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 Tell me now you know. [Willow]




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   Willow & Diego
   Tell me now, you know

D
iego semblait absorbé par un morceau de papier, assis sur son bureau, attendant les élèves. Il aimait être en avance histoire de préparer la salle, de se concentrer et d’essayer d’oublier un moment que son âme ne cessait de souffrir. Ses yeux étaient rivés sur une simple photographie, comme si celle-ci pouvait lui apporter toutes les réponses du monde alors qu’elle restait désespérément muette. Hermétique à chacun de ses espoirs. Le professeur mourrait d’envie de déchirer le vélin, de le broyer entre ses doigts puissants mais tremblants d’émotion. Cette nuit avait été tellement éprouvante. Des cauchemars, des cris, des pleurs et pour finir, l’insomnie par peur de revoir les yeux remplis de reproches de l’être aimé maintenant disparu. Jamais il n’arriverait à faire son deuil. Jamais il ne pourrait passer à autre chose. Pourtant, il en était de son salue. De sa santé mentale. Mais rien n’y faisait. Il restait entouré de ce tourbillon de noirceur qui prenait un malin plaisir à s’immiscer entre ses tripes. Un soupire passa le barrage de ses lèvres alors qu’il sautait sur ses jambes pour se redresser. Bientôt ses élèves arriveraient et il reprendrait son masque, son sourire factice et sa passion dominante pour cette matière qu’il avait choisi de dispenser.

Pourtant, alors qu’il se retournait vers la porte, Diego marqua un arrêt. Sa respiration se figea, son cœur manqua un battement. Là, devant lui, l’esprit qui occupait ses pensées, la femme défunte, le fantôme de son passé. Impossible. Pourtant, il y avait cette voix qui murmurait doucement, délicatement au creu de son oreille. Pourquoi pas ? Pourquoi avoir ce besoin viscérale de croire qu’elle l’attendrait lorsqu’il quitterait la fac ? Qu’elle l’accueillerait avec son sourire habituel et sa voix mélodieuse avant de l’embrasser. Tout cela ne rimait à rien. Rien d’autre qu’une torture mentale qu’il semblait adorer s’infliger. Un battement de cil, une seconde d’inattention et elle s’était envolée. Comme le mirage dans le désert. Le professeur dût se mordre la langue pour revenir à la réalité. Pour que sa respiration reprenne son chemin normal. Hagard, il resta immobile un moment. Combien, impossible à dire. Quelques secondes, minutes ? Diego finit par soupirer longuement, se passant une main sur le visage avant de se tapoter les joues pour reprendre une contenance relative. Ce cours serait un excellent moyen de se vider la tête quelques temps. Et puis, avec un peu de chances, elle aurait envie de le voir après. Pour quelques explications en privé.

