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 Gary Adam Lewis ◊ I'm unclean, a libertine.


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Gary Adam Lewis
membre
Date d'inscription : 13/04/2016
Messages : 6





Gary Adam Lewis


NOM(S) Lewis PRÉNOM(S) Gary Adam ÂGE 38 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE 19 septembre 1977 à New-York NATIONALITÉ Américain STATUT CIVIL Célibataire ORIENTATION SEXUELLE Gay MÉTIER Enseignant d'arts dramatiques CLASSE SOCIALE Très aisé. CARACTÈRE Charismatique ◊ Charmeur ◊ Souriant ◊ Drôle ◊ Intelligent◊ Cultivé ◊ Solitaire ◊ Satyriasis (Nymphomane) ◊ Patient ◊ Comédien ◊ Observateur ◊ Hautain ◊ Fourbe ◊ Obsédé par la maîtrise de sois et le contrôle ◊ Enseignant ◊ Poli ◊ Éduqué ◊ Protecteur ◊ Jaloux ◊ Manipulateur ◊ Menteur ◊ Peu perdre le contrôle et devenir très violent ◊ Infidèle ◊ Dépensier ◊ Comportement abusif ◊ Égoïste ◊ Égocentrique ◊ Joueur ◊ Possessif ◊ Dragueur ◊ Joue un rôle en permanence ◊ Caractériel ◊ Dominant ◊ Ne supporte pas la soumission ◊ Confiant ◊ Peu s'acharner pour obtenir ce qu'il veut ◊ Alcoolique ◊ Cerne et analyse rapidement autrui ◊ pervers narcissique ◊ Névrosé et totalement instable ◊ Comportement obsessionnel ◊ Torturé ◊ Misogyne
PSEUDO Tommy Decay PRÉNOM Tommy ÂGE 22 ans PAYS France INVENTE/SCENARIO Inventé il y a déjà presque deux ans  :coeur:   OÙ AS TU CONNU LE FORUM? Sur le top rpg CRÉDITS Tina & moi DOUBLE COMPTE ? Non AVATAR Lee Awesome Eyebrows Fucking Sexy Pace.
Mon existence. Cette mascarade, oui, ce spectacle rocambolesque où le répit demeure inconnu. Comment pourrais-je vous dire, comment pourrais-je expliquer ? Je n’ai plus rien ni personne, non. Tout est dénué d’importance, me laissant un arrière goût perpétuellement amer et âcre. Ma vie, ce saccage, fruit d’un désastre qui n’aurait jamais du voir le jour. Et qu’en est-il de ces jours, ces mois, ces années ?

Accroc maladif quant aux effluves aphrodisiaques de la chair. Ces pulsions charnelles et lubriques qui me possèdent auront toujours eu raison de ma liberté, de mon bonheur, d’une accalmie pourtant désirée. Mon esprit est malade, au fond je le sais. Sans cesse rappelé à l’ordre par mes désirs sexuels ; je suis prédateur, en chasse continuellement. Faible, face à l’appelle de la luxure. J’ai cette envie de m’abandonner en chaque corps masculin, oui, ce besoin de dévorer de nouvelles âmes, celles qui croiseront mon chemin. Pouvoir oublier mes affres et mes tourments à travers de violents coups de buttoir et finir par m’évaporer en une trainée de plaisir. Même amoureux. Et c’est ça, c’est précisément cela qui a tout foutu en l’air.

Je manipule, je mens comme je respire. Obsédé par la maîtrise et le contrôle de sois, le contrôle des autres. J’observe, j’analyse et agis en conséquence afin d’obtenir ce dont pourquoi je m’intéresse à autrui. Si je m’y intéresse, car oui ; susciter mon attention n’est pas donné à tout le monde, non. Ce n’est pas donné à n’importe qui. Et je me fiche de n’importe qui, n’importe quoi, pourvu que je sois le centre de l’attention, pourvu que ce soit moi. Juste moi, putain. Et pas un autre. La fourberie est mon mode de fonctionnement. Prêt à tout, prêt à l’acharnement. Je décide, je dirige, je domine. Moi et mes costumes, moi et mon image, ce masque, ce déguisement crée de toute pièce depuis la mort de ma mère, depuis mes quatorze ans. Telle une tornade, je brise tout ce que je touche. Et je touche tout ce que j’aime. Et je l’aime, lui, le seul et l’unique, l’homme de ma vie. Je l’ai perdu une fois. Je l’ai perdu deux fois et définitivement. Ma merveille, ma passion, mon ultime obsession. Seul Rob est capable de me comprendre, est capable de m’apaiser, de faire ressortir l’homme bon et aimant, généreux, protecteur. Mais c’est terminé. Il ne reste que les méandres d’une insupportable douleur. Dantesque, colossale ; fruit d’une psychose électrisant ma raison, mon esprit, mon moi tout entier.

