NOM(S) Burberry Whelan. PRÉNOM(S) Kylie Charlotte. ÂGE 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Il paraît que je suis née un certain 21 Avril. Tu fais le calcule pour l'année maintenant. Sinon, j'ai vu le jour à Londres. La plus belle ville du monde j'ai envie de dire. NATIONALITÉ Américaine et anglaise. STATUT CIVIL Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle je pense. MÉTIER Je ne travaille pas. Je suis étudiante en médecine en 1ère année graduate à l'école de médecine de Washington D.C. CLASSE SOCIALE Très aisée CARACTÈRE J'étudie et je fais la fête. Comme dans Grey's Anatomy. C'est un peu mon guide dans la vie et mon modèle c'est Cristina, cette bitch ! Je n'ai peur de rien... Hormis des insectes, du feu, du vide et de la vie après la mort qui selon moi n'existe pas. Sinon, pourquoi les chirurgiens essaient de sauver des vies si la vie là-haut est bien plus belle que celle d'en bas hein ? Sinon, je rêve de devenir un talentueux chirurgien, tout comme ma mère et accessoirement comme Cristina Yang.
PSEUDO .poison PRÉNOM Melanie. ÂGE 22 ans. PAYS France. INVENTE/SCENARIO Inventé. CRÉDITS Schizophrenic DOUBLE COMPTE ? Non aucun m'sieur ! AVATAR Candice Swanepoel.
Il parait que l’on ne vit qu’une fois. C’est un très bel état d’esprit qui encourage les plus faibles à faire tout et n’importe quoi de leurs vies en ayant cette phrase pour excuse. La vie de débauche n’est pas faite pour moi. Je veux dire, je m’amuse, certes. J’aime cela. Il faudrait même être carrément tordu pour ne pas aimer cela. Mais je le fais à dose raisonnable. Il m’arrive de faire beaucoup de conneries. Enormément même. Que je finis par regretter. Mais cela n’a rien à voir avec la drogue, l’alcool. C’est surtout porté sur le sexe, l’amour. Je vais vers les hommes sans réellement m’y attacher. Ils ne sont que des divertissements pour moi. Je pense que cela vient du fait qu’il ne me voit justement que comme un physique. Je préfère donc laisser les sentiments de côté quand je vais à leur rencontre. Je suis une personne très fière. Je n’accepte pas l’échec. Cela a le don de me mettre, durant quelques heures ou jours, le moral à plat, mais j’aime ensuite me relever afin de faire en sorte de retourner les choses en ma faveur. J’ai très souvent le don de ne pas me prendre au sérieux. Je suis comme une femme enfant qui a peur de grandir et de voir le monde tel qu’il est. De voir que les hommes se servent des femmes. Que les femmes sont hypocrites entres elles. Que l’Homme en général s’en prend à tout ce qu’il peut achever de ses mains nues pour son plaisir personnel. Je ne pense pas pouvoir faire de mal à une personne si elle ne m’en fait pas intentionnellement.
POWERIl n'y a pas à me le demander plusieurs fois. Il n'y a même pas besoin de me demander le pourquoi du comment quand l'on me connaît un minimum. J'ai toujours été admirative de ma mère. Du métier qu'elle exerce. En comprenant en quoi il consistait, je n'ai pas hésité une seconde concernant mon métier d'avenir. Je savais que je voulais devenir chirurgien tout comme elle. Mais on ne devient pas chirurgien avec les doigts coincés dans son anus; ou alors en se tournant les pouces pour rester polie. Même si la politesse, je ne connais pas tellement ce mot. Hormis avec mes supérieurs, parce que je n'ai pas le choix. On me dit souvent que je réglée comme un robot, un calendrier, une montre. Je sais où je veux aller et je m'en donne les moyens. J'ai d'ailleurs du mal à m'attacher aux personnes qui m'entourent car, dans le fond, je trouve qu'elles me ralentissent, qu'elles sont un frein et même qu'elles sont envieuse de mon succès, de ma force, de ma volonté de vaincre. Ce côté là de ma personnalité, je la tiens de mon père. Ma mère est arrivée où elle est en restant elle-même. Mon père et moi, on en est à en mettant le monde entier de côté et en restant focalisés sur notre boulot. Nous sommes toxiques pour nous-mêmes. Mais jusqu'ici, je suis en vie. Le travail, l'ambition, l'envie d'y arriver ne m'ont pas achevé. Je vais bien. Je garde la tête haute et j'y arrive. Je parviens à atteindre mon but, alors pourquoi changer ? Parce que ça fait mal aux personnes qui m'entourent ? Ahah ! Oui, ahah, c'est tout ce que j'ai à dire ! L'argent ne pousse pas sur les arbres. Et, même si j'en ai à revendre, il n'y a qu'en bossant que j'en aurai davantage. Logique non ?!