Elle, c’était cette rousse si étonnante qui l’avait abordé une fois. Puis une autre. Et ils avaient fini par succomber à la tentation de ce jeu étrangement excitant. Elle était intrigante, forte. Lui se trouvait pathétique et au fond de la cuvette des toilettes moralement. Sans le savoir, ce brin de femme lui avait offert un oasis dans le désert, un havre de paix salvateur durant une longue guerre. Alors, à chaque fois qu’il devait donner un cours devant elle, il espérait. Il espérait la suite. C’était aux grés des envies de la demoiselle mais cela lui convenait. Il ne savait jamais quand ni ou et c’était grisant. Délicieusement apaisant. Cette pensée lui arracha un sourire malicieux alors que, lentement, il sortait de son sac, son ordinateur, allumait le projecteur avant d’aller ouvrir la porte. Il avait encore une bonne dizaine de minutes avant l’arrivée des premiers étudiants. Peut-être viendrait-elle en avance ? Quel jeu délicieux, du chat et de la souris. Diego mit ses mains dans ses poches avant d’aller se mettre devant la fenêtre qui baignait l’amphithéâtre d’une lumière douce, chaleureuse. Les rayons du soleil chauffaient maintenant son visage, créant à ses pieds une ombre longiligne. Son esprit tournait toujours à une telle vitesse que s’en était fatiguant. Il aimerait souvent arrêter de penser, mettre son cerveau en veille pour se reposer. Etait-ce cela le lot des surdoués ? Ne jamais pouvoir s’arrêter de se poser miles et une question parfois terriblement idiote. C’était grâce à cela qu’il avait réussi à se passionner corps et âme pour l’histoire lorsqu’il était jeune. Les mains dans le dos, la chemise bleue au-dessus du jean délavé noir, il attendait, perdu dans sa contemplation de la vie dans ses états différents.
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Ses mèches rousses dansaient sur son dos au rythme régulier de ses pas foulants le sol usé de l’Université. Willow avançait avec cette détermination qui la caractérise, sa silhouette se frayant avec aplomb un chemin entre les autres étudiants. « Willow ! Qu’est-ce que tu fais ? » l’interpellait l’une de ses camarades de promotion, la faisant se stopper dans son élan « Je m’avance vers le prochain cours. » répliquait l’intéressée comme si c’était la seule réponse à attendre de sa part « On a au moins quinze minutes pour y aller, ça va. On est pas payé pour les heures sup. » plaisantait l’étudiante. « En relisant mes cours il y a certaines choses que j’ai trouvé floues, je voudrais des précisions. » argumentait la rouquine qui tournait déjà les talons sans se préoccuper d’une nouvelle réponse de son interlocutrice. Ce cours là avait un attrait particulier, pas pour seulement pour son contenu mais surtout pour celui qui l’enseignait. Diego Kellogston aussi british que son prénom ne le laissait pas deviner, avait retenu l’attention de Willow dès le premier cours auquel elle avait assisté. Le trentenaire avait comme argument un accent diablement sexy et un sourire à enrôler une nonne dans un tournage érotique. Il avait cette allure de gendre idéal tranchant avec ce regard brûlant dont elle s’était vu l’honneur de se voir accordé. Cet homme là avait mis à mal ses principes et son éducation et cela sans même le vouloir. La jolie rousse avait fait les premiers pas, dans une démarche d’étudiante à son professeur dans un premier temps avant que l’envie ne prenne le dessus sur la décence et la raison.
Oui elle était fiancée, mais oui elle avait littéralement sauté sur son professeur d’histoire beaucoup trop sexy pour enseigner cette discipline. N’était-ce pas habituellement des vieux qui donnaient ce genre de cours ? Ou des vieille filles coincées… il va sans dire que le cours remportait un franc succès et la fréquentation de l’amphithéâtre ne désemplissait pas. Les étudiantes surtout, se montraient particulièrement assidues, ainsi que quelques mâles qui ne devaient pas non plus être insensibles au charme indéniable du trentenaire. Les bonnes places étaient chères, raison de plus pour se pointer en avance… Et ce contexte là donnait une dimension grisante à cette relation qu’ils entretenaient. Il n’y avait rien d’officiel, les moments étaient toujours imprévus, fugaces mais intenses. Willow avait le pouvoir, elle choisissait où, elle choisissait quand et affirmait son autorité avec une excitation non dissimulée. Le beau brun ne semblait pas s’en plaindre, bien au contraire. Parfois elle lui adressait à peine un regard cherchant à cueillir la frustration dans ses yeux dans un contact bref, pour l’instant d’après lui offrir toute son attention. Un jeu terriblement amusant dont la rouquine élaborait les règles au fil du temps. Un regard sur sa montre lui indiquait que du temps justement il lui en restait peu, aussi elle pressait le pas pour se rendre plus vite à destination. Arrivant aux abords de l’amphithéâtre elle se fit plus discrète, passait la porte aussi silencieusement que possible et posait son regard clair sur la silhouette devant la fenêtre.

