NOM(S) Klein, nom d’une marque, slip. Nom du tissu qui frotte tes fesses. PRÉNOM(S) Jorden, Alexandre. Français à l'anglaise. ÂGE vingt quatrième année de vie.. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Los Angeles, mois de décembre, fin d'année le vingt. . NATIONALITÉ américain, français, les deux, liés. . STATUT CIVIL totalement célibataire. ORIENTATION SEXUELLE meganfoxsexuel. MÉTIER interne en clinique vétérinaire. CLASSE SOCIALE trop aisée pour t'en parler sans t'en laisser outré. CARACTÈRE gamin - sociale - généreux - macho - rancunier - casse cou
PSEUDO fluorescent, t'sais comme les capotes dans la pub intimy qui dure des heures. PRÉNOM lucie, pussy aussi, des fois. ÂGE 17ans. PAYS française. INVENTE/SCENARIO écrire ici. CRÉDITS blasphemy. DOUBLE COMPTE ? non. AVATAR bb efron.
Né à Los Angeles, fils du du gouverneur de la californie et d’une journaliste française qui travaille pour la maison blanche (+) Fait du football américain et de la motocross mais touche un peu à tous le sports, sportif dans l’âme depuis tout jeune, il fallait canaliser son énergie débordante (+) Rentre à l’université d’Harvard (pour une proposition sportive) en 2013 (+) Il est en médecine vétérinaire, amoureux des animaux, tous les animaux, surtout les mouches (sisi) (+) Victime d’un accident de voiture en janvier 2015, il est resté amnésique plusieurs semaines et garde une séquelle à la jambe qui le fait souffrir assez souvent (+) Fait une grosse déprime fin d’année 2014 où il à songé de se suicider en sautant dans un lac gelé, mais finalement flemme de se lever du fauteuil, il est bien vivant (+) Grand enfant dans sa tête il ne rate pas une occasion de faire une connerie plus ou moins débile, la farine dans le sèche cheveux c’est son délire, il n’en reste pas moins qu’un vrai mec, un grand macho (+) Naïf sans trop l’être, donne lui un kinder il te suit au bout du monde, trahis le et tu n’auras plus rien de lui (+) Besoin de son Yop tous les matins, ne pas lui parler avant son Yop (+) Fan de Transformers, sa chambre d’ado est remplie de poster de voiture de Megan Fox, Nicola Peltz et Rosie Huntington-Whiteley qui ont jouées dans les films (+) Sa voiture est jaune et il espère secrètement qu’elle se transformera en robot un jour, c’est pourquoi il lui parle souvent, même si il ne la conduit plus depuis l’acccident (+) Allergique aux piqûres de guêpes (+) Toujours optimistes, souriant, amical sauf quand il a pas eu son Yop (+) Très très rancunier, il pardonne peut être mais n’oublie rien de rien (+) Très borné comme un enfant il fait des caprices pour avoir ce qu'il veut (il peut se rouler par terre, warning), boudeur professionnel (+) Pas violent en règle général (ne cherche pas la bagarre), il arriverait à se défendre si il doit se battre, bine qu’il attire les embrouilles comme la fleur et la bébéille (+) Grand amoureux des courbes féminines, mauvais dragueur mais doué au lit (sisi), maladroit en terme général (+) Franc sans être méchant ou alors il le fait pas exprès (+) Pense savoir danser alors que pas du tout (+) Gros fêtard, tient bien l’alcool et la drogue, il a d’ailleurs arrêté ses vieux démons depuis quelques années (+) Sait pas cuisiner bien qu’il pense le contraire (+) Veut devenir vétérinaire du monde, le genre qui voyage partout pour sauver ses pauvres bêtes, tous comme il adore les enfants et rêverait d’en avoir (+) Imbus de sa personne peut être un peu trop (+) Riche mais généreux, trop généreux même, il donnerait tout à tout le monde et se fait souvent berner à cause de ça, paradoxalement il ne partagera jamais rien de ce qu’il affectionne particulièrement (+) Très loyal amicalement parlant, ses potes et sa famille avant tout le reste (+) Regarde les dessins animés tous les matins (+) A le vertige (+) Casse-cou en général, il ne refuse aucun défi et il reste très mauvais perdant (+) N’a pas la lumière à tous les étages
KINDNESS Excité, véritable puce. Pile montée sur deux jambes, dotée de membres totalement incontrôlables le jour de ton entrée à la confrérie. Impossible de te calmer, d’effacer ton sourire sur tes jolies lèvres, ton visage enfantin illuminé comme un jour de noël. Bienveillant, la main sur le cœur. Trop collant. Peut être chiant, enfaîte. Oui, tu fais chier. Plus d’un se plaignent, de toi, ton sourire trop fragile, ton caractère trop fêtard. Tes proches ont peur. Peur que tu te brules les ailes, rapidement. Feu de tous tes rêves qui s’entassent à l’intérieur de ce petit cerveau de grand gamin parfois trop gentil pour ce monde de brut, pourtant t’en à conscience. T’es juste, toi, trop gentil. Trop Jorden.