Névrosé, instable, à part. Véritablement à part, même. Porteur de l’hépatite B, la dépression me pousse à ne pas suivre régulièrement mon traitement. Mais je m’en branle, ouais. Je m’en contre carre le cul. Soumis à mes obligations judiciaire, il n’y a que mon rendez-vous par semaine chez mon psychiatre attitré où je suis contraint d’être régulier. Quoi qu’il en soit, toute cette confusion mentale me possédant ne me fait pas lésiner sur la bouteille ; l’on me dira alcoolique. Oui, l’on me dira beaucoup de choses. Et c’est exactement pour cette raison que je m’obstine à ne montrer que la façade de mon âme, ou du moins ce qu’il en reste. La sournoiserie n’a pas de limite ; je suis le personnage principal et vous les figurants. Et tandis que je tâcherais vos mémoires et vos souvenirs, vous ne serez qu’une poussière de plus à balayer. La conscience ? C’est comme les tâches, putain. Ca s’essuie. Et pourtant… tous les spectres de ma vie me hantent. Ils me rendent fou, dingue, complètement cinglé, même. Il m’arrive parfois de céder aux cris, de céder à la démence qui me ronge et que j’essaye coûte que coûte d’étouffer. J’étrangle, je hurle, je pousse, je casse… et peut-être plus. Mon passif n’a rien de doré et j’ai perdu la seule perle que la vie m’a donné. Je n’ai plus de rêves ni d’ambitions. L’année 2015 m’aura fait vivre un véritable ascenseur émotif dont les cauchemars et déchirements resterons à jamais gravés. Je ne pensais pas revivre de telles agitations depuis la période horrifique du 19 septembre et 10 octobre 2010, non… Mais je me suis trompé. Ouais, j’me suis leurré, nom de Dieu.

Moi, Gary Adam Lewis, enseignant les arts dramatiques depuis mes trente ans, ancien acteur sur les planches de Broadway. Mon existence n’est qu’une lamentable comédie. Un jeu d’échec géant mêlé au strip poker. Et si j’ai gagné bien des parties, j’ai échoué à la plus importante de ma vie. Espoirs vains et brisés, me voilà ainsi en nouveau territoire. Perdu, ouais, complètement paumé.



LE GROUPE Honesty ◊ Je suis de ceux qui n’auront jamais manqué de quoi que ce soit de matériel. Enfant du fléau, je suis néanmoins né dans le luxe, l’or et l’argent. Une image qui me colle à la peau, quelque chose d’encré, d’inévitable, ouais. Gary Stephen Lewis, mon grand père, était l’un des deux PDG d’une importante compagnie pétrolière New-Yorkaise ; autant vous dire qu’il incarnait le pouvoir, la puissance. Sombre et fallacieux républicain. Mettant au monde Adam Georges Lewis, mon géniteur plus qu’un véritable père. A défaut d’amour et d’attention, j’ai bénéficié de ses contactes, de pistons. Ouais… Aucun putain de mérite. Mon paternel était un homme politique, pathétique bourreau, froid comme la glace et morne comme la pierre. Il nous aura tous deux terrorisé, moi et ma mère. Amateur d’art et de théâtre classique, je n’ai pas eu d’autres choix que de me diriger vers cette branche, la comédie. Donnant naissance à mon excellence en matière de manipulation psychique et sociale, être acteur m’aura servit concernant les méandres de mon intimité plus que de la profession elle-même. Je charme et j’hypnotise, je m’acharne, je rivalise ; pourvu que j’obtienne tout ce dont je désire. Jeune, j’avais déjà compris que le monde ne laissait aucune place aux honnêtes gens ; il n’y a aucune justice, non. Et si, jusqu’à mes quatorze ans, j’étais ce gamin bon et franc, la mort de ma mère aura étouffé ma bonté, mon humanisme. Beau, grand, fort ; un mètre quatre-vingt seize et le regard gris, perçant. Mon image demeure le plus important, pourvu que personne ne détecte ce qui s’y cache. Car j’ai blessé. Oh, oui, j’ai heurté… à m’en mordre les doigts. J’aurais pu être heureux, mais mon naturel instable et hypocrite m’en aura empêché. Mais vous ne saurez pas, non. Je ne vous ferais pas ce plaisir, celui d’alimenter votre curiosité malsaine. Vous, les pantins de ce monde satyre. Enfin, j’aurais beau tremper mon corps dans cet océan débauché dont je suis addict, je resterais l’héritier d’un défunt et répugnant personnage ; n’a-t-on jamais dis « heureux en argent, malheureux en amour » ?
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Gary Adam Lewis
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Date d'inscription : 13/04/2016
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once upon a time