Le contre jour donnait une allure particulière à la scène et Willow se félicitait d’avoir pu capter ce moment. Evitant soigneusement que ses talons de claquent trop fort au sol, l’étudiante s’avançait dans la direction du professeur. A mesure que la distance entre eux s’amenuisait son pas se fit plus souple jusqu’à devenir presque silencieux. Mais Diego paraissait si absorbé par sa contemplation qu’il n’avait pas esquissé un geste trahissant qu’il aurait senti sa présence. Alors qu’elle n’était plus qu’à un mètre environs la jeune femme prit soin de se retourner pour s’assurer que personne n’avait eu la même idée qu’elle de venir plus tôt. Qu’ils soient seuls sans savoir pour combien de temps donnait un peu plus de piment à ses intentions. La jolie rousse fit deux pas qui la menèrent juste derrière le trentenaire et sans un contact avec lui elle l’interpellait à voix basse « J’espère M. Kellogston que vous saurez allouer autant d’attention à votre prochaine contemplation… » elle s’approchait et chuchotait à son oreille « Je conseille à vos yeux de se poser au second rang, une rumeur dit qu’il pourrait s’y tenir quelque chose d’intéressant. ». Sourire aux lèvres elle reculait d’un pas puis d’un autre, un de ses sourcils s’arquait en guettant la réaction du trentenaire « Ça avait un petit quelque chose de très poétique de te voir si contemplatif dans ce magnifique contre jour. » faisait-elle remarquer avec un haussement d’épaule « J’ai troublé ta méditation peut-être ? » demandait Willow avec un petit sourire en coin qui montrait que si tel était le cas, elle n’en était pas désolée. Se retournant une nouvelle fois pour s’assurer de leur tranquillité, elle comblait ensuite à nouveau la distance entre eux et passant une main derrière la nuque du beau brun elle l’entrainait sur le côté de la fenêtre « Les murs ont des oreilles mais les fenêtres ont des yeux. ». Ses doigts fins glissaient le long de la joue de son professeur et son visage s’approchait du sien « J’espère que tu n’as pas cours après celui-ci. Il y a beaucoup de zone d’ombre sur ce chapitre qu’il va falloir que tu m’explique… » leurs lèvres auraient pu se frôler mais elle reculait à nouveau.
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U
n bruit de pas attira l’oreille du professeur mais il ne prit pas la peine de se retourner. Il savait à qui appartenait ce pas, cette jambe et ce corps qui semblait entrer avec grâce dans sa salle de classe. L’historien imaginait même la démarque que pouvait avoir cet élève alors qu’il se rapprochait du jeune trentenaire encore contemplatif de l’horizon. Volontairement, il ne bougea pas, ne chercha pas à décroiser ses mains posées sur son torse musclé, à tourner la tête pour apercevoir la beauté qui se trouvait juste dans son dos. Il se contentait de rester de marbre, telle une statue grecque fraichement taillée dans l’ivoire. Puis vint un murmure prometteur. Un murmure qui trahissait l’identité de l’élève, qui lui arracha un sourire malicieux. Il le savait. Il n’y avait que Willow pour allier prestance et légèreté. Cependant, il ne se retourna pas, se contentant de baisser la tête pour mieux entendre les phrases suaves qu’elle venait de lui susurrer au creux de son oreille. Le professeur étira ses lèvres en un sourire plus grand, plus satisfait encore que ses quelques mots qui étaient prononcés dans la pure intention de le provoquer. C’était un jeu délicieux qui atteignait son but à tous les coups. Et que c’était grisant, excitant même. Cette femme était, à ses yeux, l’amante parfaite, l’incarnation du désir et du plaisir. « Je ne regarderais ce rang que si une certaine rousse magnifique s’y installe. » Puis, lentement, il pivota vers elle, ses mains toujours figées dans cette position. Ses yeux fixèrent la jeune femme présente.