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Tout ce que tu voulais c’était Wil Smith. Non, pas le grand noir aux succès grandiose dans un costard. Qui arrive à faire des pirouettes sans même avoir peur de froisser son costume aux prix d’un PEL. Non. Wil Smith, le lézard. Tu l’avais appelé comme ça, avec ta sœur. Will Smith, parce qu’il restait au soleil. Dorer la pilule. Dorer ses écailles qui prenaient pas une demi teinte de foncé. Jamais, il n’a changé de couleur. Vert, tout le temps, depuis toujours. Will Smith, était vert. Au début c’était Eude. Parce que Eude, c’est cool. Mais après, c’est devenu Will Smith, va savoir. Ne cherche pas à comprendre. Pourquoi, personne ne sait. Pourquoi, personne a compris, Mais tout le monde s’enfoutait, finalement. Ce n’était qu’un lézard. Mort, écrasé sous la voiture de ton père. Grosse voiture. Ame écorchée. Écrasée à même le sol alors qu’il ne faisait que rejoindre son ultime rocher de beauté. Wil Smith à rendu l’âge, en ce jour, te laissant dubitatif sur l’aspect du monde. Sur ce que tu devrais faire pour aider les animaux, comme lui. Les blessés de guerre. Les blessés de la route. Les animaux, faut les sauver. Honorine. J’serais vétérinaire. J’sauverais des Will Smith, toute ma vie. Comme ça. Par conviction. La détermination d’un p’tit garçon aussi haut que trois pommes. Tu voulais en faire ta vocation. Sauver les lézards du monde entier. Quelques années plus tard, études de médecine. On peut parler de ce rêve que tu as si facilement concrétisé. Petit gamin, chiant. Petit gamin, perturbateur dans les grosses têtes de ta promo. Jorden. Un gamin. Le gosse de la famille le gosse à jamais. Pétillant. Sourire aux lèvres constamment. Pourtant double face. Pourtant côté dissimulé par l’ombre d’une vie bien menée. Toi, ta sœur. Honorine. Jumelle. Petit tête si parfaite. Ton sang, les mêmes gênes. Ta sœur, c’est tout. Un espoir, une vie entière. Qu’est ce que tu donnerais pour elle. Qu’est-ce que tu ferais, pour la voir sourire. Ce sac. Vulgaire sac, de sport. Une odeur de vieux, une odeur de vide-grenier un dimanche à Poitiers. Elle l’a ramené vers, toi. Vous deux, face à ce sac, inconnu, le mystère. C’est quoi ça ? C’est moche, on dirait du faux cuir. Tu sais pas. T’en sais rien. Tu veux pas savoir. Plantés en face. Plantés en piqué à ne pas savoir quoi faire. On doit l’ouvrir tu crois ? Après tout. Il a dit qu’il ne fallait jamais l’ouvrir, jamais. Un sac qui ne doit pas s’ouvrir. Un sac. Juste, un sac. Ce type étrange. Cette femme aux allures de sorcière. Ce couple senteur moisis qui lui ont donné un sac. Laissant les seules indications de ne jamais l’ouvrir. Début d’une aventure. Étrange. Jamais vous ne l’avez ouvert. Il est resté sous le lit, caché entre deux tas de vieilles chaussettes de sport aux effluves de sueur, sale. Presque oublié, dans le fond de la chambre. Le départ pour Harvard. Le sac avec toi, avec vous. Sac à vos côtés sans jamais savoir ce qu’il peut bien s’y cacher. Une année. Puis Washington. Votre mère. Retour aux sources. Couple jumeau. Couple jumelé arrivé sur la grande ville en fin deux mille quatorze. Nouvelle vie. Toujours même aventure. Sac, mystère. «Wil Smith» tagué dessus au marqueur, vulgairement