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 Che sia l’amore tutto ciò che esiste È ciò che noi sappiamo dell’amore (Théo)


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Arjan L. Callas
ϟ it was impossible so they did it
Date d'inscription : 22/03/2016
Messages : 629



Open your eyes, open your heart, you're mine
Che sia l’amore tutto ciò che esiste  È ciò che noi sappiamo dell’amore (Théo) - Page 2 Tumblr_o5cw1kPrEF1vpwxx7o2_250
 Le fait de ne pas le toucher était une cruauté sans nom. Cela te rongeait littéralement de l'intérieur, aspirant toute ta fébrilité à son égard pour l'extérioriser toujours un peu plus. Ses yeux émeraudes-noisettes étaient ta perte et ton salut en même temps. Il suffisait d'un simple regard de sa part pour que ton monde entier s'arrête de tourner. Les ouragans, les tornades, les siphons, rien n'avait autant d'impact que ses deux billes colorées. Tu déglutissais lentement alors que ton corps vibrait silencieusement. Tu ne pouvais pas simplement t'arrêter et attendre que ça passe parce que la carence de son corps, de lui était bien trop puissante face à ta frêle énergie. Tu t'immobilisais soudainement l'obligeant à s'arrêter à son tour. Tout son être pivotait vers toi et tu tentais de faire bonne figure sachant que ton corps entier était en train de se liquéfier. C'était un combat intérieur, féroce que tu étais en train de mener mais il n'était pas question que tu cèdes. Tu désirais prendre possession de lui, de tout ce qu'il représentait mais il fallait qu'il craque le premier.

Tu patientais quelques secondes avant que tes pas foulent le sol pour réduire la distance entre vous. Tes doigts se posaient délicatement sur son torse alors qu'un sourire malicieux naissait à la commissure de ses lèvres. Ton coeur manquait un battement sous ce rictus qu'il t'offrait et tu faillis plonger dans ton désir à peine contrôlé. Tu inspirais discrètement alors qu'une de tes bretelles descendait subtilement sur ta peau nue. Tes mains n'attendaient pas une seconde de plus pour se glisser sous son torse nue et la chaleur de sa peau manquait de te faire défaillir. Tes iris pétillantes s'incrustaient un peu plus intensément dans les siennes, brûlantes, fiévreuses de ce désir latent. Son "Devine" te torturait cruellement mais tu étais fascinée par sa voix, par ses mots. La mélodie de sa voix rauque, de son souffle sur ta nuque, Théo te faisait littéralement perdre la tête. Tu devenais dingue, dingue de lui et de ce qu'il t'infligeait. Il ne te laissait pas le temps de répondre que ses mains s'abattaient sur tes hanches déclenchant une longue série de frissons. La boule de chaleur dans ton bas ventre battait à tout rompre, prête à imploser à tout moment. Ses lèvres s'écrasaient sur les tiennes et tu appréciais la saveur de celles ci. Ta langue effleuraient délicatement la sienne alors que l'une de tes mains agrippait sa nuque pour mieux le rapprocher de toi. Ton corps tout entier se collait contre lui et tu pouvais sentir ses muscles se contracter sous son tee- shirt. La chaleur de la pièce avait pris plusieurs degrés et tu sentais toute la passion dans cette étreinte. C'était un moment puissamment érotique malgré que cela n'était qu'un simple baiser, ayant pourtant la force d'un orgasme. Tu fondais autant psychologiquement que physiquement alors que Théo suçotait ta lèvre inférieure. Il finissait par mettre un terme au baiser vous laissant haletant tout les deux. Tu étais à deux doigts de céder, de rompre cette promesse que tu t'étais faite de ne pas craquer mais tu te repris lorsqu'il reprit la parole. Il te testait à son tour, il s'amusait de cet état d'excitation qui ne demandait qu'à être brisé par l'un d'entre vous. Ce n'était plus qu'une question de secondes, peut être même de minutes mais la violence de cette tension était plus que palpable. Peut être que tu te trompes Ton idée était belle et bien faite mais tu le voulais, tu le désirais et en même temps tu voulais qu'il craque sous le poids de votre passion commune. Tu voulais qu'il prenne possession de toi, que son esprit ne puisse plus contrôler ses gestes tellement il souhaite unir vos deux corps. Tes doigts descendaient sur son bas ventre et tu t'amusais à jouer avec l'élastique de son caleçon. Les boutons ouverts de son jean te permettaient d'avoir une certaine marge de manoeuvre et tu en profitais pour flirter entre la tentation et quelques fois la déraison. Tes mains glissaient sur sa colonne vertébrale et alors que tes lèvres goûtaient sa nuque tes ongles s'enfonçaient légèrement dans le dos de Théo. A cet instant précis ton corps se collait contre le sien qui, lui, finissait par heurter le mur. Tu pouvais sentir toute l'excitation qu'il ressentait à travers le maigre bout de tissu qui vous séparait et ça manquait de t'achever. Tu retenais un soupir d'extase alors que tes lèvres s'attachaient une nouvelle fois aux siennes. Tu te décrochais alors qu'il tentait de t'embrasser une nouvelle fois d'un geste légèrement défiant. Tu le provoquais tout comme il t'avait provoqué au préalable. Le fait de ne pas le toucher te faisait presque tourner la tête mais tu attendais qu'il ressente les effets dévastateurs du manque pour finalement faire mourir ta bouche une nouvelle fois sur la sienne. Tes mains finissaient d'enlever sa chemise que tu balançais plus loin. Tes lèvres effleuraient sa nuque, ses clavicules, son lobe d'oreille, chaque endroit qui, tu le savais, le rendait dingue. Ta robe était légèrement remontée sur le haut de tes cuisses dans la bataille mais tu t'en fichais, au contraire, ce fait involontaire ne faisait qu'accentuer le désir qui vous foudroyait. Tu voulais mettre de la distance ... Tes doigts continuaient sur leur lancée érotique se baladant de sa nuque, à son torse, à ses abdominaux pour jouer une nouvelle fois avec l'élastique de son boxer. Tu frôlais les limites et ton corps se collait plus ou moins sauvagement contre le sien lorsque tu sentis Théo se raidir sous tes demi caresses. Tu ne l'avais pas encore touché et pourtant chacun de ses muscles, des tiens, étaient tendus à un point de non retour. Tu te mordais la lèvre inférieure sentant que tu étais prête à craquer et puis pour soulager ta propre fièvre tes mains glissaient subtilement vers son intimité.