Ses iris dévoilaient tout l’effet que pouvait faire cette élève à un professeur tel que lui. Il en voyait pourtant, des demoiselles qui ne demandaient qu’un sourire de sa part pour accepter de se retrouver dans son lit, criant le plaisir qu’il pourrait leur prodiguer. Mais, peu de ces êtres avaient réussis à attirer réellement son attention. Willow restait celle qui l’avait marqué depuis la première fois où il avait posé son regard sur elle. Sur ce corps parfait et sur cette étincelle de défis présente dans les yeux de la belle. « Troublé ne serait pas le mot. Je dirais plutôt que tu m’as apporté une touche plus intéressante à ce décor. » Il savait que cette femme pouvait lui faire faire ce qu’elle souhaitait et cela lui plaisait. Il avait besoin de ça, de laisser les reines le temps de quelques coups de reins puissants. Il adorait la sentir proche de lui, prête à s’abandonner mais gardant cette envie de domination. C’était un sentiment étrange et plus que délicieux. Le contact de la main de la rousse sur sa nuque finit d’agrandir son sourire, il se laissa guider hors du champ de vision et ses mains se posèrent sur les hanches de Willow.

Cependant, il ne retenait pas ce corps sublime contre lui. Leurs souffles se mêlaient mais aucun contact ne se fit, la frustration était là, dans le creux de son ventre mais il ne pouvait nier que cela lui plaisir. Que cela augurait d’une suite absolument parfaite. Et ses mots. S’il n’avait pas un minimum de maîtrise de ses désirs, il aurait frissonné, plaqué cette femme contre un mur pour l’embrasser avec la passion qui les guidait depuis le début. « Je t’expliquerais tout ça. Tu auras le droit à une leçon privée. Mais j’ai besoin d’un acompte pour le cours. » Un sourire malicieux, désireux également, sa main toujours présente sur la taille de la rousse. Il l’attira contre son torse musclé d’un geste, prit son menton entre ses doigts musclés avant de l’embrasser langoureusement. Le contact de ses lèvres délicieuses acheva de lui donner envie de voir la suite. Pourvu que l’heure passe le plus rapidement possible. Il risquait de ne pas pouvoir quitter des yeux cette femme superbe jusqu’à ce que le dernier élève ne soit partit. A contre cœur, il finit par la lâcher, une lueur de défis bien présente dans ses iris voilés d’une touche de désir pour ce corps parfait. Pour cette femme qui le dominait à merveille. Il laissa ses mains retombées le long de son corps avant de passer ses doigts dans ses cheveux roux. « J’espère que tu as plus qu’une petite heure à me consacrer. J’ai l’impression que tu as de grosses lacunes sur ce chapitre. » Il finit par s’éloigner d’un pas de Willow, cette femme le rendait désireux, impétueux même. Il ne savait pas combien de temps ils disposaient encore en tête à tête avant qu’un trouble-fête ne vienne interrompre leur jeux. Délicieux jeu de séduction. Délicieuse domination.
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Sa plus grande satisfaction à cet instant était sans aucun doute de voir la lueur du désir briller dans les yeux de son professeur d’histoire. Willow savait ce jeu dangereux, parce qu’il était interdit pour plusieurs raisons mais également parce que la force de leur attirance était parfois troublante. Mais dans ces moments là, plus rien ne comptait que ce jeu de séduction auquel la jolie rousse tenait ardemment. Subtile mais provocante elle se plaisait à faire languir le trentenaire, le frustré pour qu’il prenne l’initiative de s’imposer dans leur échange. Elle ne lui laissait que rarement ce genre d’opportunité, préférant être toujours au commande, sa façon à elle de s’assurer qu’elle maîtrisait ce qui était clairement une relation adultère. Un paramètre soigneusement occulté par son esprit. Chaque jour un peu plus perdue, et de moins en moins sûre de son mariage à venir, elle trouvait dans la compagnie de Diego une bouffée d’oxygène. Avec lui elle dominait, elle était maitresse de son destin, de leurs entrevues, de ce qui s’y passait ou non. Aussi joueur que la jolie rouquine pouvait l’être, le professeur se pliait volontiers à ses règles, acceptant de passer de l’excitation à la frustration en un claquement de doigt. Willow adorait le voir sourire, observer le coin de ses yeux se plisser alors que son regard l’enveloppait de ses intentions. Elle incarnait le désir, et ses mots suffisaient à insuffler de l’envie au britannique qui ne s’en cachait aucunement. La rousse aurait son cours particulier, moment privilégié dont elle saurait profiter pleinement. Et si Diego réclamait un acompte, elle le laissait venir se servir. La proximité de son corps la réchauffait instantanément et ses lèvres au goût de l’interdit étaient succulentes.