Je suis parti.

« Est-ce que tu veux m’épouser ? »

J’ai tout brûlé.

«  J’suis revenu pour me venger de toi. De ce que tu as fait à Gloria. De ce que tu m’as fait. J’t’ai berné et putain … putain, tu n’l’as pas vu venir, hein ? »

Il ne restait plus rien, si ce n’est que mon éternel loft et ses souvenirs. Ils ont périt dans les flammes. Tout comme mon futur, oui, tout comme mon âme.

«  J’me suis dit que, peut-être .. ouais, tu pourrais peut-être changer. Alors j’ai remballé ma haine pour nous donner une chance. Qu’as tu fais, Gary ? Qu’est ce que tu as fait de cette chance ? Tu l’as bafouée parce que t’es immonde. Tu dis m’aimer, mais… y a qu’ta queue qui compte, putain ! »

La balle a transpercé ma peau comme les mots ont transpercés mon coeur. Celui que j’avais visé afin de l’achever, ce coeur. Celui qui aura été épargné par son geste sauveur, ce coeur.

«  Gary ! Gary reste avec moi, j’t’en prie ! »

Hémorragie interne et sentimentale. Je pensais pouvoir me libérer de ce mal qui me ronge, qui le ronge lui, nous, ensemble et continuellement. Je pensais pouvoir me fondre à travers l’ultime néant, la mort. Car supporter ces affres et ces derniers tourments n’était pas dans ma capacité, non, ce n’était pas de mon ressort. Pas après tout ce que j’ai pu vivre, pas après ces multiples ascenseurs émotifs. Mon but était précis, définitif ; tenter une toute dernière fois de recoller les morceaux brisés de notre histoire, de nos vies, de notre passion respective. L’épouser, juste lui et moi, intimement, pour finir par quitter New-York ensemble, direction l’inconnu, direction l’avenir. Un avenir meilleur, un avenir amoureux, un avenir à deux, loin… Loin de ce manège apocalyptique nous collant à la peau. Deux bagues, deux billets sans retour ; il ne manquait plus qu’un oui. Un simple mot décidant de mon existence. Un simple mot, capable de tout faire basculer. Un simple mot dont la finalité binaire se présente par deux possibilités ; négatif ou positif. Rob trancha. Mais il fit plus que cela, oui… Bien plus. Jamais je n’avais imaginé un tel scénario. Jamais je ne l’aurais cru capable de monter un tel plan scrupuleux. Si cruel, nom de Dieu, mais tellement légitime. Car c’est bien cela qui a enfoncé le clou final ; je suis l’auteur de cette oeuvre morbide et déchirante. Oui, je suis celui qui l’aura transformé, celui qui lui aura ôté ses ailes, sa lumière, pour les remplacer par les griffes du diable et ses ténèbres ; les miennes. Ma marque.

«  Gary ! Merde, Gary, non !… Parle moi, j’t’en supplie, putain !! »

Finalement, l’arme aura décidé. Et le courage qui m’avait toujours manqué avant me fit appuyer sur la détente. Tandis que le sang tâchait mes vêtements, mon corps, le sol et ses mains, je pouvais lire en ses yeux ô combien il avait peur de me perdre. Moi, celui qui l’aura fait souffrir plus que jamais. Celui qui aura trahis, mentis, hurlé, trompé, violé… aimé. Et c’est précisément à cet instant que j’ai réalisé que nous ne serions jamais en paix, lui et moi. Jamais, tant que je serais encore vivant, sur cette terre maudite, cette terre poubelle. Polluant tout ce que j’aime, bien malgré moi.

