisky enfermé dans l'une de ses mains, son regard presque attendri laisse place aux abysses sans fond. L'alcool lui brûle le palais, une sensation appréciée et même recherchée pour subsister. Hardin n'est pas alcoolique, il sait se contrôler mais bon sang, qu'est-ce que l'ardeur, cette chaleur enivrante, joue sur ses perceptions. Ça le calme tout comme fut un temps, la mélodie enchanteresse de sa femme l'apaisait. Désormais, chaque mot prononcé lui fait tirer une grimace qu'elle remarque. Et cette dernière, elle n'en a que faire, elle continue, elle persiste à le voir sortir de ses gonds.

HARDIN, TRENTE SEPT ANS.

La nuit tombe et emmène avec elle la clarté aveuglante. Il est tard, bien trop tard pour flâner dans les rues et pourtant, le voilà sur des pavés, à traîner des pieds les mains dans les poches, les phalanges qui cherchent la cigarette espérée. Il l'attrape et sort par la suite un briquet, tire une fois sur le tabac empoisonné et se délecte de ce fumet. Senteurs qui rapprochent de la mort, les poumons qui seront abimés. Pourtant, il ne fume pas souvent et même est-il devenu rare de le voir avec entre ses doigts, un mégot entamé. Il humecte ses lippes, jette le débris sur le sol en l'écrasant avec sa chaussure et continue son chemin. Ses yeux observent, scrutent ces silhouettes qui transpercent la pénombre de leur carrure alléchante. Il s'attarde parfois, détourne le regard, aussi. Il ne sait pas ce qu'il cherche, ne sait pas ce qu'il veut et aimerait de temps à autre que l'on décide pour lui. Une main passe dans les cheveux roux alors qu'il pousse la porte d'un bar, quelconque mais apprécié, la foule qui orne le parquet de sa présence. Omniprésence. Partout, des individus qui s'amusent, seuls, accompagnés, qui trouvent dans la finalité, chaussure à leurs pieds. Au comptoir, un verre, deux verres, un troisième et ça n'en finit pas. Le concours ridicule, on croit pouvoir le battre, on croit pouvoir le faire flancher sous cet alcool, breuvage que trop goûté par les années. Défi et contrepartie, le gagnant, le perdant, des challenges qui demandent des prix. Il la laisserait presque remporter la manche. Presque. Il lit dans les yeux, plisse les siens pour lire l'esprit à ses côtés, le rictus carnassier qui se dessine sur les lèvres. Et il la laisse crier victoire. Car il sait que ce qu'il aurait demandé est ce qu'elle va imposer.

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Ondine L. Casanueva
★ she smelt like the sun
Date d'inscription : 25/10/2015
Messages : 2111


Bienvenue sur LRS beau gosse - we're bad guys, that's what we do - 2815617710
si t'as la moindre question n'hésites pas - we're bad guys, that's what we do - 176164174
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Merci à toi Ondine - we're bad guys, that's what we do - 2696476793 - we're bad guys, that's what we do - 1496076234
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Marcus T. F. Hawthorne
administrateur
Date d'inscription : 25/10/2015
Messages : 661


bienvenue - we're bad guys, that's what we do - 1752324381
bon courage pour cette fiche :gni:
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Je te remercie Marcus - we're bad guys, that's what we do - 2696476793 - we're bad guys, that's what we do - 1550768444 :faint:
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Toi - we're bad guys, that's what we do - 1837440867

Bienvenue et bon courage, avec Fassbandant Fassbender en plus :colgate: N'hésite pas si tu as la moindre question, et puis hâte de voir ce que ton mister nous réserve siffle
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Moi. - we're bad guys, that's what we do - 1912327057 Oh j'aime l'appeler Fassbandant aussi, mais je me retiens pour ne pas paraître louche dès le premier jour. - we're bad guys, that's what we do - 2696476793 Je te remercie et je ne vais pas hésiter si questions il y a (même les plus bêtes) - we're bad guys, that's what we do - 1496076234 I love you
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Nox Canadell
administrateur
Date d'inscription : 12/02/2016
Messages : 167


bienvenue ici et bon courage pour ta fiche. :colgate: si t'as un soucis tu siffles et le staff accourt. :gni: :gni:
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Oh j'ai quand même plus de manières que le sifflement mais si vous y tenez tant - we're bad guys, that's what we do - 858148086 - we're bad guys, that's what we do - 2696476793 Merci beaucoup à toi - we're bad guys, that's what we do - 1912327057 I love you
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