Lorsqu’il reculait c’était une allure de prédateur qui s’offrait aux iris émeraudes de la jeune femme, image qu’elle appréciait particulièrement. L’attitude du professeur changeait assez rapidement, il avait cette faculté à se tempérer qui impressionnait quelque peu son élève. Il faut dire qu’il ne possédait pas tellement d’autre choix que de mettre sa patience à l’épreuve et faire preuve de self-control étant donné les conditions de leur relation. Usant de sous-entendus le bel historien lui fit par de son envie de passer plus qu’une simple petite heure en sa compagnie, une fois encore il lui donnait l’ascendant, réclamait son attention sans rien lui imposer et rien que pour cela il méritait qu’elle étudie la requête avec attention. « Il faut que je consulte mon agenda… » lâchait-elle avec un petit sourire en coin alors qu’il s’éloignait. Avait-il finalement du mal à se contenir ? « Mais je suis plutôt à jour dans mes révisions, alors je suppose que j’aurai pas mal de temps à consacrer à l’histoire. » jetant un nouveau coup d’œil en direction de l’entrée de l’amphithéâtre elle fit une moue contrariée en reposant son regard sur Diego « J’aime et à la fois je déteste, ne pas savoir si quelqu’un va arriver dans la minute qui suit. ». C’était grisant et dans un même temps un peu frustrant pour la jolie rousse qui avait pourtant envie de prolonger le contact avec son enseignant favoris. Elle tendit une main dans sa direction, la posant sur son torse lissant le tissu de sa chemise avec sa paume « J’aime bien cette chemise, elle te va bien. » elle se mordait la lèvre inférieure et son regard intense vint trouver celui de son interlocuteur « Mais sachant ce qu’elle abrite… » elle ne terminait pas sa phrase et se rapprochait ses doigts titillant les boutons du vêtement qui avait son attention pour l’instant « A chaque bonne réponse que je donnerai pendant nos révisions j’aurai le droit d’en défaire un. Ok ? » sa main descendit jusqu’à la ceinture du jean de son professeur sur laquelle elle tirait légèrement « J’ai besoin que mon assiduité soit récompensée. » sourire aux lèvres, affichant un air des plus innocents, tranchant totalement avec la nature de son geste alors que sa main venait de se poser sur l’entrejambe de l’anglais. Elle s’approchait d’avantage collant son corps au sien et chuchotait « Si ce fastidieux chapitre devient clair comme de l’eau de roche, tu seras récompensé. ».
Willow posait ses lèvres contre celles de Diego lui offrant un baiser comme pour sceller cet accord. Puis reculant légèrement son front restait contre celui du trentenaire « Ce cours va être très long je crois. » arquant un sourcil en sentant la manifestation du désir de son amant elle remontait sa main aventureuse sur son torse « Quelque chose me dit que tu vas commencer ton cours assis à ton bureau, non ? ». A ces mots elle tournait les talons, les faisant claquer sur le sol en allant rejoindre sa place au second rang. Elle sortait ses affaires de son sac, revêtait son allure d’étudiante qui se fondait parfaitement parmi toutes celles qui ne tardèrent pas à arriver. Lascivement elle croisait ses jambes non sans glisser une œillade équivoque à son professeur qui de sa position devait avoir une vue imprenable sur ses jolies jambes.
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illow ne se rendait pas compte de ce qu’elle provoquait chez le professeur. Un mélange d’envie et de désir puissant, une frustration rarement assouvie mais pourtant délectable. Chacune de leurs entrevues solitaires permettaient à Diego de se sentir mieux, de se dire que tout risquer pour l’avoir entre ses mains, pour pouvoir la voir prendre du plaisir, ça valait le coup. Elle valait le coup. C’était sans doute pour cela qu’il laissait l’ascendant à la jeune rousse sans jamais protester. C’était un jeu du chat et de la souris qui lui plaisait énormément. Il n’avait qu’à se laisser porter et quand le désir lui tordait trop le ventre, il se montrait sous son vrai jour, dominant et impatient. C’était rare, quelques occasions tout au plus et ces instants décuplaient l’envie de voir le visage de l’étudiante tordue de plaisir grâce à lui. C’était mal mais bordel, c’était bon.