« N.. Non… Laisse… R..ob.. »

Je me suis sentit partir. Et, vous savez, ce fameux cliché, celui dont les images phares de votre vie défilent sous vos yeux aux pas de la mort ; il est réel. J’ai revu ma mère, maman… Celle dont l’amour l’aura autant meurtrie. Celle dont ce poison l’aura également condamnée. Oui, j’ai de nouveau entendu le son de sa voix très distinctement, alors qu’il n’était plus qu’un bruit vague et sourd, flou. Bien trop flou pour être représentatif. J’ai revu Adam, mon père ; cet homme qui n’aura causé que de nombreux malheurs. Cet homme que je suis devenu, alors que j’ai cherché à m’en distinguer toute mon existence. Je me suis vu, moi, enfant, attendant devant la porte de la chambre de maman, tout au long de la nuit ; lorsqu’elle pleurait inlassablement, perdue dans les méandres d’une dépression sans fin, une dépression qui l’aura guidée six pieds sous terre alors que je n’avais que quatorze-ans. Oui, j’ai revu Charlotte, ma nourrice qu’Adam se tapait impunément, achetant mon silence de par des friandises, puis des billets. J’ai revu les débuts d’une débauche dont je suis devenu accroc, les débuts de mon personnage, de ce déguisement que j’aurais vêtu sans relâche afin que personne ne puisse me percer à jour, que personne ne puisse me contrôler. J’ai revu Broadway, ma notoriété d’antan et ses déboires. Echangisme, queues dressées, jets de foutre et compagnie. J’ai revu ces années de solitude, errant tel un spectre insipide et nihiliste dans les couloirs sombre de ma vie, jusqu’à ce qu’un être lumineux et angélique vienne me sortir du mal, en 2008 ; Rob. Mon magnifique, mon enjôleur, mon merveilleux Rob Oberyn Millz.

« Dé.. solé…
- Non !!
- Pour… t… tout… »

Tandis qu’il appelait les secours, restant à mes côtés, collé à moi, je continuais de rêver. De revoir tout mon passé. Ces presque trois années d’amour, de fusion, de complicité. La première était idyllique, sensationnelle, même. Je n’ai jamais été aussi heureux, comblé. Tous deux amoureux plus que tout, plus que jamais. Tous deux bâtards solitaires mais réunis contre ces gens, contre ce monde et contre tous. S’abandonnant ensemble à travers de longues étreintes lubriques et charnelles, sauvages mais tendres, déchainées et insatiables. Oui, Rob m’appris à vivre, à aimer la vie. Et j’ai développé cet atome amoureux et éternel, cette addiction à son être tout entier. Mais malgré ces sentiments démesurés, mon naturel pathologique et névrosé repris le dessus, à partir de la deuxième année. Les médecins appellent cela satyriasis, ou hyperactivité sexuelle. Enfin, ils peuvent appeler ça comme ils le veulent, ces charlatans, ces misérables et sombres fallacieux. Le fait est que je suis l’esclave de mes désirs, l’esclave de mes pulsions électriques et dépravées, salaces. Incapable d’y résister, non, impossible de luter. Ce monstre qui sommeil en moi, cet unique obstacle au bien-être, au nirvana. C’est lui qui nous aura détruits. C’est lui qui nous aura menés plus bas que terre, dans les abysses de l’enfer. Cette bête féroce et malade, cette psychose impulsive qui m’aura conduit à la violer elle, Gloria. Cette fille qu’il a, un jour, rencontré. Cette fille qui l’a persuadé de me quitter, jadis. Oui, je l’ai revu elle, cette scène affreuse et démente ; le dix octobre 2010. Ce premier départ, bébé… Cette première plaie incicatrisable. Puis la prison. J’ai revu ces nuits infernales, jusqu’à ce qu’on vienne me libérer, oui. Jusqu’à ce qu’Adam fasse ce qu’il a toujours fait ; payer. Lécher le cul de ses multiples contactes républicains et perfides afin que je n’écope que d’une peine minimale. Il ne l’a jamais fait par sympathie, non.. Tout était continuellement dans le but de pouvoir me le reprocher ensuite. De pouvoir me pointer du doigt, moi et mes péripéties, moi et mes soucis. J’ai revu l’interdiction de territoire ; Boston, puis Cambridge. Cinq années passées loin de tout mon univers, si toxique mais pourtant inéluctable. Cinq années où je n’avais plus aucun remord, plus aucune retenue ; souillant des culs et des âmes, sans jamais pouvoir soigner la mienne. Et ce qui devait arriver arriva ; je suis tombé malade. L’hépatite B. Comme si la vie essayait de me faire payer et ce par n’importe quel moyen. J’ai revu l’enterrement de mon père, m’ayant laissé un arrière goût morne et amer mais me permettant cela-dit de rentrer à New-York, fin janvier 2015. Et à partir de là, chéri… A partir de cette année, j’ai sans doute poussé ma fourberie à ses limites. Et si tu n’en n’a pas été victime, toi, il en fût tout autrement pour d’autres. J’ai revu Van et mes mauvais traitements à son égard, avant de te voir, amour. Lorsque tu es revenu, après une absence de 1825 jours.