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diamonds are girl's best friends je ne dois pas être une vraie fille alors...
"Burberry… Je suis issue du milieu de la mode. Mon arrière-grand-père a fondé Burberry. Mon grand-père l’a repris et aujourd’hui, mon père est à la tête de l’entreprise familiale. Il a d’ailleurs toujours espéré que comme lui, je reprendrais le flambeau après sa mort. Mais le destin a fait que non, je n’en ai pas envie. Pour preuve. Il n’y a que les hommes de la famille qui ont dirigé l’entreprise et malheureusement pour lui, je suis née, constituée d’un tout autre appareil génital. Moi, je dis que c’est un signe du destin. Cela veut dire que je ne serai pas celle qui reprendra l’entreprise une fois qu’il ne sera plus là. C’est triste de penser au jour de sa mort alors qu’il est en bonne santé. Encore présent, parmi les vivants. Mais la preuve est là. Bien présente. Je ne pense même pas aux vêtements que je mettrais le lendemain. Je veux dire. Je sais me vêtir. Je ne suis pas non plus une plouc dénuée de tout sens de la mode, mais une paire de jeans et un tee-shirt et je suis bien dedans quoi. Je sais que tout cela, ce n’est pas pour moi. Et, j’ai d’ailleurs toujours été en conflit avec mon père à cause de cela. Il veut absolument que je suive ses traces. Que je sois sa successeuse mais cela ne m’intéresse pas du tout. On dit que les filles sont collées aux basques de leur père. Mais cela est faux. Complètement faux.
oh mother, i'll thank you for all that you've done and still do
"Ma mère a toujours été contre l’éducation stricte avec laquelle mon père tentait de m’élever. Au départ, j’étudiais chez moi. Il ne voulait pas que le petit peuple, comme il les appelle si bien, s’approche de moi. J’avais donc un professeur particulier et j’étudiais dans mon immense domicile. Je me sentais terriblement seule et je pense qu’au fil du temps, cela a fini par se sentir. Ma mère a décidé de mettre un terme à tout cela. Aux hurlements. A la colère, parfois physique de mon père. Il paraîtrait qu’il avait beaucoup de mal à se contrôler mais que ces moments de perte total de self-control ne lui sont arrivé que de rares fois. J’y ai tellement cru que je me suis éloignée de lui. Et je me suis rapprochée de ma mère. Bon, déjà que j’étais très proche d’elle avant cela, je m’en suis rapprochée davantage. Elle a toujours été une sorte de modèle de vie pour moi. Elle est passionnée par la chirurgie. Tellement qu’elle était peu présente à la maison par moment. Surtout au début. Mais elle, je peux parfaitement la comprendre. C’est d’ailleurs elle qui m’a donné cette passion, cet amour pour la chirurgie, la médecine. Sauver des vies, être proches de ses patients et pouvoir les aider. Je trouve cela admirable.
je suis une gladiatrice une gladiatrice en blouse blanche
"J’ai fait un an d’études à Harvard. Mon père n’était pas tellement pour car, selon lui, s’il devait payer pour des études, ce devrait être pour un domaine qui me servirait plus tard à diriger la marque Burberry. L’économie, le droit, la mode, peu importe, mais pas la médecine. Mais, ma mère a pris cela comme un compliment. Je voulais faire comme elle. Suivre sa voie, son chemin et, elle l’a accepté, elle m’a encouragée et même aidée. Mais, je ne me sentais pas à ma place là-bas et, la procédure de divorce de mes parents, lancée par ma mère me plombait davantage le moral. J’ai pris la décision de déménager et, à la fin de ma première année, j’ai demandé à changer d’université pour être plus proche de… De tout. Je ne sais pas. Je voulais juste changer de ville. Voir de nouvelles têtes. Découvrir de nouvelles choses et honnêtement, Washington D.C. était un rêve de gosse. J’y suis déjà allée avec mes parents. J’ai beaucoup voyagé avec eux d’ailleurs. Mais, y vivre, c’était le must du must. Aujourd’hui, j’essaie de m’en sortir. Cela fait quand même 4 ans que j’y suis et, je suis encore envie alors, que demande le peuple ?