Grâce à elle, il oubliait le mal que son cœur avait de vivre chaque jour sans sa femme, sans l’ombre de celle qui l’avait élevé au rang où il était et dont la disparition avait fait chuter bien bas l’historien. Le trentenaire occultait toujours le visage de sa défunte épouse dès que Willow était dans les parages, il ne voyait plus qu’elle et sa crinière flamboyante. Elle dénotait dans la foule, elle brillait parmi les autres et elle ne semblait pas s’en rendre compte. C’était pour cela que Diego avait accordé plus d’attention à la demoiselle que ses autres élèves. Parce qu’elle brillait et que ça lui plaisait énormément. Alors, il avait franchis le pas, violé les règles d’éthique sans le moindre remord. Et ça lui plaisait. Elle lui plaisait tellement. Ses yeux magnifiques, accrochés aux siens, ses courbes délicieuses, ses gestes gracieux. Ses réponses malicieuses. Qu’il adorait ça. Il en devenait presque accro, Diego. « Tu m’en vois ravis. L’histoire est une matière pleine de surprises. » Suivant le regard de Willow, il fronça le nez en hochant la tête.

Le professeur était d’accord. C’était grisant et dangereux. Tenter le diable était le fait même de leur relation après tout. Et c’était sans doute pour cela que tout semblait plus fort, plus puissant avec la rousse. Parce que ça avait un délicieux goût d’interdit. Son torse semblait réagir instantanément à la simple caresse de la main de la belle étudiante. Il la fixait avec ce regard brûlant d’envie, prêt à la prendre là, sans aucune sommation sur le coin de son bureau. Mais, son corps ne bougea pas, l’écoutant avec une attention étonnante, lui d’habitude si distrait. « Ton assiduité sera récompensée. Comme tu aimes qu’elle le soit. » Ce n’était pas leur premier jeu, loin de là et maintenant, il commençait à bien connaître les petits plaisirs préférés de la rousse. Et il ne s’en privait pas. Loin de là.

Inspirant profondément en sentant la main cavalière sur sa virilité déjà prête à bondir, il tenta de se calmer sans réel succès. Les quelques mots de Willow achevant de le rendre terriblement impatient. Pourquoi fallait-il qu’il soit obligé de donner ce cours, là maintenant ? Il n’en avait aucune envie. Sa voix devenue roque d’envie vint murmurer au creux de l’oreille de la belle, la main posée contre le bas du dos de la jeune femme, glissant un court instant sur son fessier délicieux. « Je me donnerais corps et âme pour que ça soit le cas, Willow. » Il prononçait toujours le prénom de la demoiselle avec un accent particulier, c’était involontaire mais répétitif. Scellant l’accord nouvellement créé d’un baiser, il la relâcha finalement à regret en hochant la tête, soupirant. « Très long. »

Il ne lui mentait pas, il n’en avait pas envie. Cependant, Diego rit à sa remarque, hochant la tête en se dirigeant vers son bureau, ne se gênant pas pour mater la chute de rein de la rousse. Le professeur s’installa à son poste, essayant de calmer la vive érection qui faisait trembler son pantalon. Très long. Jetant un œil aux jambes de la belle, il sourit doucement avant de tousser et de réclamer le calme. Le cours commença. Il récapitulait dans un premier temps le cours précédent avant de se lever, une fois calmé, pour débuter le sujet. Les Vikings. L’homme s’installa sur son bureau devant ses élèves en dispensant son cours ponctué de quelques photos judicieusement choisies. A peine avait-il commencé qu’il lorgnait déjà discrètement vers son élève préférée, se demandant quelle surprise elle allait lui faire cette fois-ci.
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