«  Je… t’aime…
- Gary !! »

Black out. J’ai finalement épousé le black out, en ce soir du 24 décembre 2015. De par sa précipitation spontanée, Rob m’a évité la mort. Les pompiers ont fait ce qu’ils avaient à faire, m’emmenant à l’hôpital. Il n’y a rien de pire, non… Rien de pire que de se réveiller d’un suicide loupé, un suicide échoué, là, sur un lit médical froid et glacé. Seul. Horriblement seul. J’y suis resté deux mois. Il n’y a que Van qui sera venu me voir, m’aider, juste être à mes côtés. Van… encore le fruit de mes vices, mais pourtant mon seul et unique ami. Mais malgré ça, malgré lui… il ne restait plus rien. J’étais définitivement vide, anéanti. Bien au delà d’une dépression ou d’une quelconque douleur ; je suis devenu la souffrance elle-même. Une plaie géante, continuellement à vif. Atteint d’un amour démentiel à vie. Cet amour que je lui porte et lui porterais à jamais, à lui. J’ai attendu. Comme un con, j’ai espéré le voir. Qu’il revienne au chevet de mon lit d’hôpital, prêt à accepter. Prêt à me dire « oui ». Mais Rob n’est jamais venu, non. C’était… fini. Tout était terminé.

Maintenant, plus rien n’a d’importance, non. Alors j’ai foutu le camp, ouais. J’ai tout cramé. Guidé par cette nécrose perpétuelle ; ma confusion mentale. En cap vers le néant, de retour en ce tunnel noir et obscur qu’est mon existence, sans lui. Sans toi, bébé. Ca durera le temps que ça devra durer, ouais… Jusqu’à la prochaine tentative. Et cette fois, je ne me louperais pas.
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Willa S. Miller
modératrice
Date d'inscription : 13/03/2016
Messages : 456


Bienvenue parmi nous Gary Adam Lewis ◊ I'm unclean, a libertine.  1752324381
Ton histoire m'a brisé le coeur. Gary et Rob m'ont brisé le coeur. C'est affreux. C'était beau mais c'est affreux.
Si tu as besoin, n'hésite pas contacter le staff :love:
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Arjan L. Callas
ϟ it was impossible so they did it
Date d'inscription : 22/03/2016
Messages : 629


Bienvenue :love:
Si tu as une question n'hésite pas :coeur:
Belle fiche :love:
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Gary Adam Lewis
membre
Date d'inscription : 13/04/2016
Messages : 6


I love you Gosh, merci ! Et encore, je n'ai dévoilé que peu de choses :heyhey:

Je n'hésiterais pas, c'est noté :gni: Content d'être parmi vous !
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Theresa L. Mann
membre
Date d'inscription : 05/04/2016
Messages : 62


Bienvenue !

Et quel choix d'avatar ! Il est tellement rare que je ne peux que plussoyer :D
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Théo Charpentier
membre du mois
Date d'inscription : 13/03/2016
Messages : 853


Bienvenue :love:
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A. Jordan Anderson
- there's no more light in my sky -
Date d'inscription : 15/03/2016
Messages : 492


Très joli choix. Gary Adam Lewis ◊ I'm unclean, a libertine.  176164174
Bienvenue parmi nous. :love:
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Lisandris Breckenridge
membre
Date d'inscription : 03/04/2016
Messages : 177


bienvenue parmi nous Gary Adam Lewis ◊ I'm unclean, a libertine.  1607442165
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Ondine L. Casanueva
★ she smelt like the sun
Date d'inscription : 25/10/2015
Messages : 2111


Bienvenue sur LRS et bon courage pour ta fiche :perv:
si tu as la moindre question n'hésites pas :coeur:
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 Gary Adam Lewis ◊ I'm unclean, a libertine.
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» (marine) willow lewis-cooper, 18mai

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