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Théo Charpentier
membre du mois
Date d'inscription : 13/03/2016
Messages : 853


Ses doigts vinrent, une nouvelle fois, rencontrer ton torse. Et une nouvelle fois, un sourire naquit sur tes lèvres. Arjan. Elle te faisait voir de toutes les couleurs, te faisait passer par tout les sentiments possibles et imaginables, mais tu continuais de t'y accrocher parce que tu étais accroc. Tu l'avais sans l'avoir, et ça, ça te rendais dingue. Arjan, elle était à toi, mais un autre la possédait aux yeux des autres et tu n'étais pas d'accord avec ce fait. Sauf qu'Arjan, elle pensait la même chose que toi, et Arjan n'était d'accord que pour te posséder. C'était la tienne, ton bijoux, ton diamant, ton tout et ça, tu te le répétais pour ne pas perdre pied. Vos yeux ne se quittaient pas, tu l'observais avec amour, passion et désir. Sauf que tu ne faisais rien, tes mains se baladaient le long de ses bras et de ses hanches, mais tu ne faisais rien de plus. Tu la faisais languir, mais toi, tu languissais aussi. Tu voulais Arjan, mais tu jouais avec, sans l'avoir. Tu te permettais juste de l'embrasser, de sceller vos lèvres un instant, avant d'y mettre fin et d'à nouveau, l'observais. Tu pouvais rester des heures ainsi, à la regarder, à sourire et à l'embrasser, c'était le plus parfait des passes-temps. Tu sentais ses doigts s'enfoncer dans ton dos, et tout ce que tu trouvais à faire était de sourire, ce sourire en coin qui n'allait pas déserter de si tôt. Elle te voulait et te désirait comme toi, tu la désirais. C'est peu de temps après que ton dos rencontrait le mur et que vos lèvres se scellaient à nouveau. Vous étiez partis, lancés et plus personne ne pourrait vous arrêtez. Sauf Arjan, qui elle, semblait vouloir prendre sa revanche et jouer à son tour, elle te provoquait et cela t'arrachait un léger rire. Tu restais collé au mur, un sourcil levé, la défiant du regard, lui faisait passer le message. Elle ne pourrait pas résister et tu avais bien raison puisque quelques minutes après, elle était de nouveau collé à toi. Même pas deux minutes que tu brûlais déjà de l'intérieur car elle n'était pas là et que tu ne pouvais pas la toucher. Tes mains vinrent à nouveau se poser sur ses hanches alors qu'elle s'occupait de détacher ta chemise, l'envoyant plus loin. Tu t'en foutais, tout ce que tu voulais, c'était elle. C'est ce que tu avais toujours voulu, Arjan. Tes mains, cette fois, baladeuses, vinrent frôler ses cuisses découvertes alors qu'elle s'amusait à te rendre fou. Tu n'en pouvais plus. Elle te connaissait parfaitement bien et savait quoi faire pour te rendre dingue. Les endroits stratégiques. Tu te raidis en sentant ses doigts et arrachait un sourire en la sentant faire. Putain, tu mourrais sur place, d'envie et de désir et ce, à cause d'elle. Seulement, le plaisir était mit en retrait quand elle s'écarta à nouveau. Haletant, tu secouais ta tête en la regardant. Elle ne pouvait pas te faire ça. Hors de questions que tu n'acceptes qu'elle s'écarte, pas maintenant. J'le veux pas, c'est con. Tu lui souriais avant de te ruer sur elle et de l'attraper, la portant. Tes mains sur ses cuisses, tu l'emmenais sur le canapé où là, tu la couchais, te posant dessus. Tes lèvres se posaient sur son cou alors que tes mains degagaient ses cheveux. Tu la couvrais de baiser, son cou, sa mâchoire, ses épaules nues, tout ce qui t'étais libre d'accès. Ne me refais plus ça. S'il te plaît. Que tu lui murmurais entre chaque baisers.
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